C. J. Roberts

Alors c'est la première fois que je lis un roman érotique, après ce n'est peut être pas le meilleur livre pour découvrir ce genre littéraire, quoiqu'il en soit il m'a laissé une très bonne impression. J'ai malgré tout eu un peu de mal avec le début de l'histoire et notamment où Livvie se fait enlever par Caleb et subi des châtiments où je me suis senti mal à l'aise de temps à autre, ce n'est tant pas le fait des scènes de Bdsm qui m’ont perturbé mais plutôt le contexte de l'histoire, mais ce qui rends ce livre intéressant c'est le passé de chaque protagonistes. Pour Livvie voyant Caleb pour la premier fois, elle croit avoir découvert un être qui représente tout de l'homme idéal, mais Caleb est loin de cela, comme il le dit lui même, il n'est pas le prince charmant mais Caleb hormis son rôle de tortionnaire est un personnage bien plus complexe. Il ne désire qu'une chose, la vengeance d'un homme et se sert de Livvie pour parvenir à ses fins.



Livvie quant à elle perd tout espoir face à ce cauchemar mais au fil de l'aventure elle va changer et devenir quelqu'un d'autre elle va finir par même tenir tête à Caleb qui d'un autre côté se laisserai prendre par les sentiments et en éprouver pour Livvie et devenir autre homme. et ce qui est intriguant c'est que Livvie avec tous ce qu'elle à subi, éprouvera des sentiments pour Caleb, je me suis fais la réflexion que c'était le cas typique du syndrome de Stockholm.



C'est donc à un scénario très complet que nous découvrons même si il possède des scènes de bdsm qui peuvent rebuter, elle possède également des scène érotiques qui font preuve de beaucoup d'amour de tendresse et de sensualité entre les deux protagonistes.



Ce premier volume est donc une réussite, j'avais peur de tomber dans une histoire trop classique de l'érotisme et je n'en sort pas déçu. Je continuerai à lire les aventures de Livvie et Caleb dans le second tome.

Je me suis lancée dans cette lecture à cause de la couverture que je trouvais intrigante mais jolie et ensuite, je me suis attardée sur le synopsis. Je savais plus ou moins à quoi m'attendre avec ce livre. Je préfère vous prévenir tout de suite, tout le monde ne sera pas à l'aise avec cette lecture, pourtant, si l'on compare à un cinquante nuances de Grey ou un livre sur les biker, Captive in the dark ne devrait pas trop vous choquer. A un ou deux détails près tout de même.



Je ne sais pas trop quoi en dire sur ce livre. J'en sors assez mitigée à vrai dire, car c'est quand même un sujet difficile voire tabou qui n'est habituellement pas abordé dans les livres à part si l'auteur lui-même en est concerné ; donc une biographie. Ici, l'auteur met le sujet bien en avant et d'ailleurs tout tourne autour de ça. Il y a des scènes choquantes, très dérangeantes comme la soumission que l'auteur pousse jusqu'à l’extrême. Il y a aussi les corrections infligées à l'esclave quand elle a un soupçon de rébellion.



Tout d'abord, l’héroïne a dix-huit quand elle se fait kidnapper par Caled. Je trouve que la pilule ne passe pas du tout quand tu vois que la gamine est jeune comme ça. Elle se retrouve dans une pièce, plongée dans le noir. Pourquoi ? Parce que Caled doit se venger de l'homme qui a détruit sa vie en lui faisant subir les pires sévices étant enfant. Mais pour l'atteindre, il lui faut ramener un magnifique cadeau. Prêt à l'emploi. Une esclave sexuelle vierge. C'est pour ça que l’héroïne, cette jeune-fille se retrouve dans cette chambre. Il va la former et pour y arriver, il doit être le Maître et elle, l'esclave. Il n'a pas le choix. On comprend bien qu'il a du mal, qu'il n'aime pas faire ça, d'où certaines caresses et tendresse envers la victime pour l'apaiser. Elle doit se soumettre à lui. Mais jusqu'où l'être humain est prêt à aller pour assouvir sa vengeance. Dingue. Et le plus drôle dans tout ça, c'est de se retrouver à avoir de l'empathie pour le bourreau. Suis-je cinglée ? Comment vous expliquer ça

sans trop en dire ?!

L'auteure, CJ Roberts, nous met en face un bourreau soit le Maître qui doit dompter sa victime afin d'être opérationnelle le jour J. Sauf que voilà, nous rentrons directement dans la peau de nos deux personnages. Complètement immergés dans la phase de torture. Du coup, quand Caleb corrige ou fait subir à Olivia, certaines choses, il se remet souvent en question. On sait donc que c'est dur pour lui mais qu'il n'a pas le choix. Le truc est enclenché. Pour atteindre son but final, il doit agir ainsi.

Quand par exemple, la jeune-fille se fait corriger, toucher voire plus, par son Maître, on souffre aussi. Y a de quoi disjoncter, sincèrement ; mais, c'est assez romancé en plus d'être glauque (enfin, je trouve) même si c'est loin d'être une romance.

Les deux finalement sont attachants même si l'histoire reste tordue avec un comportement ambiguë pour l'un au fil des pages ! Il parait qu'un lien se tisse chaque jour que l'on passe avec son bourreau....jusqu'à la fuite...s'il y a fuite.



