Antonio Zurera

Club N°53 : BD non sélectionnée

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pas convaincu par l'histoire.



La mise en couleur a été pour moi un vrai problème, elle apporte un manque de contraste rendant l'ensemble difficilement lisible.



Samuel

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Beaucoup d'incohérences :



- p.8 - vignette 1 : problème de dialogue avec le prénom "Armand le forgeron", peut-être une mauvaise traduction.



- p.11 - vignette 4 : La torche du rat passe de la main gauche à la main droite.



Le scenario est pour ma part trop confus.



Cependant la mise en couleur est très originale.



Aaricia

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Voici mon retour de lecture sur Sombra, premier tome de la série de bandes dessinées Marécage.

Le Marécage.

Un territoire maudit, aux contours indéfinis, peuplé d'étranges créatures.

Un territoire dangereusement inhospitalier, où l'on n'envoie que les pires criminels.

Mais un territoire où Ariston Bergère, capitaine de la Garde du Palais royal de Palantia, va dissimuler Ysaut, bébé héritier du trône au centre de trop de complots.

Une mission courageuse et louable. Mais qui va très vite mal tourner..

Sombra est un premier tome de fantasy pour adultes se déroulant dans Le Marécage.

Un univers sombre, de nombreux personnages, et j'avoue avoir eu du mal à m'y retrouver ; à mon grand regret.

J'ai eu beaucoup de difficultés à comprendre qui est qui tellement c'est brouillon autant au niveau du nombre de personnages que du scénario. Quel dommage !

Je n'ai pas réussi à accrocher totalement avec l'histoire, et j'ai eu du mal avec la violence.

En ce qui concerne la colorisation, elle m'a plu dans l'ensemble.

Et j'ai apprécié les dessins même si par moment ils sont un peu moins précis qu'à d'autres.

Toutefois, il y a un beau travail au niveau graphique, chapeau.

Avis mitigé donc pour un premier tome dont je ne suis pas certaine de lire la suite.

Ma note : 2.5 étoiles.

Un vieux soldat doit se débarrasser du bébé sensé hériter du trône de Palantia. Mais il décide d'emmener la petite fille dans le marécage, territoire des hors-la-loi où il espère pouvoir la protéger. Mais tout ne se passe pas comme prévu.

J'ai vraiment apprécié cet album de fantasy, premier tome qui met en place un univers riche, même s'il n'est pas des plus originaux niveau intrigue. Le début de l'histoire rappelle les contes de fées de notre enfance, particulièrement Blanche Neige. Mais le récit devient petit à petit plus foisonnant, suivant plusieurs personnages et donc plusieurs sous intrigues.

J'ai aussi également beaucoup aimé les dessins. Le style est certes un peu flou, mais l'univers créé, coloré et exubérant, particulièrement le marécage au décor luxuriant. La palette de couleurs est riche, les personnages ont des apparences assez originales.

Bref, un premier tome prometteur.

Le point de départ est assez classique en fantasy, mais rapidement certains éléments se démarquent de ce qu’on s’attend à lire au vu du résumé et ça fonctionne plutôt bien. Le hic, c’est que l’ensemble du récit semble composé de bric et de broc récupéré ici et là. L’éditeur cite La Quête de l’Oiseau du Temps de Loisel (un classique de la BD de fantasy, que je vous recommande très vivement si vous ne l’avez pas lu), mais j’ai pensé aussi à Marlysa par exemple, et certains éléments sont piochés notamment chez Shakespeare ou d’autres auteurs que je n’ai pas notés, mais qui m’ont semblé évidents sur le coup. Le résultat m’a paru assez fouillis, d’autant qu’on suit divers points de vue et que la situation politique, sans être trop complexe, est un peu confuse, même pour les personnages, qui sont tous dans l’incertitude.



La quatrième de couverture parle de « choc graphique », personnellement je n’ai pas été choquée par le dessin, que j’ai trouvé intéressant, avec une forte identité visuelle, mais qui ne m’a pas particulièrement plu. Là aussi, il y a un côté un peu flou. Ce n’est pas déplaisant, mais ce n’est pas ce que je préfère en BD. D’autre part, on est encore dans un univers où, bizarrement, tous les personnages masculins sont couverts du cou aux orteils alors que la quasi-totalité des personnages féminins sont presque entièrement nus. Sans commentaire.



Si les dessins ne m’ont pas spécialement accrochée, j’ai été séduite par la mise en couleurs, que j’ai trouvée très réussie. Certaines planches, notamment celles représentant des paysages avec de grands ciels, d’un bleu tirant sur l’indigo, sont réellement mises en valeur grâce au travail d’Ooshima Hiroyuki.



