Carine Girac-Marinier

Si les premières descriptions de héros et de dieux m’ont laissé penser que ce mini Larousse n’avait pas d’intérêt, j’ai vite changé mon fusil d’épaule.



D’abord, il n’y a pas à être exigeant avec ce genre de court ouvrage destiné à attiser la curiosité avec des morceaux choisis. Il remplit bien son office.

Ensuite, j’y ai trouvé une originalité : parvenir à attirer l’attention sur les différences entre les versions grecques et romaines de certains dieux comme Arès/Mars ou Hadès/Pluton. Ca rappelle quand même que les romains n’étaient pas des creux qui se contentaient de vampiriser l’existant ailleurs. Ils avaient une base de religion qui a fait syncrétisme avec la grecque.

Puis il y a les chouettes illustrations choisies dans la peinture des temps modernes aussi bien que dans les mosaïques d’époque romaine.



Enfin, les cerises sur le gâteau, ce sont les petits récits complets qui content une péripétie du dieu ou du héros. On est là proche du conte.



Bref, un ou deux chapitres avant de partir au boulot, ça m’a donné de l’énergie. Que demander de plus ?

Le journal la guerre des Lulus est un ouvrage qui explique le déroulement de la première guerre mondiale au travers des personnages de la célèbre bande dessinée. De nombreux thèmes y sont abordés permettant aux enfants de comprendre de manière ludique et pédagogique le déroulement de cette guerre des enjeux, des innovations terrifiantes de l'armement et des progrès scientifiques et médicaux . Pour chaque thème , une double page y est consacrée la première qui reprend un passage de la BD et la seconde des documents historiques avec des articles de journaux , photos etc. Un livre qui a sa place dans les écoles.

C’est tout d’abord un très bel ouvrage ; riche en illustrations et en documents annexes, une couverture épaisse munie d’un rabat qui donne un aspect précieux au livre.

L’ouvrage présente de nombreuses énigmes de l’histoire de France : qu’est devenu l’or des templiers ? Qui était l’homme au masque de fer ? A quoi correspond les alignements de Carnac ? Nostradamus est-il le roi des astrologues ? L’abbé Saunière a t’il trouvé un trésor à Rennes-le-Château ? Mata Hari était-elle une agent secret ? Jeanne d’Arc s’est-elle échappée avant sa condamnation au bûcher ?… ainsi que de nombreuses autres dont je ne connaissais pas l’existence.

Pour certaines de ces énigmes, finalement la réponse a été trouvée, pour d’autres il y a de nombreuses hypothèses dont certaines privilégiées et d’autres restent des énigmes complètes.

Chaque énigme est traitée en 4 ou 6 pages avec de nombreuses illustrations et l’ensemble est très agréable à lire car les explications sont clairs et intelligibles.

J’ai appris des éléments nouveaux avec ce livre même si, j’avoue, mettre moins intéressé (ou plutôt carrément ignorer) aux faits historiques que je connaissais moins ou pas du tout.

Un « beau livre » plutôt bien réalisé dans l’ensemble (avec peut-être les illustrations du type fac-similé ou documents annexes qui ne sont pas très utiles par contre) et accessible à tous.

Je ne présente plus Assassin's Creed ! Quiconque me connaît, me suit via mon blog ou les réseaux sociaux sait à quel point je voue un culte à la licence, que je l'aime d'un amour inconditionnel !



Dès que j'ai vu les deux beaux livres sur l'Égypte et la Grèce Antique à la médiathèque, je les ai réservé direct pour qu'il ne me passe pas sous le nez !



C'est la plus chouette des idées que le Discovery Tour dans Assassin's Creed pour en apprendre plus sur L Histoire, les cultures et croyances d'une contrée/d'un pays dans les jeux. C'est vraiment très ludique, très interactif et ce n'est pas du tout scolaire et je trouve cela incroyable. Il n'y a pas de conflits et pas de contraintes de jeu. On suit un guide, un personnage que l'on choisit, on se rend sur les marqueurs et on se laisse porter. On en apprend plus sur les lieux, les personnages, les événements clés...