CJ Robert a été forte sur ce coup là. Il faut quand même de l'imagination avec esprit assez chiffonné pour écrire une histoire pareille. Comme je l'ai précisé plus haut, j'en ressors mitigée après lecture. J'ai eu un peu de mal à cause de l'âge de cette jeune-fille et d'une scène qui m'a assez déroutée, même si on comprend en avançant dans l'histoire, pourquoi Caleb a réagi ainsi. La première partie est un huit clos. C'est donc éprouvant, étouffant pour elle comme pour nous. Nous sommes cloîtrés dans le noir à attendre notre sort, tout comme Olivia. Qu'est-ce qui va se passer. La deuxième partie est la fuite mais pour combien de temps ? L'écriture de l'auteure est fluide, addictive et crue parfois. Les pages tournent rapidement tout simplement parce que l'on veut savoir où l'auteure veut nous emmener.

C'est un roman très spécial avec une suite que j'aie l'intention de lire même si, je le répète, je reste mitigée. La fin, ma foi, présage quelque chose de lourd dans le tome 2.

On va commencer fort comme cette lecture : j'ai adoré !!!! Oui, difficile à imaginer au vu du sujet, cette histoire est troublante voir plus, le côté noir, dur et atroce des événements sont limites supportables... Je n'accepte et ne tolère pas ce qui arrive à l'héroïne... et pourtant ! Quelque part la cruauté fait partie intégrante de l'histoire !



C'est très compliqué, à dire que l'on a aimé quelque chose de difficilement acceptable !



Livvie, quelle femme, on fait corps avec elle, s'est un sacré personnage qui évolue très vite, qui change, elle nous effraie elle aussi. Elle est très courageuse car rien ne lui est épargnée, en même temps elle est fragile. On est dans sa tête, on comprend et accepte ses choix. Une héroïne forte et fragile. Elle m'a conquise complètement, je suis sous le charme de Livvie.



Caleb, une petite parcelle de nous le comprend, enfin mauvais mot : s'explique l'homme qu'il est, ce qu'il est devenu. Par moment, on est comme Livvie, on baisse la garde mais en même temps on a peur de lui. Son personnage est vraiment bouleversant, complexe, dur et méchant. Pour parler de lui, on retient son souffle, il nous captive et nous effraie. On hait une facette de son être, il nous révulse mais... Y a toujours a un moment où l'on change d'avis.



Le récit, a deux voies, amène une dimension totalement différente à notre lecture. Avoir le point de vue de Caleb est fort, notre perception est chamboulée !! Si je n'avais eu que le point de vue de Livvie mon avis aurait été tellement différent et je n'aurai pas adhéré je pense !



Mon ventre et mon coeur ont fait des saltos, les larmes sont venues, quand je reposais le livre j'avais le coeur qui tambourinait et je tremblais mais on est captivée par la lecture, par notre héroïne et son bourreau !!!!! Et pour ma santé mentale : il me faut la suiteeeeeee !!!!!!



L'auteure est vraiment trop forte, elle mène son histoire avec justesse, les personnages sont poignants, horribles mais ils ont plusieurs facettes, leur passé est lourd, enfin tout est parfaitement bien géré !!!!!!!



Elle alterne les points de vue : de la première personne quand c'est Livvie qui nous raconte, du coup on est totalement en communion avec elle. Puis la troisième personne pour Caleb, on essaye du coup de rester détaché de lui. C'est magnifiquement choisi !



Je ne regrette rien, bien au contraire, les personnages et l'écriture de l'auteur sont d'une grande puissance ! Cette histoire est certes : dérangeante, horrible mais raconter de main de maître !



Je ne peux le conseiller ...A chacun de voir jusqu'où ils veulent aller dans leurs lectures. Je mets en garde : âmes sensibles s'abstenir, ceci n'est pas une romance, on n'est très loin du fleur bleue ! Vous acceptez de plonger dans la noirceur.





Je conclurai par mon avis personnel : une lecture coup de poing, grinçante dans les aspects mais que j'ai dévoré ! Nos sentiments sont ballotés, contradictoires, ça nous choque cependant c'est plus fort que nous, on est ensorcelé ! Une lecture qui change, qui sème le doute, qui nous retourne, qui est aussi bluffante dans sa narration ! L'auteur m'a retenu captive, on est à sa merci !!!
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L’une des séries la plus perturbante, la plus sombre, la plus cruelle et la plus émotionnelle que j’ai pu connaître. C’est grâce à cette série que j’ai commencé à lire de la Dark Romance. C’est même mon premier coup cœur dans ce genre. Et lorsque j’ai appris qu’il y aurait un tome épilogue, j’ai su que cela allait être énorme ! Résultat ?



♥ Un épilogue parfait à une série déjà parfaite ! ♥



Le fait d’avoir le point de vue unique de notre anti-héros Caleb ainsi que ses pensées les plus intimes, rend ce récit encore plus mémorable et extraordinaire. Il est différent de ce qu’il était lors de sa première rencontre avec Livvie. Il n’est plus cet être froid et sans scrupule mais il n’est pas non plus le Prince Charmant. Il peut se montrer un peu rude et reste diablement sexy. Il est loin d’être parfait. Mais pour Livvie, il est prêt à tout pour essayer d’être le meilleur.



Quand à Livvie, elle aussi a énormément changé. Elle a gagné en assurance, elle ne se laisse plus faire et elle arrive à tenir tête quand il le faut. Une chose est sûre elle aime plus que tout Caleb. Mais en même temps, elle doit également faire face à certains de ses démons. Surtout lorsque le passé resurgit sans crier gare. Elle perd pied et a beaucoup mal à revivre ces terribles souvenirs.