Une lecture peu marquante pour moi, même si elle n’était pas inintéressante. Je ne pense pas lire la suite.
Lien : https://bienvenueducotedeche..

Marécage aura été pour moi avant tout une expérience graphique.

Malheureusement, c'est tout ce que je retiendrai du titre.

Les personnages sont nombreux mais aucun ne m'a vraiment intéressé et le scénario de jeu de pouvoir et au final assez quelconque.

Merci à @NetGalley pour la lecture.



J’ai été directement happée par les couleurs tantôt sombres tantôt lumineuses de ce premier tome, à l’image du récit, la lumière et la noirceur se confrontent constamment.



Cette BD suit les codes du genre : il suscite l’émerveillement, s’ouvre à un nouvel Univers, tire la cloche de l’action avec des scènes de combat très réalistes et fait écho à notre réalité.



Ce qui fait de cette BD une BD vibrante, c’est que les personnages sont des animaux, grande mode dans la Littérature actuelle mais qui, quand on y apporte sa propre touche, peut se révéler être le nouvel opus original qu’on attendait.



Entre manigances de la Cour, politique, meurtres, prétendants au trône, monde maudit, créatures fantastiques et combats sanglants, l’Avenir de Palantia est incertain…



Une belle découverte pour ma part (même si parfois je me perds dans les méandres des décors), j’attends avec impatience le 2ème tome !

Excellente surprise pour cette nouvelle série Marécage !



Antonio Zurera réussit avec brio à construire un univers de fantasy assez personnel et original (malgré les incontournables du genre) et nous plonge en plein royaume de Palantia, en proie à de nombreux conflits politiques. Nous découvrons plusieurs personnages aux intérêts et de bords différents, ce qui promet une intrigue riche.



L'auteur nous dévoile également des habitants du fameux marécage, où le royaume envoie ses renégats en exil depuis des générations. Des clans y résident en petits territoires bien délimités et tout le monde survit à sa façon.



Dans ce climat quelque peu tendu va se jouer la succession du bon roi Hugo, entre le royaume et le marécage. J'ai beaucoup aimé l'univers de l'auteur, même si je craignais une certaine lassitude car les récits d'animaux anthropomorphiques sont à la mode en ce moment (et ce n'est pas fini). J'avais adoré le premier cycle des 5 Terres et j'avais peur d'une simple copie...

En vérité, le monde de Palantia regorge de références plus ou moins cachées, d'hommages, et c'est très bien comme ça. Certes, on retrouve des éléments connus, mais le récit est assez fort et les graphismes superbes pour nous embarquer sans aucun problème !



Car en plus du crayonné de Zurera, il ne faut pas oublier de mentionner les couleurs sublimes de Hiroyuki Ooshima, qui mériterait tellement d'avoir son nom sur la couverture tant son talent insuffle vie à l'histoire. La combinaison de ce duo est vraiment très belle à lire, une régalade pour les yeux !



Je n'ai pas mis 5 étoiles malgré mon enthousiasme, car il s'agit d'une première BD et ça se sent. Il y a quelques petites choses à revoir, et c'est normal, et il y a bien quelque chose qui m'a taraudée pendant ma lecture, mais je pense qu'on aura la réponse dans ce deuxième tome.

Bref, amateurs de fantasy, faites-vous plaisir et lisez Marécage !

Un petit royaume est secoué par diverses morts subites ; le roi, sa fille sont tués par une intrigante qui va se faire tuer à son tour. Un garde du palais a sauvé Ysaut, devenue l'héritière du palais, et l'emmene chez lui, dans le marécage, un territoire difficile où se réfugie des malfrats mais aussi des personnages spéciaux comme Sombra, une aventurière qui va se trouver mélée à ces différentes intrigues dont un bébé qui va passer de main en main tandis que son garde du corps se fait à son tour tué.

Un monde fantastique, minutieusement dépeint avec ce qu'il faut de mystère et de magie pour entrainer immédiatement l'adhésion tout en suivant la construction d'un mythe. Une belle histoire allié à un graphisme fort et beau. A lire.

Antonio Zurera signe sa première bande dessinée. Connu dans le monde du dessin animé, Antonio Zurera nous offre une aventure épique en terre inconnue. Un monde peuplé d’incroyables créatures aux allures animales. Un territoire hostile où ne vive que les renégats de la société. Des complots, un nourrisson héritière du trône, un capitaine audacieux, une mort et pourtant tout un tas de possibilités aux nombreuses conséquences.





Le scénario est terriblement intéressant malgré les nombreux personnages qui, quelque part, portent leur graine au scénario. Des personnages importants d’autres moins, des personnages mystérieux, ce premier tome établit une ligne conductrice plus au moins sombre et floue. Les illustrations ne m’ont pas conquise, peut-être la couleur y est pour quelque chose. Le côté brut du trait d’Antonio Zurera aurait, à mes yeux, suffit.





