Bruno Gaccio

Il est gentil, ferme, poli, intelligent et il s’intéresse aux gens, à ce qui leur arrive même quand c’est des ordures. Il cherche à comprendre. L’écoute de l’enflure, faut avoir ça dans le sang parce que des fois t’as juste envie de les jeter par la fenêtre les salauds que tu arrêtes. Lui jamais. Il écoute, il argumente, il questionne. Des fois il nous les brise un peu avec sa droiture. Mais c’est sa nature : il cherche à comprendre.

• Public Sénat "On travaillera plus longtemps : ça fait partie du jeu" estime @jeromebignon sur les #retraites.
"J'ai 70 ans, je travaille encore, j'ai commencé à 23 ans. [...] Ce n'est pas impossible"
#ParlementHebdo
• réponse de B. Gaccio : Va dire ça à mon père qui a passé 50 ans sur des échafaudages, l’hiver à cailler l’été à crever de chaud et qui s’est tapé l’amiante sur 80% des chantiers. Ha bah non il est mort de l’amiante à 72 ans. C'est con il aurait aimé te mettre sa main de maçon dans la gueule mon Jerome.
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>> https://twitter.com/GaccioB/status/1206526872097632259

L'idée que comprendre la personne qui s'exprime avant qu'elle ait fini de s'exprimer, signifie très probablement qu'elle allait balancer un lieu commun mille fois proféré, ne l'effleure pas.

On a les aveuglements qu'on mérite... Robert Ménard

Tu ne sais jamais si c'est l'accumulation de petites choses ou un gros truc qui crée le déclic.

« Les Guignols » étaient incontournables dans les années 1990. Un exutoire collectif à une époque où les réseaux sociaux n’existaient pas..
L'Obs

Je m'appelle Bertrand Morrilo. Je suis un flic dépressif et je viens d'avoir quarante cinq minutes de bonheur.