Caleb et Livvie peuvent enfin être eux-mêmes sans faux semblants et être honnêtes l’un envers l’autre bien qu’il soit toujours difficile pour chacun d’exprimer ce qu’ils ressentent réellement. De plus mener une vie normale après tout ce qu’ils ont traversé n’est pas chose aisée. Mais ensemble ils vont tout faire pour se construire un petit cocon rien qu’à eux rempli d’amour, de rire, de réjouissance et beaucoup d’extase.



♥ En bref ♥



CJ Roberts est une auteure qui assure grave. Elle possède un talent fou pour rendre ses lecteurs raides dingues de sa série. Avec une prose qui est tout simplement spectaculaire, elle nous offre une fin à couper le souffle. Je me suis laissée happer par ce petit chef d’œuvre tout en savourant chaque instant. Livvie & Caleb resteront à tout jamais dans mon cœur et mon esprit. The Dark Duet est une série hors norme aux sensations ultra fortes qui est à découvrir...
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Ce livre m’a fait passer par toutes les émotions possibles, des émotions pleines de contrariétés.

Autant le sujet est difficile, voire même inconcevable et l’attitude de Caleb immorale, autant j’avais envie de savoir ce qui allait se passer. Comme Livie, j’attendais avec appréhension la prochaine punition, la prochaine caresse ou le prochain événement.

Si on prend ce livre au premier degré ou comme une biographie, l’histoire est révoltante, intolérable, mais si on le prend pour ce qu’il est, une fiction, alors on peut prendre du recul et passer un très bon moment.

Bien sûr, un élément majeur à prendre en compte c’est que ce livre n’est absolument pas tout public. Il doit être réservé à un public averti qui doit s’attendre a des scènes réservées aux adultes.

Car oui, certaines scènes sont érotiques et d’autre violentes.

Une fois les avertissements donnés et que vous acceptez de lire, vous pourrez, comme moi, passer un très bon moment et vivre des émotions contradictoires tout le long de votre lecture. Et vous dire finalement qu’il aurait été dommage de passer à côté.



A la fin de ce premier tome, on trouve le début du tome suivant et là on sent que l’histoire va aborder un nouveau tournant et à nouveau nous faire vivre une multitude d’émotions. Par contre, après avoir lu ce début, j’ai juste envie de pleurer à cause du peu que je viens de lire et parce que je dois attendre des mois pour découvrir la suite.



Les personnages.



Une grosse partie de l’histoire se passe en huis clos, seul Caleb et Livie nous occupent.

Caleb est un personnage très complexe, devenu dresseur d’esclave sexuel afin d’assouvir une vengeance, on sent qu’il n’est pas en parfait accord avec lui-même. Tout au long de l’histoire on en apprend plus sur son passé et ce qu’il ressent puisque la parole lui est régulièrement donnée.

Tout comme Livie, je l’ai détesté par moment (ou comme il le dit lui-même à Livie : j’aurais aimé le haïr) et à d’autre moment il m’a attendri, me faisant même de la peine.



Livie est une jeune femme qui n’a pas beaucoup d’estime d’elle-même à cause de ses parents qui n’ont jamais été très aimant et qui la considère comme une pute. Et pourtant, elle fait tous ce qui est en son pouvoir pour se faire aimer. Elle se camoufle et essaye de rester invisible pour ne pas attirer les regards sur elle, mais rien n’y fait.

Lorsqu’elle est enlevée et contrainte à devenir une petite chose soumise à la volonté de son Maître, elle est totalement déchirée par ses propres sentiments car elle a en elle un côté grande gueule et un côté plus doux qui ne sont pas toujours en accord. Livie est très attachante, on ne peut qu’avoir envie de la protéger et surtout on comprend ses sentiments.



Avis sur le style de l’auteur



Alors là, je dis BRAVO. L’auteure a un don exceptionnel pour faire ressentir à ses lecteurs les sentiments de ses personnages. Grace à son écriture envoûtante (parce qu’arriver à ce niveau on ne peut plus dire captivante), elle parvient à nous faire entrer dans la tête de ses personnages, de les aimer, les détester, souffrir et prendre du plaisir avec eux.

Tout comme elle le fait avec Livie, elle parvient à nous faire oublier ce qui devrait être mal pour le transformer en plaisir. C’est assez perturbant mais tout à fait impressionnant.

Et ça marche !

Alors, je le redis, BRAVO à elle.

Comment exprimer ce que j'ai ressenti pendant la lecture ? Ça a été une lecture en plusieurs étapes : d'abord la curiosité. Entre le résumé et les critiques que j'avais lu j'étais curieuse. Ensuite j'ai oscillé entre deux envies : refermer le livre et poursuivre la lecture. Mais la plume de CJ Roberts fait du bon travail et au final impossible de refermer le livre. Je voulais voir la relation de Livvie et Caleb évoluer. C'est un roman où ce n'est pas tellement la description des actes qui est bouleversant mais c'est la dimension psychologique qui est marquante.