Le slogan d'Assassin's Creed, c'est "L'Histoire est notre terrain de jeu". C'est tout à fait ça ! Étant passionnée d'Histoire, Assassin's Creed me permet d'apprendre tellement de choses, d'enrichir ma culture générale et je peux faire étalage de ma culture au quotidien d'une manière ou d'une autre.



L'objet livre est magnifique, avec une couverture molletonnée. Ils sont assez petits et très courts, à peine 100 pages et je trouve que le prix est top. ça me donne bien envie de me les acheter pour ma collection !



Nous avons une carte de l'Égypte, de courtes explications, quelques commentaires par rapport aux jeux, des photos extraites du jeu, des sculptures/objets... avec à chaque fois des légendes. Visuellement, c'est donc magnifique. Les informations ne sont pas difficiles à comprendre, en fait, tout est résumé donc c'est idéal pour en apprendre un peu plus sur l'Égypte mais pas en profondeur en revanche.



Huit grands thèmes se dégagent : Un pays autour du fleuve, 30 dynasties en 3 millénaires, la religion de la vie à la mort, des temples pour l'éternité, le temps des pyramides, les lieux des jeux, société et vie quotidienne, redécouverte de l'Égypte.



On y parle du Nil bien sûr, du pays (Haute et Basse Égypte), de la faune et de la flore, des différents déserts, des oasis, de la monarchie, des pyramides, du Sphinx, des différent(e)s empires/périodes/dynasties, de la société, des pharaons, des personnages emblématiques (Alexandre le Grand, Cléopâtre...), des dieux et déesses, des animaux divins (Apis, Sobek...), des fêtes et des prêtres, de la momification, des objets rituels (amulettes...), de la vie et de la mort, des temples, des pierres/minéraux, des métiers, des lieux mis en avant dans le jeu (Alexandrie, Cyrène, Phanos et son phare...), de l'agriculture, de l'alimentation, de la mode et des cosmétiques, de la médecine et de la magie, des objets du quotidien, du foyer égyptien, des scribes, de l'écriture (papyrus, hyéroglyphes...), de l'égyptologie moderne, de la fascination et de la préservation pour l’Égypte, et bien d'autres choses encore !



Cela me donne envie de me replonger pour la énième fois dans l'Égypte Antique, de rejouer à Origins en sachant que c'est mon openworld favori entre tous.



En bref, ces deux magnifiques livres sont destinés aux fans des jeux, à ceux qui aiment L Histoire et vraiment idéal pour les plus jeunes. Ils sont très intéressants et riches. J'ai quand même une petite préférence pour celui sur l'Égypte. Maintenant, j'attends une version pour Assassin's Creed Valhalla, que ce soit un Discovery Tour dans le jeu ou un livre comme ces livres sur Origins et Odyssey !

Ce livre est un petit format. Il est facile à lire et assez complet. Nous retrouvons les principaux dieux et héros de la mythologie grecque, les plus connus.

Ce très beau livre encyclopédique regroupe des planches illustrées datant du XIXe siècle issues des archives des éditions Larousse. A gauche, les mots instruisent sur l'animal, le végétal, les arts, l'industrialisation, les technologies, l'Histoire... à droite, les dessins offrent des gravures, certaines seulement encrées et d'autres colorisées. Il synthétise notre monde dans tous les répertoires, jusqu'à ce siècle en pleine évolution. Comme me l'a dit une amie, c'est un inventaire à la Prévert. Un inventaire dense répertorié en dix parties, dont les intitulés n'ont rien d'austère...

A tire d'aile, Le petit peuple de la Terre, Les profondeurs sous-marines, Les travaux des champs, Au cœur du potager et de la vigne, Le jardin dans tous ses états, Les clameurs citadines, Vue d'ateliers, Tous en scène !, Tumultueux champs de bataille.

Ce puits de savoir à l'étendue universelle est très instructif, mais pas seulement. Si j'ai choisi cet ouvrage académique, ce dictionnaire très complet, c'est surtout pour ses illustrations qui sont une source inépuisable pour celles et ceux qui crayonnent et qui peignent. Les traits, les détails, les couleurs et leurs variétés sont d'une grande richesse.

