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3.67/5 (sur 3248 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Goldberg, Idaho , le 15/01/1918
Mort(e) à : Provo, Utah , le 25/05/2012
Biographie :

Beatrice Sparks est thérapeute, mormone et conseillère de jeunesse.

Elle est spécialisée dans les "vrais journaux" intimes d'adolescentes en difficulté.

Elle a commencé à travailler avec des enfants «à problèmes», en 1955, après avoir fréquenté l' Université de Californie à Los Angeles et l'Université Brigham Young.

En 1971, paraît "Go Ask Alice", le journal d'une adolescente qui a connu tous les outrages : drogue, inceste, viol, etc. Vendu en France sous le titre de "L'herbe bleue", l'ouvrage connaît un succès vertigineux en Europe.

C'est en 1998 que la presse révèle que "Go Ask Alice" serait le produit de Beatrice Sparks.



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Bibliographie de Beatrice Sparks   (4)Voir plus

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Citations et extraits (168) Voir plus Ajouter une citation
Une goutte de pluie vient de s'écraser sur mon front et elle m'a fait l'effet d'une larme tombant du ciel. Est ce que les nuages et les cieux pleurent sur moi, vraiment? Est ce que je suis réellement seule dans ce monde gris et triste? Est-il possible que Dieu lui-même pleure pour moi?
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L'adolescence est une époque vraiment désagréable ; on ne se sent pas en sécurité, les grandes personnes nous traitent comme des enfants tout en attendant de nous que nous nous conduisions en adultes. Elles nous donnent des ordres, comme à des petits animaux, et puis elles espèrent que nous réagirons comme de vrais adultes raisonnables. C'est une époque pénible, difficile, perdue. J'ai peut-être survécu le plus mauvais moment. Je l'espère, en tout cas, parce que je sais que je n'aurais jamais la force ni la volonté de repasser par là.
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"Si tu n'as rien à dire de gentil, tais-toi"
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J'aimerais bien que les médecins et les infirmières laissent mourir mon âme; mais ils poursuivent leurs expériences et ils essayent de réunir le corps à l'esprit.
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Cher journal,
Je n’ai rien écrit depuis une semaine parce qu’il ne m’est rien arrivé intéressant. Toujours les mêmes profs idiots qui enseignent les mêmes sujets stupides dans la même école assommante. Je me désintéresse de tout, je crois.
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L'adolescence est une époque vraiment désagréable ; on ne se sent pas en sécurité, les grandes personnes nous traitent comme des enfants tout en attendant de nous que nous nous conduisions en adultes. Elles nous donnent des ordres, comme à des petits animaux, et puis elles espèrent que nous réagirons comme de vrais adultes raisonnables. C'est une époque pénible, difficile, perdue. J'ai peut-être survécu le plus mauvais moment. Je l'espère, en tout cas, parce que je sais que je n'aurais jamais la force ni la volonté de repasser par là.
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Je crois que je suis tombée de la surface de la Terre et que je en m'arrêterai jamais de tomber.
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D'autres garçons m'ont embrassée, mais ce n'était pas du tout la même chose. Il y avait dans son baiser de la tendresse, du désir, du respect et de l'admiration. C'est la chose la plus merveilleuse qui me soit jamais arrivée de ma vie.
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18 août.
Ce matin, je suis allée consulter le docteur Langley et je lui ai dit et répété que je ne pouvais pas dormir. J'ai mis le paquet. Il m'a posé un tas de questions, il m'a demandé pourquoi je ne pouvais pas dormir, mais je lui ai répété que je ne savais pas. Finalement, il s'est laissé fléchir et il m'a donné des somnifères. A vrai dire, je n'ai pas tant besoin de sommeil que d'évasion. C'est un moyen de s'évader absolument merveilleux. Quand je n'en peux plus, je prends un comprimé et je me laisse simplement sombrer dans le néant. Au point où j'en suis, c'est mieux que rien.
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Quand on a commencé, il n'y a plus de vie possible sans drogue, mais c'est une existence dégueulasse d'esclave. Et pourtant, je suis ravie d'y retourner. Heureuse ! Heureuse ! Ça n'a jamais été meilleur qu'hier soir. Chaque nouvelle fois est la meilleure et Chris est comme moi.
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