Un premier volume étoffé et intrigant. J’attendrai de lire la suite pour émettre un avis plus général. Cette première approche me laisse un sentiment mitigé.
Lien : https://misschocolatinebouqu..

Alors que le royaume de Palantia est en proie à une âpre lutte intestine et que la guerre fait rage à sa frontière, la princesse héritière, encore bébé est emportée par un guerrier fidèle dans les marais où habitent des tribus de créatures et une communauté de brigands.











La partie graphique du premier volet de ce diptyque fantasy est assez impressionnante, et ce n’est pas trop une surprise puisqu’on la doit à Antonio Zurera, artiste espagnol qui a beaucoup oeuvré dans l’animation et dans l'illustration jeunesse.







Le niveau de détail des décors, magnifiques au demeurant, est fort poussé et le casting/ bestiaire est très réussi.











Le tout est encore plus mis en valeur par une colorisation recherchée par Hiroyuki Ooshima, dessinateur japonais qui a colorisé de grands artistes chez nous depuis presque 20 ans, sur des choses aussi diverses que Spirou, Conan ou Sillage et qui livre ici un travail étonnant et efficace.

Au niveau du scénario, le bât blesse un peu par contre, avec une histoire assez classique (enfant “élu” caché, manigances de cour, …) et une narration un brin confuse au départ qui demandera un peu d’attention pour bien en saisir les tenants et aboutissants.

Attendons le second tome de ce diptyque pour confirmer que Marécages tient ses promesses.
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..

Tout commence comme une adaptation sombre et animalière de « Blanche-Neige », avec une princesse envoyée à la mort. Sauf que le guerrier en charge de cette macabre mission va décider d’emmener le bébé dans la zone la plus hostile de ce royaume, le « Marécage » où résident les pires criminels des environs !



Cette enfant est l’héritière légitime du royaume de Palantia, pays convoité par la vilaine tante du bébé. C’est donc pour s’emparer du trône que la mégère fomente la disparition du poupon, sans se douter de la loyauté inflexible d’Arston Bergère, le capitaine de la Garde chargé de tuer la princesse Ysaut. Un prénom aux consonnances familières, sans pour autant rappeler la légende de « Tristan et Yseult » ; d’ailleurs son père, finalement nouveau roi de Palantia, s’appelle Christian…



À croire qu’Antonio Zurera s’est inspiré de nombres de mythes et légendes pour narrer ce récit qui en devient, de ce fait, plutôt classique bien qu’efficace. L’univers animalier est d’ailleurs souvent prisé pour reprendre des périples moyenâgeux comme celui-ci. Le kidnapping d’une princesse, l’avenir incertain d’un royaume convoité tant en son sein que par les pays voisins, … et une forêt – ou plutôt un marais – où vivent nombres de créatures plus dangereuses que les unes que les autres.



Dès lors, la force de ce titre est le graphisme mystique de l’auteur ! Chaque détail attire le regard, comme ces visages qui apparaissent dans la végétation, les monts et les vallées de ce Marécage inquiétant. Le crayonné est visible, rendant parfois le trait brouillon surtout quand il est surchargé de détails, mais accompagné de la colorisation de Hiroyuki Ooshima – tout aussi insaisissable que l’ouvrage – Antonio Zurera démontre son talent. Les amoureux de graphisme seront sans aucun doute aux anges, tandis que le récit mis en place dans ce premier tome, dont le premier tome s’intitule « Sombra » comme une mystérieuse chasseresse régnant dans les environs, ravira les amateurs d’épopée de contes de fées glauques et sanguinaires.



La profusion de personnages me fait conclure en vous demandant dans quel camp serez-vous à la fin de ce premier volet ?
Lien : https://sambabd.net/2023/07/..

Je n’ai pas réussi à apprécier ma lecture. Les illustrations ne sont pas mon genre, le trait n’est pas net et les couleurs sont très sombres. Le résumé m’avait beaucoup intéressé, mais ce début d’histoire ne m’a pas emportée. Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, certains événements arrivent sans trop d’explications et les retournements de situation m’ont laissé de marbre. C’est un flop pour moi

Ce premier tome est une entrée en matière dans l’univers de la Dark Fantasy animalière. Cette introduction est éloquente et convaincante.

Antonio Zurera nous entraine dans son univers sur plusieurs fronts à la fois : à Mont Royal dans le royaume de Palantia, dans le Marécage, un territoire maudit, dangereusement inhospitalier, peuplé d'étranges créatures où y sont envoyés les pires criminels, sur un champs de bataille où se distingue un prétendant légitime au trône de Palantia.