Malgré tout jusqu'à la fin j'étais persuadée que je m'arrêterai au 1er tome. C'était sans compté sur la décision bien maligne des éditions Pygmalion-Gérard Watelet de mettre les premières pages du 2ème tome à la fin. Maintenant il va falloir que je le lise, c'est ballot ;-)

Je suis quand même assez déçue sur le fait que la pub et la façon dont a été mis en avant ce livre, ne sont en réalité que fumé. On le décrit comme «dark érotique» … Mais j’ai trouvé le livre assez soft, finalement. Certes, l’enlèvement et la séquestration sont assez durs à comprendre et on a du mal à ne pas être énervé en début de lecture. Mais on finit par créer un lien avec Caleb, le bourreau, l’auteur a su le rendre vulnérable par son passé et cela atténue notre rancœur envers lui. Après dans le côté tordu, le fait de dresser la fille pour en faire une esclave sexuelle, a de quoi révolter une lectrice, mais je pense qu’il faut savoir voir au-delà de ça. Je ne dis pas de l’oublier, mais quand on lit le livre jusqu’au bout, on s’aperçoit que Caleb rencontre des difficultés à ne pas s’attacher à elle et à la traiter comme toutes les autres, mais je vous laisserais découvrir comment. Et du coup, cela nous permet d’entrevoir un futur un peu moins sombre et horrible que l’on s’imagine au début du livre. Par contre, l’auteur a parfaitement su poser son univers et l’atmosphère. Comme la jeune fille dont j’ai oublié le prénom, nous sommes complètement désorientés par le fait que l’auteur ne date pas son récit, nous n’avons pas de lieux ni le fait que l’on soit le soir ou le matin, nous sommes dans une perte de repères comme elle. Et j’admire assez l’auteur de ce côté, surtout qu’elle arrive mine de rien et malgré le côté dérangeant à vous ancrer dans son histoire avec deux personnages forts intéressants. Et comme je le disais plus haut, elle arrive à nous attendrir avec le passé de Caleb. Mais j’ai trouvé aussi un rythme assez soutenu et je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer, par le fait que j’angoissais, mais aussi parce que j’attendais chacun de leur tête-à-tête pour voir comment l’auteur allait tourner son histoire et aussi par une grosse curiosité sûrement malsaine, mais j’avais ce besoin de savoir ce qui allait arriver à la jeune fille. Que j’ai toujours en fermant le livre, j’ai besoin de savoir si Caleb changera d’avis ou si la jeune fille finira par s’échapper.





En conclusion, j’ai dans l’ensemble assez bien apprécié ma lecture, même si comme beaucoup je pense, j’ai eu du mal avec le début et le fait d’avoir une femme-objet sexuelle. Mais il faut vraiment passer outre cette image pour découvrir l’univers et les personnages de l’auteur. D’autant plus que l’auteur a su parfaitement m’ancrer et rendre son atmosphère assez réelle pour ma part. J’ai vraiment hâte de lire la suite pour savoir ce qui va arriver et comment cela va se finir.
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Quand on est un lecteur, il arrive parfois que l’on tombe sur de petites pépites, des livres hors du commun à l’histoire absolument unique qui va nous faire vivre tout un tas d’émotions, qu’elles soient positives ou négatives. Captive in the Dark fait partie de ces romans. Et pour cause ! C.J. Roberts nous conte ici une histoire qui nous révolte, qui nous choque et qui nous oppresse de par la situation de huis-clos que l’auteur nous impose. Pourtant, on est incapable de lâcher l’intrigue une fois que l’on a commencé l’intrigue…



Evidemment, Captive in the Dark est un roman dont l’intrigue est incroyablement choquante et révoltante. C.J. Roberts nous parle d’esclavagisme sexuel, de culture du viol, de meurtre… Malgré cela, j’ai été intrigué par la façon dont l’auteur allait gérer cette histoire et cet aspect ; et j’ai été agréablement surprise. Si ce premier tome est absolument atroce, l’auteur nous parle de quelque chose d’extrêmement important à travers son histoire : le syndrome de Stockholm.



Evidemment qu’il n’est pas normal ou compréhensible que Livvie finisse par tomber amoureux de Caleb, et ce d’autant plus que celui-ci n’agit que par vengeance et se montre parfois d’une cruauté qui fait froid dans le dos. De fait, j’ai fortement apprécié que C.J. Roberts ne fasse pas de Livvie un personnage qui se soumet sans rien dire, mais qui, au contraire, se débat face à cette situation, sans sombrer dans le désespoir, cherchant à tout prix à fuir cette situation d’horreur.



Dans Captive in the Dark, la force de caractère de Livvie est quasi équivalente au désir de vengeance de Caleb donnant lieu à des confrontations assez explosives. En effet, Livvie est un personnage assez étrange, mais qui possède un caractère très fort et impétueux. De l’autre côté, Caleb est le genre de protagoniste un brin bipolaire que l’on ne peut que détester tant son comportement est aussi incompréhensible qu’impossible à accepter. De fait, C.J. Roberts ne nous force pas à aimer ses personnages, bien au contraire.



C.J. Roberts joue ici un jeu assez particulier. Loin de ne faire apprécier ses protagonistes, on a la sensation qu’elle nous pousse à les détester et à se prendre d’affection pour Livvie. Elle titille notre curiosité à travers une intrigue dérangeante, et ça fonctionne. On a envie d’en savoir plus et une fois ce premier tome achevé, on a envie de plonger dans le second pour essayer de comprendre où veut nous emmener l’auteur.