Cette encyclopédie est un superbe ouvrage qui peut ravir les grands et les petits. Il forme, il cultive, l'intelligence, la curiosité et l'imaginaire...

Pour célébrer le 170e anniversaire de leur création, les éditions Larousse publient ce bel ouvrage grand format, tout en couleur, qui rassemble 70 planches encyclopédiques issues des différentes publications Larousse depuis 1952 (Dictionnaires et encyclopédies).



Il s'agit d'un ouvrage que tous les passionnés de l'aventure éditoriale de Larousse souhaiteront acquérir. Il viendra rejoindre en bonne place — pour ceux qui ont le bonheur de la posséder — la brochure publiée en 1952 à l'occasion du centenaire des éditions Larousse. Cette précédente publication, bien que plus modeste, car en noir et blanc et ne comportant qu'une cinquantaine de pages avait le mérite de présenter l'historique de cette illustre maison d'édition. On y trouve aussi une biographie de ses fondateurs : Pierre Larousse et Augustin Boyer. Cette brochure était illustrée par des photos montrant les anciens locaux de la maison d'édition, ses ateliers d'impression, ses entrepôts et aussi une lettre manuscrite de Pierre Larousse et d'autres documents intéressants comme cette page de dictionnaire avec l'épreuve corrigée à la main. Ce document donne une idée du travail colossal que représente la réalisation d'un dictionnaire surtout au XIXe siècle !



Aujourd'hui donc les éditions Larousse renouent avec cette tradition qui consiste à célébrer l'oeuvre accomplie par ce génie doublé d'un travailleur infatigable « Pierre Larousse ».



La page de gauche est consacrée à des explications actualisées concernant les illustrations de la plage de droite. Les planches en couleurs sont magnifiques, pour la plupart supérieur en qualité à ce que l'on produit de nos jours).



Une excellente initiative donc, mais je regrette simplement que cet ouvrage ne comporte pas une annexe pour indiquer les références des ouvrages d'où sont extrait les planches. Une ou deux pages auraient pu être réservées pour présenter les couvertures des principaux dictionnaires et encyclopédies. Une introduction présentant l'historique des publications ainsi qu'une biographie de Pierre Larousse aurait été utile. En effet, Pierre Larousse ce modeste instituteur devenu écrivain, lexicographe et éditeur, reste finalement assez peu connu du grand public même si son nom est devenu synonyme de dictionnaire.



Les textes associés aux illustrations sont instructifs et divertissants, car ils comportent de nombreuses anecdotes historique et scientifique.



— « Planches insolites Larousse 170 ans de trésors », Larousse (2022), 175 pages.

Tout comme la BD « les enfants de la résistance », la BD « la guerre des Lulus » nous propose un livre d'histoire sur la Première Guerre mondiale illustrée de quelques vignettes de la bande-dessinée, mais aussi de textes écrits par les Lulus reliant le récit à l'histoire de la guerre.

Tout d'abord, le livre est de qualité avec un papier épais et un style « vieux journal » pour un rendu très joli.

On découvre donc tous les détails de la guerre avec les commentaires des Lulus et des petits paragraphes qui s'arrête sur bien des aspects du conflit : le travail des femmes à l'arrière, les offensives célèbres, le rationnement alimentaire, la vie sur les territoires occupés, les mutineries, l'arrivée des américains, les troupes des colonies… bref, c'est très complet, bien présenté et plein d'informations autant pour les plus jeunes que pour les adultes.

Un ouvrage de qualité donc et vraiment intéressant pour découvrir cette terrible Première Guerre mondiale.

Très beau documentaire bien ficelé avec une très belle mise en page nous ramenant dans la bd de la guerre des lulus, et plus précisément le contexte de la première guerre mondiale qui est abordée. On retrouve ce récit avec une partie manuscrite avec des tâches d encre et des explications d enfants et une partie présentée telle un journal avec une iconographie d époque. On dirait un carnet de combattant et c'est assez judicieux de le présenter de cette manière.

En lisant le titre, je m'attendais vraiment à trouver dans ce journal des éléments propres à leurs vécus, qui ne sont pas dans les bandes dessinées comme des détails ou des choses plus personnelles.