Dans cet univers sombre et ultra violent, véritable cloaque, tout est permis, meurtres, enlèvements, manipulations, manigances, trahisons. Ici règne la loi du plus fort, du plus retors.

Tout commence par un complot ourdit par Dame Valadia pour assassiner la reine Violante ainsi que son bébé, la princesse Ysaut, afin d’accéder au trône. Entre alors en scène Ariston Bergère, honnête homme et chevalier, capitaine de la garde royale qui servira de bouc émissaire. Il va soustraire le nourrisson à une mort certaine en l’enlevant. Pourchassé et blessé par les gardes royaux, il n’a d’autre choix que de s’enfoncer là où personne n’osera venir le chercher, dans les profondeurs du Marécage.

Au fil de ces passionnantes 90 pages, on découvre de nombreux événements aux multiples rebondissements ainsi des peuples et des personnages hauts en couleurs, comme la mystérieuse Sombra au visage masqué qui se cache dans le Marécage. Cet univers onirique et enchanteur tranche véritablement avec les événements sombres et violents qui le frappent.

Quand Antonio Zurera, maître du design et du dessin animé, compose un univers de fantasy animalière et qu’ Hiroyuki Ooshima assure la mise en couleurs, c’est un véritable choc graphique, on ne sait plus où donner du regard.



« Lu dans le cadre du Prix Orange de la BD 2024. Je remercie Lecteurs.com ainsi que les Editions Dupuis pour cet envoi. »

Voici une BD qui est plutôt pour un public adulte, ou du moins très bon lecteur.

En effet, nous sommes sur une histoire complexe de succession d'un royaume à laquelle viennent se greffer de nombreuses intrigues, ou du moins groupes, secondaires.

Tout part d'un enfant qui emmené dans les marécages, mais le lecteur comprend rapidement que cet enfant et son gardien ne sont que les prémices de cette fresque.

Les événements sont relativement rapides, mais on sent que l'auteur a une idée bien détaillée et qu'il veut aller au fond des choses. On devine toute la profondeur et la richesse du monde au fur et à mesure des cases. Si géographiquement c'est simple (le royaume, le marécage où sont envoyé les bannis en exil et l'ennemi voisin qui fait la guerre) rapidement nous comprenons que de très nombreux groupes/peuples ont des dessins particuliers.

Sombra est évoqué dans la quatrième de couverture et fera régulièrement des apparitions jusqu'à devenir plus présente, mais reste extrêmement mystérieuse jusqu'à la dernière ligne. En effet, on ne sait rien d'elle ni de ses intentions. C'est un bon moyen pour l'auteur de maintenir le public en haleine car elle cristallise bon nombre de questionnements et on pressent que ce sont ses actions qui influeront sur tout le reste.



Le dessin est un style bien particulier. C'est à la fois extrêmement détaillé et brouillon (à mon goût). Le fond est riche, bien détaillé et avec beaucoup d'attention. Le choix des couleurs est globalement adapté et sert à la fois à présenter l'univers mais aussi à traduire le ton de la scène (excepté quelques scènes où la couleur est plus difficile à décrypter).

Toutefois le style des personnages ne me séduit pas. En effet, je trouve les lignes floues, je préfère quand les personnages sont nets. J'apprécie de voir les ébauches, les études et les divers travaux qui amènent au résultat final, mais là je n'ai pas tellement adhéré.

De plus, la volonté de régulièrement présenter les femelles humanoïdes de manière hypersexualisée (en particulier avec leur manie de se promener fesses et seins nus) quand les mâles sont couverts de vêtements, capes et fourrures...me gêne.



Dans l'ensemble un départ plutôt intéressant, pour une série qui va se révéler sans nul doute très riche, mais pour un public plus mature en terme de lecture je pense.
Lien : http://www.nyx-shadow.com/20..

Nous avons deux factions distinctes : Palantia, en proie à de nombreux conflits politiques avec un trône vacant et celle de Marécage, inhospitalier, peuplé de créatures et des pires criminels. Au centre de tout les complots, Ysaut, bébé héritière du trône présumée assassinée et exilée pour sa sécurité dans Marécage et Sombra jeune femme mystérieuse. Les planches graphiques sont joliment colorées. Je suis très curieuse de lire la suite !
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Premier tome efficace pour une entrée en matière dans un monde de dark fantasy aux limites finalement pas si étroites, ce Marécage est une introduction très convaincante et éloquente.
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Marécage nous plonge dans un captivant périple Fantasy ou se trament d'inquiétants complots pour monter sur le trône du Royaume de Palantia.
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