Captive in the Dark est un roman captivant et déroutant qui nous entraîne au coeur d’une histoire sombre et de la partie la plus choquante la littérature. C.J. Roberts réussit pourtant le pari fou de nous entraîner avec elle, quand bien même on ne serait pas d’accords avec sa vision des choses. Une lecture aussi passionnante que dérangeante, mais qui reste malgré tout réservée à un public averti.
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Une romance classée en VO dans le dark érotic ce qui est tout à fait justifié. On se prend au jeu de ce duel entre victime et kidnappeur. Caleb et Olivia nous emmène dans un univers sombre, sensuel et cruel où on s'attache peu à peu à ses personnages pleins de paradoxes, de souffrances et de besoin affectifs.

La barrière de la langue n'est absolument pas une gêne dans cette agréable découverte.

Déjà hâte de lire la suite !
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Un tome un peu moins bon que le premier : trop de scènes de sexe inutiles au détriment du thriller.



Comme j'avais finalement vraiment aimé le premier tome de la série, malgré des scènes de sexe vraiment gore parfois, j'ai continué ma lecture. Cependant cette fois, je n'ai pas été conquise malheureusement.

Même si j'ai réussi à terminer le livre (plus pour connaître l'épilogue que pour le contenu que j'ai trouvé trop léger en révélations et rebondissements, sauf à la toute fin), je dois avouer que ce tome 2 m'a beaucoup moins plu. J'ai trouvé que le livre faisait la part belle aux scènes de sexe gratuites, qu'elles étaient trop nombreuses et quasi incessantes dans le roman, au détriment de l'intrigue de fond. Cela m'a vraiment ennuyée, je ne trouvais plus ce qui m'avait plu dans le premier opus, ce huis clos psychologique qui avait tant aiguisé mon intérêt. La fin nous réserve malgré tout quelques surprises, mais elles se seront fait attendre.



Pour conclure : je suis donc un peu déçue, mais je l'aurai tout de même terminé.
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Après l’intensité qu’avait été ma lecture de Captive in the Dark, j’avais peur de lire Seduced in the Dark. Peur d’être déçue, de moins ressentir l’histoire et de trop la juger, peur que l’auteur nous livre quelque chose de simple et sans saveur. Quelle erreur, mais quelle erreur les enfants ! Seduced in the Dark est largement à la hauteur de son prédécesseur, le surpassant parfois, nous offrant une intrigue qui tourne autour du syndrome de Stockholm et cache bien des secrets.



Tout le long du roman, on s’interroge, on se demande ce qui a bien pu se passer pour qu’on en arrive là et chaque fois que l’on pense avoir un début de réponse, on se rend compte que les choses sont bien plus compliquées qu’il n’y paraît. En effet, C.J. Roberts ne fait rien de simple ou d’évident avec son histoire, elle prend des chemins détournés et escarpés pour nous amener là où elle veut. De fait, on ne s’ennuie jamais vraiment en lisant cette histoire qui nous prend aux tripes et nous retourne littéralement le cerveau.



Seduced in the Dark est un roman qui est vraiment surprenant, tout comme l’était Captive in the Dark. Il repousse les limites et fait se confronter deux mondes : celui de Livvie qui vit avec la douleur d’avoir perdu Caleb et celui des personnes qui l’entourent, qui ne comprennent pas sa souffrance. Forcément, on se retrouve une nouvelle fois dans un huis clos dérangeant, mais d’une manière complètement différente de précédemment. Si l’on a toujours cette sensation d’étouffer, les flashs-back qui nous racontent la partie de l’histoire que l’on a manqué nous permettent de respirer en quelque sorte.



Le lien qui unit Caleb et Livvie était incompréhensible dans le premier tome, et pourtant, avec ce deuxième opus, C.J. Roberts réussit à merveille à nous faire entrevoir le pourquoi du comment. Petit à petit, on apprend à apercevoir l’humain derrière le monstre qu’est Caleb, nous permettant ainsi de « comprendre » pourquoi Livvie est aussi paradoxale vis-à-vis de lui. En effet, si elle a réussit à se libérer de lui, elle souffre de son absence, poussant ainsi la psychologie de ce personnage à son paroxysme. On a ainsi plusieurs fois l’impression d’être au coeur de cette pièce où se déroule l’histoire et de la vivre avec les protagonistes tant les mots de C.J. Roberts sont poignants et percutants.



Avec Seduced in the Dark, rien n’est laissé au hasard et tout est millimétré. On sent que l’auteur y a mis du coeur et tout son talent pour nous offrir quelque chose d’exceptionnel. Si l’on découvre de nouveaux personnages, on sent que l’auteur a quand même tenu à ce que Livvie et Caleb reste le centre de notre attention, et forcément, on se retrouve pris dans les filets d’une intrigue captivante dès les premières pages.



Finalement, il fût bien difficile d’arriver à la fin du roman et de devoir dire au revoir à Livvie, Caleb et tous les autres. Bien que cette histoire soit dure et étrange, elle n’en fût pas moins passionnante et restera longtemps dans ma mémoire. Il ne reste donc plus qu’à attendre la parution de l’épilogue, ultime opus de la série qui reprend des passages de Seduced in the Dark, mais du point de vue de Caleb. Un roman qui pourrait s’avérer plus qu’intéressant étant donné qu’on ne le voit que très peu dans ce roman. Affaire à suivre…
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Loin d’être niais, ennuyant voire ridicule, l’auteure nous plonge dans un univers sombre, où le sexe et la violence sont les maîtres mots. Dès les premières lignes, le lecteur sait ce qui l’attend : le marché d’esclaves sexuels, avec la référence du Zahra Bay’, le marché aux vierges qui se déroulera ici au Pakistan. Ces pages vous emmènent dans un monde où « partout, les monstres étaient tapis », où les cauchemars ne se réalisent pas que la nuit venue, car les monstres sortent en pleine lumière, leur humanité apparente les soustrayant aux suspicions des gens.