Cependant j'ai tout de même beaucoup apprécié ce journal, une partie qui explique vraiment bien la guerre, bien détaillée, un plaisir à lire et à mieux comprendre ; un autre côté qui retrace l'histoire des bandes dessinées "la guerre des Lulus".

Ce journal se lit vraiment bien, pas de pavés, lecture très nette, des photos qui accompagne la lecture, ce que j'ai apprécié regarder.

Je le recommande vraiment pour tous ceux et toutes celles qui veulent en savoir plus sur la partie "civile" de la guerre.

Avec cet ouvrage retraçant 170 ans de trésors, l’éditeur Larousse brasse une multitude de sujets - des plumes aux maladies des pommes de terre en passant par les blasons… Il y en a pour tous les goûts !



Un ouvrage de qualité avec à chaque fois une double page : celle de gauche réunit des explications sur les éléments présentés en illustration sur la page de droite.

On en apprend beaucoup sur des sujets très divers (j’ai principalement utilisé le Sommaire pour découvrir les thèmes qui m’intéressent) mais j’ai trouvé un peu dommage le fait qu’on ait aucune explication sur les illustrations : dans quelle encyclopédie telle planche a-t-elle été trouvée ?



La couverture met en avant ces fameux 170 ans, dommage qu’il ne soit pas précisé à chaque fois la date de telle planche. Ça permettrait aux lecteurs une plongée qui paraîtrait encore plus éloignée (qui peut dire si la planche des oiseaux de paradis n’est pas vieille de 10 ans et celle des œufs 110 ans ?)



Merci beaucoup aux éditions Larousse ainsi qu’à Babelio pour cette découverte archivistique passionnante !

Non ! La fantasy aurait donc des poncifs ? Gobelins, elfes, anges, démons, dragons, châteaux et épées magiques, ce seraient des choses qui y reviendraient un peu trop souvent ?! Chaque auteur digne d’intérêt tente ou bien de fuir ces archétypes, ou bien de les renouveler pour ne pas les laisser se transformer en stéréotypes. Parfois, une autrice sympathique comme Maggie Furey s’amuse à cumuler énormément d’éléments classiques pour livrer une aventure généreuse en rebondissements. Mais là où se démarquent vraiment des maîtres comme ceux qui ont créé le jeu de cartes Magic : The Gathering, c’est qu’ils reprennent eux aussi une grande quantité de tropes mais en les poussant tous au maximum. En découlent de véritables tueries visuelles mélangeant les styles, les époques, les échelles de gigantisme ; et lorsque c’est mêlé à un peu de fantasy plus avant-gardiste, c’est encore mieux.

Au fil des années, le multivers du jeu Magic a acquis une richesse et une ambition incommensurables. Porté par des illustrateurs variés obsédés par l’amour du détail, il émerveille des millions d’amateurs de la fantasy. Et si vous êtes aussi ignares que moi sur ses règles tarabiscotées, ne craignez rien : Jay Anneli, l’un de ses conseillers, a décidé de compiler ses meilleurs artworks dans une encyclopédie illustrée de (seulement…) 250 pages.

On découvre ainsi la complexité de cette quinzaine de mondes reliés ensemble par une Histoire commune s’étendant sur des millénaires (paradoxes temporels non compris). Autant prévenir, malgré la démesure, on reste dans de la Big Commercial Fantasy : les alliances de certaines factions entre elles semblent franchement illogiques, et les personnages sont du genre : « Je vais me battre jusqu’au bout pour instaurer une monarchie absolue qui ne pourra qu’apporter à mon peuple la paix et la liberté ! » ou bien « Il m’a volé ma tototte le jour de ma naissance, l’Univers entier va subir ma VENGEAAAAANNNNCE ! ». Sans doute des biographies plus longues auraient-elles pu nuancer un peu plus la donne ; en l’absence de quoi, on est entourés de grands méchants carnavalesques et de héros loyaux bons avec tout de même une grosse tendance à se darkvadorifier.

