Parce que mon enfance était en grande partie nomade, j'aimais lire des histoires de vie stable suivant leurs cours ordinaire. Et pourtant, je savais que, sans perturbation, il n'y aurait pas d'aventure. Peut-être cette idée était-elle colorée par la supposition que les perturbations- infortunes, injustices, calamités, souffrances- sont les conditions nécessaires à l'invention littéraire. (p.41)