La narration alterne entre une focalisation interne dans le cas de la jeune femme (dont son prénom ne nous sera dévoilé que bien après le début du livre), soit zéro lorsque le récit concerne l’homme, le persécuteur. Cette lecture est malsaine, faisant osciller le lecteur entre excitation, envie d’en savoir davantage, peur et révolte.



Ce qui m’a sans doute plu dans ce livre et a désamorcé mon appréhension de me lancer dans un ouvrage de dark erotica, c’est que ce n’est pas une histoire cucul et/ou de sexe, et où l’auteur ajoute un semblant d’histoire pour la forme. Captive in the Dark, c’est une véritable histoire, sombre, dure, cruelle, où le sexe n’est qu’un outil exploité pour le scénario, afin de permettre au protagoniste d’arriver à ses fins.



Au fil du temps, les rapports entre l’héroïne et son ravisseur se font plus complexes, perdant la jeune femme dans un imbroglio de sentiments contradictoires.

Le récit n’est pas centré que sur la fille et ce qu’on lui fait subir ; l’auteur met également Caleb en lumière, ce qui permet de se rendre compte de la complexité de l’être humain, ballotté entre les blessures du passé et les cicatrices du présent. De la torture de petits garçons esclaves sexuels à Téhéran, du huit-clos étouffant de la jeune femme enfermée dans une chambre sombre pendant des semaines, des visites régulière du ravisseur venu profiter d’elle, C.J. Roberts crée une atmosphère pesante, étouffante, où le lecteur n’aura qu’une envie, retrouver lui aussi la lumière et la chaleur du soleil sur sa peau.
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J'ai entendu parlé de ce livre depuis très longtemps. Je l'avais remporté lors d'un concours mais je redoutais énormément cette lecture que j'ai repoussé le plus possible. Ce fut une grossière erreur car Captive in the Dark est une histoire magnifique, dure mais sublime et on ressort de la lecture avec un sentiment assez inhabituel. En effet, c'est très déroutant car on cherche à mettre des mots sur ce que l'on ressent et on se demande aussi comment il est possible d'aimer autant un livre qui parle d'un sujet terrible. Je ne suis pas loin d'un gros coup de coeur.



Captive in the Dark est donc un roman très sombre avec des scènes érotiques. Pourtant ces dernières ne sont pas nombreuses et CJ Roberts les a formidablement bien écrites. C'est bien là le problème : on apprécie intensément les scènes dures , violentes car elles ne sont absolument pas glauques. C'est à ce moment là qu'on se dit : mais c'est pas possible , j'aime ça et c'est un incroyable surprise.



Livvie , aussi connue sous le nom d'Olivia, mène une vie assez ordinaire et monotone où l'essentiel est de rester invisible, de ne provoquer aucun remous ou réaction. Elle ne sait pas qu'elle est observée depuis des semaines et qu'elle va devenir la pièce maîtresse d'une vengeance terrible. Pourquoi l'a t-on choisie? On se pose la question et nous n'avons pas une réponse explicite. On découvre la jeune femme lors d'un moment terrible de sa vie : elle a été kidnappée et depuis elle est enfermée dans une pièce dans le noir, coupée du monde extérieur et de toute humanité. Loin de se laisser abattre , elle va tout faire pour résister avec les moyens dont elle dispose. C'est une jeune femme au caractère bien trempé et qui a du mal à se soumettre au désir de cet inconnu. Elle va tenter de résister mais la violence sera une arme de destruction massive. Elle ne perdra jamais son côté humain et elle va mettre tout en oeuvre pour essayer de se sauver de cette situation inextricable. J'ai adoré ce personnage fort . Livvie ne perd jamais son empathie, son humanité envers son kidnappeur. Ce qui est très intéressant et ce qui rend donc incroyable cette histoire , c'est qu'elle tente de comprendre les motivations de Caleb, de trouver des excuses à ses gestes et à ses actes. Elle voit en lui un être humain et c'est peut être ça qui va éventuellement la sauver. On découvre également au fil de notre lecture le passé de Livvie et il fait froid dans le dos. Sa mère se fiche éperdument d'elle et la considère d'une manière vraiment atroce et horrible. Livvie est une jeune femme coupée du monde dont personne ne se soucie. Sortira t-elle indemne de cette séquestration? Pourra t-elle redonner un peu d'humanité à Caleb? Quel sort lui réserve t-on?



