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Citations de Brené Brown (68)


Brené Brown
Se fermer à la vulnérabilité, c'est s'éloigner des expériences qui donnent du sens à la vie.
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La vulnérabilité, ce n’est pas connaître la victoire ou la défaite, c’est comprendre leur nécessité à toutes deux. C’est s’engager, se donner à fond. La vulnérabilité n’est pas la faiblesse. L’incertitude, le risque et les émotions de tous les jours ne sont pas des options. Le seul choix possible est une question d’engagement. La volonté d’assumer sa vulnérabilité et de l’embrasser détermine la profondeur du courage et la clarté du but.
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Vulnerability isn’t good or bad [...]Vulnerability is the core of all emotions and feelings. To feel is to be vulnerable. To believe vulnerability is weakness is to believe that feeling is weakness. To foreclose on our emotional life out of a fear that the costs will be too high is to walk away from the very thing that gives purpose and meaning to living.
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La question est « qu’est-ce qui vaut la peine d’être fait, même si j’échoue ? ».
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Il est essentiel de se connaître et de se comprendre soi-même, mais il y a quelque chose d’encore plus essentiel pour atteindre la plénitude : s’aimer soi-même.
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- Le perfectionnisme incarne un système de croyances autodestructeur et addictif qui nourrit cette réflexion première : Si j'ai une apparence parfaite, que je vis parfaitement et que je fais tout parfaitement, je peux éviter ou du moins minimiser les sentiments douloureux de la honte, du jugement et du blâme.

- Le perfectionnisme est autodestructeur pour la simple et bonne raison que la perfection n'existe pas. La perfection est un but inatteignable. De surcroît, le perfectionnisme est plus une question de perception : on veut être perçu comme étant parfait. Encore une fois, cela est inatteignable : il n'existe aucun moyen de contrôler la perception des autres, quels que soient le temps et l'énergie que nous investissons à y parvenir.

- Le perfectionnisme est addictif pour la raison suivantes : quand on fait invariablement l'expérience de la honte, du jugement ou du blâme, on croit souvent que c'est parce qu'on n'a pas été suffisamment parfait. On devient alors encore plus entêté dans l'idée fixe de la perfection dans notre vie, au lieu de remettre en question la fausse logique du perfectionnisme.

- Se sentir honteux, jugé ou blâmé (et la peur de se sentir ainsi) est une simple réalité de l'expérience humaine. Le perfectionnisme augmente les probabilités de vivre ces émotions pénibles et aboutit souvent à s'autoblâmer : C'est ma faute. Je me sens comme ça parce que "je ne suis pas à la hauteur."
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Appartenance et intégration ne sont pas la même chose et que, en réalité, l'intégration obstrue l'appartenance. S'intégrer veut dire évaluer une situation et devenir ce que vous devez être pour être accepté. L'appartenance, elle, ne nous demande pas de changer qui on est ; au contraire, elle nous appelle à être ce que nous sommes déjà.
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The perception that vulnerability is weakness is the most widely accepted myth about vulnerability and the most dangerous. When we spend our lives pushing away and protecting ourselves from feeling vulnerable or from being perceived as too emotional, we feel contempt when others are less capable or willing to mask feelings, suck it up, and soldier on. We’ve come to the point where, rather than respecting and appreciating the courage and daring behind vulnerability, we let our fear and discomfort become judgment and criticism.
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Vulnerability is not weakness, and the uncertainty, risk, and emotional exposure we face every day are not optional. Our only choice is a question of engagement. Our willingness to own and engage with our vulnerability determines the depth of our courage and the clarity of our purpose; the level to which we protect ourselves from being vulnerable is a measure of our fear and disconnection.
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L’amour et l’appartenance sont les besoins irréductibles de tous, hommes, femmes et enfants. Nous sommes programmés pour la connexion, c’est ce qui donne un but et un sens à notre vie. L’absence d’amour, d’appartenance et de connexion engendre toujours la souffrance.
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Je vois maintenant comment des cadeaux comme le courage, la compassion et la connexion ne fonctionnent que lorsqu’ils sont exercés. Chaque jour.
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Le perfectionnisme n'est pas synonyme de faire de son mieux. Ce n'est pas la même chose que de réussite saine et l'épanouissement. Le perfectionnisme est la croyance que si on a une vie parfaite, une apparence parfaite et un comportement parfait, on peut minimiser ou éviter la douleur des reproches, du jugement et de la honte. Le perfectionnisme est un bouclier. Mais c'est un bouclier de vingt tonnes que nous traînons en pensant qu'il va nous protéger alors que, en fait, il est ce qui nous empêche de prendre notre envol.
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On cultive l'amour quand on laisse voir et connaître son individualité la vulnérable et la plus forte, et quand on honore la connexion spirituelle qui germe de ce don avec confiance, respect, tendresse et affection.

L'amour n'est pas quelque chose qu'on donne ou qu'on reçoit; l'amour est une plante qu'on nourrit et qui grandit, une connexion qui peut seulement être cultivée entre deux personnes lorsqu'elle existe au plus profond de chacune : l'amour qu'on a pour les autres se mesure à l'amour qu'on a pour soi-même.

La honte, le blâme, l'irrespect, la trahison et l'absence d'affection endommagent les racines qui nourrissent l'amour. L'amour ne peut survivre à ces blessures que si elles sont reconnues, guéries, et rares.
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Daring greatly is not about winning or losing. It’s about courage. In a world where scarcity and shame dominate and feeling afraid has become second nature, vulnerability is subversive. Uncomfortable. It’s even a little dangerous at times. And, without question, putting ourselves out there means there’s a far greater risk of feeling hurt. But as I look back on my own life and what Daring Greatly has meant to me, I can honestly say that nothing is as uncomfortable, dangerous, and hurtful as believing that I’m standing on the outside of my life looking in and wondering what it would be like if I had the courage to show up and let myself be seen.
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In his book Out of Our Minds: Learning to be Creative, Robinson writes, “However seductive the machine metaphor may be for industrial production, human organizations are not actually mechanisms and people are not components in them."
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Most people and most organizations can’t stand [...] the risk of real innovation. Learning and creating are inherently vulnerable. There’s never enough certainty. People want guarantees.
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The irony is that when we’re standing across from someone who is hidden or shielded by masks and armor, we feel frustrated and disconnected. That’s the paradox here: Vulnerability is the last thing I want you to see in me, but the first thing I look for in you.
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The word vulnerability is derived from the Latin word vulnerare, meaning “to wound.” The definition includes “capable of being wounded" [...]
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If we want to reignite innovation and passion, we have to rehumanize work. [...] When failure is not an option we can forget about learning, creativity, and innovation.
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On aime que les histoires de rétablissement passent rapidement sur les étapes obscures et se terminent sur un épilogue rédempteur qui fait oublier tout le reste. Je crains que ce manque d’honnêteté systématique, quand il s’agit de raconter comment on a surmonté l’adversité, n’ait introduit un âge d’or de l’échec. Ces dernières années, on assiste à des conférences ratées, des festivals ratés, et même des remises des Oscars ratées. Comprenez-moi bien : j’aime et je continue de défendre l’idée de comprendre et accepter l’échec comme part de toute entreprise de valeur. Mais adhérer à cette idée sans reconnaître la souffrance et la peur que cause l’échec, sans mentionner la démarche complexe qu’implique le redressement, c’est tout simplement du cran factice. Dépouiller l’échec de ses vraies conséquences émotionnelles, c’est arracher au cran et à la résilience les qualités mêmes qui les rendent si importants : la pugnacité, la ténacité et la persévérance.
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