André Chagny

Luchon possède les sources les plus radio-actives des Pyrénées, en même temps que la gamme complète des sulfurations. Il n'est donc pas étonnant que, depuis l'époque gallo-romaine jusqu'à nos jours, les hommes y soient allés prendre les eaux.
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[Intéressant argument publicitaire (je ne savais pas les gallo-romains si avancés dans l'utilisation des compteurs Geiger).
La consultation du site de Que Choisir m'apprend que  : « Certaines eaux en bouteilles sont quelque peu radioactives. 20 eaux minérales et 14 eaux de source, soit 24 %, dépassent la valeur guide de 0,1 becquerel par litre (Bq/l) établie pour l’activité alpha globale et parmi elles, 6 eaux minérales sont au-dessus de la dose totale indicative (DTI) de 0,1 millisievert par an (mSv/an) fixée par la réglementation sur les eaux destinées à la consommation humaine, sachant que cette DTI est établie pour la population adulte, pas pour les enfants. Quelques marques aggravent leur cas en affichant la mention « convient pour la préparation des aliments des nourrissons et la préparation des biberons » alors qu’elles excèdent la valeur de 0,1 Bq/l. »]

Toulouse avait été, à partir de 419, la métropole d'un royaume wisigoth dont les limites mouvantes finirent par englober presque tous les pays compris entre la Loire et la pointe méridionale de l'Espagne. La victoire de Clovis à Vouillé ouvrit aux Francs le bassin de la Garonne (507)
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Toulouse. Sain-Sernin. Actuellement la plus grande et la plus complète des églises romanes françaises. Élevée de 1060 à 1275 environ, elle appartient au type des grandes églises de pèlerinage. Huit portes y donnaient accès. La porte royale (croisillon nord) est murée ; celle du croisillon sud est celle des comtes. Au mur méridional de la nef, la porte Miègeville (ou des Innocents, à cause d'un chapiteau célèbre) s'ouvre en face de la rue du Taur, milieu de la ville : miejo vilo.
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