Caleb est un personnage qu'on devrait détester et même haïr. Pourtant très vite et de manière surprenante , on ressent de l'empathie pour ce personnage. Je n'aime pas les histoires très sombres et je ne suis intriguée que par les histoires dures mais dans lesquelles les sentiments ont leur place. Il est impensable pour moi de voir un personnage se faire torturer et en retirer un quelconque plaisir. C'est pour ça que j'ai énormément apprécié le personnage de Caleb. Il a , malgré les apparences, une part d'humanité enfouie en lui et au contact de Livvie on sent comme une faille s'ouvrir en lui. Alors oui il fait preuve de violence vis à vis d'elle mais elle est contrôlée et ne dépasse jamais les limites. On sent qu'il est touché par sa présence et même si se refuse à mettre un nom sur ce qu'il ressent , il a des sentiments à son égard. Nous découvrons également son passé et ce qui l'a amené à agir de la sorte . Sa vengeance est "raisonnée" et explique le pourquoi de la situation. Il est sous la coupe de Rafiq et une espèce de chantage affectif s'opère entre les deux hommes. L'un a sauvé l'autre et c'est donc à son tour de lui rendre l'appareil. On comprend aussi les raisons de cette vengeance qui semble légitime. Pourtant , à l'instar de Livvie , Caleb n'est qu'un victime. Victime de son passé, victime de ses souffrances, victime de son honneur qu'il doit préserver. Caleb est un personnage très complexe et j'ai vraiment hâte de voir comment il va agir et réagir dans le 2ème tome Seduced in the Dark. Il est devenu un robot et on a envie de voir le côté humain ressortir. Caleb est il prisonnier de son passé? Va t-il préserver Livvie ou la manipuler pour assouvir sa vengeance? Une rédemption est elle possible?



Bref si vous n'avez pas encore lu ce premier tome et si vous en redoutez la lecture comme c'était le cas pour moi, n'hésitez plus et foncez. CJ Roberts parvient à nous plonger dans une histoire atrocement magnifique et on s'attache très vite aux personnages. La lecture est très addictive et il nous est très difficile de poser le livre. On veut savoir ce qui va se passer et même si la fin ne laisse pas place à un intense suspense , on n'a qu'une envie : savoir la suite des événements. Captive in the Dark est une formidable histoire à manquer sous aucun prétexte.
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Un roman avec une histoire et un vocabulaire pures et dures! Moi? J'adore! ;)

Je vous dis pourquoi:



Pour commencer, Captive in the Dark est un roman que beaucoup de personnes peuvent ne pas aimer! Il ne peut pas convenir à tout le monde! Il peut être assez choquant et horrifique pour certaines personnes. Donc, âme sensible s'abstenir...



Je peux être qualifié de sadique en disant que j'ai beaucoup aimé car, dans ce livre, notre héroïne va être "éduquer" pour devenir esclave sexuel. Tout ça pour venger, Caleb, d'un de ses ennemis. Elle va être enlever, séquestrer, violer, battue et j'en passe... J'ai été horrifié comme tout le monde pendant ses moments, j'avais pitié pour elle et je la soutenais. Elle va vivre des choses horribles et je n'ai pas digérer une seule chose de sa part: c'est son attachement, rapide, pour cet homme.



Je ne suis pas sadique, je vous rassure, tout ce qui lui arrive m'a choqué, malgré le fait que j'ai lu d'autres livres de ce thème. J'ai aimé ce livre parce qu'il m'a fait ressentir énormément de chose et j'étais littéralement plongé dans le livre pour savoir ce qui arriverais à notre héroïne. Je l'ai lu très vite et je ne demandais qu'une seule chose après: la suite!



L'auteure a su me transporter dans son univers et c'est pour cela que j'ai beaucoup aimé ma lecture car l'histoire m'a tenu scotché au livre donc je ne me suis pas du tout ennuyé!



Qu'on le qualifie de Romance peut ne pas du tout coller! Je dirais que c'est plus de la Dark Romance mais vraiment Dark!



J'ai détesté les personnages comme j'ai aimé leur histoire et pour cela, bien sur, je lirais la suite!



Je ne le recommande pas à tout le monde comme je l'ai déjà dit! Si vous n'aimez pas le BDSM pure et dure, la soumission et les thrillers, passez votre chemin! Pour les autres, allez y et essayez de ne pas porter un jugement fatidique, trop vite. ;)

Une dark comme on les aimes ou plutôt comme on s'y attend, qui respecte les codes.. Une vraie dark !



Une histoire de vengeance qui amène à l'enlèvement d'une jeune fille pour qui la vie n'a déjà pas était tendre. C'est un univers sombre où on parle de viols, d'abus sexuel, de destruction psychologique mais ces sujets sont tellement bien amenés et maîtrisés que ce n'est pas choquant, ça fait partie intégrante de l'histoire.



Une histoire captivante, addictive... Il estt difficile de refermer ce livre une fois qu'on l'a ouvert ! Je suis très curieuse de découvrir la suite et voir où l'auteur va nous emmener !

Cela faisait quelques années que j'avais lu le premier tome, et en y repensant il m'avait plus mise mal à l'aise que captivée mais bon, c'est avec une certaine appréhension que je me suis lancée dans cette "fin" (il y a un épilogue en plus que j'ai déjà lu). Et pour être honnête ce fut l'une des lectures les plus difficiles que j'ai fait de toute ma vie.



Commençons par le personnage principal masculin, Caleb, mais quelle horreur ! Aussi violent qu'abusif, j'ai failli arrêter ma lecture à plusieurs reprises tant certaines scènes sont horribles et très dures à lire en particulier pour une femme je trouve. Et le prétexte du "charme" qu'il dégage pour justifier ce qu'il fait m'a glacé le sang. Décidément, ce genre d'anti-héros va beaucoup trop loin pour moi.



Cependant, et même si ça ne sauve absolument pas le roman, le suspens est très bien mené et le rythme reste dynamique d'un bout à l'autre du livre, et la fin est infiniment plus "agréable" et captivante à lire que les trois quarts du roman qui ont été comme une longue traversée du désert. De plus, et malgré l'intrigue secondaire de l'agent Matthew Reed qui ne va nul part et ne sert à rien, le retournement final est intéressant.



