Nationalité : Italie
Né(e) à : Rome , le 28/06/1888
Mort(e) à : Bellagio , le 18/07/1944
Né(e) à : Rome , le 28/06/1888
Mort(e) à : Bellagio , le 18/07/1944
Biographie :
Journaliste et écrivain italien de roman policier.
Il publie avec un certain succès en 1930 un premier roman intitulé "Robin agente segreto", inspiré par "L'Agent secret" de Joseph Conrad.
Il fait paraître son premier roman policier en 1935 sous le titre "Il banchiere assassinato" ("Le Banquier assassiné"). Ses romans policiers mettent le plus souvent en scène le commissaire italien De Vicenzi et se détache de l'habituelle illustration anglo-saxonne de l'officier de policier d'alors.
Il a écrit plusieurs pièces de théâtre et rédigé une biographie consacrée à l'actrice italienne Dina Galli
Malgré le succès de ses romans, il subit la censure du régime fasciste qui souhaite supprimer le crime de la littérature pour des raisons de propagande et d'ordre public. Il est finalement arrêté en 1943 à la suite d'une série d'articles parus dans la "Gazzetta del Popolo" et est incarcéré à la prison de Côme. Il en sort en 1944, affaibli par la captivité, et part s'établir à Bellagio où il trouve la mort la même année dans une bagarre ayant pour enjeu des considérations politiques.
+ Voir plusJournaliste et écrivain italien de roman policier.
Il publie avec un certain succès en 1930 un premier roman intitulé "Robin agente segreto", inspiré par "L'Agent secret" de Joseph Conrad.
Il fait paraître son premier roman policier en 1935 sous le titre "Il banchiere assassinato" ("Le Banquier assassiné"). Ses romans policiers mettent le plus souvent en scène le commissaire italien De Vicenzi et se détache de l'habituelle illustration anglo-saxonne de l'officier de policier d'alors.
Il a écrit plusieurs pièces de théâtre et rédigé une biographie consacrée à l'actrice italienne Dina Galli
Malgré le succès de ses romans, il subit la censure du régime fasciste qui souhaite supprimer le crime de la littérature pour des raisons de propagande et d'ordre public. Il est finalement arrêté en 1943 à la suite d'une série d'articles parus dans la "Gazzetta del Popolo" et est incarcéré à la prison de Côme. Il en sort en 1944, affaibli par la captivité, et part s'établir à Bellagio où il trouve la mort la même année dans une bagarre ayant pour enjeu des considérations politiques.
Source : wikipedia
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- Guardi ! Guardi Lei ! A me non pare. Il signor Chirico è un uomo d'età, basso, magro, brutto e pallido...
- Oh ! Oramai, pallido lo è di certo !
- Oh ! Oramai, pallido lo è di certo !
- Credete davvero che (xxxx) sia morto ? - proruppe ancora Pearl. - Ah, ah! È uno dei suoi scherzi, questo!... Vedrete che tra poco si alzerà e ci coprirà d'insulti...
De Vincenzi guardo' con divertita ammirazione il suo Capo.
- E' psicologo anche lei!
- Oh Dio!... Visto il successo del suo metodo, cerco di imitarla!
- E' psicologo anche lei!
- Oh Dio!... Visto il successo del suo metodo, cerco di imitarla!
- (...) Ma è vero che studi la psicoanalisi ? Me lo ha detto Ramperti... Un giorno di questi mi devi prestare Froind... si dice cosi' ?... Chi è Froind ?...
- Un signore, che giustificherebbe tutti i tuoi peccati dicendo che è di notte che te li sogni...
- Un signore, che giustificherebbe tutti i tuoi peccati dicendo che è di notte che te li sogni...
Aveva bisogno di far compiere al cervello lo sforzo massimo. Sentiva che il Caso - questo nume tutelare di coloro che si trovano alle prese col mistero - lo aveva messo dinanzi al fatto particolare, all'indizio capitale, seguendo il quale sarebbe giunto a penetrare quel mistero e quindi a dominare gli avvenimenti, che s'incalzavano e che certo lo avrebbe travolto, s'egli fosse stato costretto a procedere alla cieca.
Perché poi De Vincenzi aveva deciso di andare a Nizza e di condurlo con sé ? (...) Lui stesso non avrebbe saputo dirlo. Forse, aveva sentito il bisogno di aver l'ultima parola. Fose, quella idea si agitava da un paio d'ore nel suo subcosciente, senza ch'egli l'avesse concretata in modo chiaro.
Forse, il caso gliel'aveva suggerita.
Forse, il caso gliel'aveva suggerita.
Passaporto perfettamente regolare, rilasciatomi col nome in bianco, appunto perché io potessi mettervene uno di mio gradimento, a seconda dell'opportunità. Questo vi dica che io sono venuto in Egitto con una missione di alta importanza politica.
Ancora uno dei suoi movimenti istintivi, dettatogli dal suo subconscio. Non era una ragione che lo spingeva; era una sensazione indistinta, vagamente coercitiva per lui, che alle proprie sensazioni non voleva mai o quasi mai sottrarsi.
Cristiana O'Brian si trovava da venti minuti con De Vincenzi e non aveva pronunciato che monosillabi. A lui sembrava di interrogare un tavolo a tre piedi in una seduta spiritica.
Scossero il capo e si trassero da parte. Dentro, tutti erano dove li aveva lasciati. Anche la vedova, che si volse a guardarlo, attendendo.
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