Enfin bref... Un genre qui n'est visiblement pas fait pour moi, une intrigue trop sombre et violente malgré une fin qui relève quelque peu le tout. Mais cette relation toxique m'a mise très mal à l'aise, ce qui n'enlève presque rien au rythme dynamique et au suspens prenant et maitrisé de l'auteur. Je ne vous le recommande pas à moins que ce ne soit un genre que vous appréciez, en ce cas il vous plaira sûrement.
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Contre toute-attente, car je déteste le BDSM, j'ai été passionnée par ce premier tome.



Alors attention, c'est vraiment un roman à réserver à un public plus qu'averti ! Âmes sensibles s'abstenir !



J'avais arrêté la série après quelques pages, dérangée par le côté BDSM très appuyé et des scènes qui m'avaient mise très mal à l'aise. Il faut dire que l'auteure n'y va pas de main morte avec les scènes de sexe, de viol et de torture, ce qui n'est vraiment pas ma tasse de thé. Cependant, je l'ai reprise il y a quelques jours, tentant de passer outre. Finalement, je me suis étonnée moi-même puisque j'ai été passionnée par l'histoire, et surtout la relation victime/bourreau entre Caleb et Livvie.

Que je précise, je ne peux nullement trouver belle l'histoire d'amour car pour moi, ça n'est pas de l'amour, mais un syndrôme de Stockholm entre une jeune fille de dix-huit ans, vierge de surcroît, et son kidnappeur et violeur.

Alors qu'est-ce qui a bien pu me plaire dans ce roman, me direz-vous ? Tout le reste. L'auteure a le don de mener ce huis clos psychologique de main de maître. On se retrouve totalement hypnotisé, autant par l'horreur de ce qu'elle vit et qui pourrait arriver à chacune de nous, que par le besoin de savoir pourquoi Caleb est aussi tordu et si elle va s'en sortir.

Le fait d'en apprendre plus sur son enfance, sur sa propre expérience, nous fait un peu plus comprendre son désir de vengeance, mais en aucun cas ça ne l'excuse. Un bourreau reste un bourreau, c'est clair, peu importent les circonstances.

La plume de C.J Roberts est addictive. Elle nous colle à notre siège et donne à ce duo une ambiance particulière.



J'ai de suite embrayé sur la suite, vous aurez donc mon avis rapidement.


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Je suis assez impressionnée par ce livre, on va au-delà d’une simple captivité. Malgré toute la noirceur que l’on a, on découvre une histoire d’amour magnifique, mais tout un côté thriller complètement hallucinant auquel je ne m’attendais vraiment pas. Par rapport au premier, ce tome est tout plus. Plus hard, plus mouvementé, plus sentimental, plus hallucinant et j’en passe. L’auteur nous ancre encore plus dans l’univers des esclaves sexuels en poussant les choses parfois un peu trop loin et de façon beaucoup moins édulcorée que dans le premier tome. Et en contrepartie, elle a su apporter beaucoup de douceur et de romance avec ces deux personnages principaux. Ce tome nous montre la lutte continuelle qu’ont Livvie et Caleb avec leurs propres sentiments et leurs devoirs pour certains. Ce qui nous emporte dans des montagnes russes assez mouvementées. Mais toute l’intrigue autour de Caleb est juste hallucinante et waouh. Tout ce que l’on découvre sur la fin, m’a complètement retourné et fait voir les choses différemment. Nous vivons cette histoire, la romance, d’une façon différée. Livvie est entre les mains du FBI et Caleb n’est plus là. Mais elle raconte la suite de son aventure afin de montrer Caleb autrement que dans le rôle de bourreau. D’ailleurs, on voit la perception d’un agent du FBI changer sur Caleb. La fin est juste grandiose et vraiment inattendue.



En conclusion, un avis vraiment dur à faire, mais l’histoire est juste hallucinante, ce second tome est bien meilleur et vraiment représentant de l’univers auquel je m’attendais en entendant parler de dark romance. Il faut vraiment savoir aller au-delà de la captivité et la domination au sens vraiment sombre, pour y découvrir une histoire d’amour vraiment magnifique et surtout impensable. Je suis vraiment assez curieuse de voir un troisième tome, alors que pour ma part, j’ai une très belle conclusion sur ce tome-là, mais j’ai hâte d’en découvrir plus sur Caleb.
Lien : http://plaisirdelire69.blogs..

dans ce troisième tome nous ne sommes plus dans de la "Dark romance" mais de la new romance puisqu'ici nous suivons les retrouvailles de Livie et Caleb et l'envie de sortir de leur drame pour réellement vivre.

Nous sommes du point de vue de Caleb et retraçons avec eux comment ils en sont arrivés là.



J'avais vraiment adoré le tome 1, un peu moins le 2. celui ci m'a plus, j'aime bien l'idée de pouvoir comprendre ce qui se passe dans leur tête et comment ils gèrent tous les drames qui les ont touchés. On les voient se reconstruire avec des hauts et des bas et quand on a aimé des personnages il est sympa de voir leur évolution

Mon premier livre de Dark Romance, et je l'ai abandonné au bout des premiers chapitres. Ce n'est tout simplement pas mon style de roman. Psychologiquement, il n'était pas possible pour moi de continuer. Je ne comprend même pas pourquoi on appelle ça de la "Romance", le viol n'est pas de l'amour à mes yeux.