Ceci étant posé, regardons tout de même le cœur de l’ouvrage : ses visuels ! Et c’est splendiose, oui, je maintiens, il n’y a pas d’autres mots. Les gobelins ont des gueules surprenantes, les êtres maléfiques sont inventifs et vont piocher aussi bien dans le psychédélique que le lovecraftien, de gigantesques dieux se déploient dans un ciel étoilé, d’immenses jungles s’offrent à nous, des héros regardent l’horizon depuis leur désert avec une étrange mélancolie. Des civilisations plus exotiques sont également convoquées, ainsi que l’art gothique et peut-être quelques éléments de celui Nouveau. C’est riche, pas toujours original ou subtil, mais toujours prêt à dépasser les limites de l’incroyable pour revenir à ce qui constitue selon moi la base même de la fantasy : l’émerveillement.

Bref, Magic : Légendes est un Beau-Livre spectaculaire, un divertissement d’une ambition rare dans un monde où les blockbusters jouent eux aussi sur la démesure, mais sans oser aller aussi loin dans la diversité, la complexité ou encore les visuels horrifiques. Wizards of the Coast a sorti d’autres livres du même tonneau (de potion magique), et il n’est pas impossible que je mette un jour la main dessus. Ça me dépaysera, ça me donnera une nouvelle occasion de râler sur le manque d’ambition de la littérature blanche ; et puis dans tous les cas, c’est pour ma culture…
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Après Le Journal des Enfants de la Résistance, voici le pendant consacré à la première guerre mondiale, avec cette fois la bande-dessinée La Guerre des Lulus comme base.



Un documentaire consacré à la Première Guerre Mondiale avec une double-page par thème. A chaque fois une page avec des extraits de la BD et de petits textes qui pourraient être rédigés par les Lulus, et une autre page consacrée au "Journal de Guerre" avec des images d'archives et des articles présentant les faits.



Un documentaire parfait pour en savoir plus sur la Première Guerre Mondiale, tout en gardant le côté sympa de la bande-dessinée.



A mettre dans les CDI de collège !!
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Un ouvrage décalé et hilarant, riche de 150 publicités allant de la Belle Epoque à aujourd'hui.



Cette audacieuse compilation, qui n'a pas la prétention d'analyser les images ni de les replacer dans un contexte politique ou militant, nous raconte une histoire, celle de l'évolution de la société : la publicité n'est-elle pas le reflet le plus parlant d'une époque, de ses clichés, de ses a priori, de ses modes ou encore de ses lubies ?



Un livre drôle, parfois scandaleusement insolent, à feuilleter sans modération aucune.

Extrait :

Comme indiqué dans le synopsis, la série de livre Discovery Book n’est pas un ouvrage qui se veut pleins d’informations super poussées et détaillées. Le livre se concentre surtout sur les liens entre l’Egypte et le jeu vidéo Assassin’s creed Origin. Il y a donc aussi des informations historiques assez communes, malgré tout, j’ai réussie à apprendre quelques petites choses en plus. Le livre est surtout pour la culture générale, même si, dans le cas d’Origin, il m’a semblait y avoir plus de choses dans le Discovery tour, version virtuelle du livre. Je pense même que les deux évoquent des choses que l’autre n’a pas toujours.



Par contre, je ne me souviens plus si le discovery tour, version virtuelle, est gratuit ou s’il faut le jeu de base pour y accéder. En tout cas, ce livre, lui est disponible pour 16.95€, ce qui reste un prix raisonnable, surtout si on compare à d’autres livres avec pleins d’images… Après, de là à ce qu’il le soit pour chaque élève, là c’est une autre histoire, mais il peut servir dans un CDI par exemple. Le seul désavantage que je lui trouve pour l’instant, c’est qu’il est assez lourd, malgré qu’il soit court. Sans doute à cause de sa couverture bien épaisse dont j’aime bien la texture, peut-être aussi aux pages, qui sont tout aussi épaisse et qui survivront sans doute, facilement à plusieurs lecteurs. Les images du livre sont tirées, autant que possible, du jeu, pour le reste il s’agit de photographie. Des explications sont mêmes donnés quant aux décisions pour le jeu, ainsi que ses quelques infidélités historiques, notamment pour l’état des pyramides de Gizeh.



Dans le jeu, et dans ce livre, il n’y a pas que les pyramides qui sont présentés parmi les 7 merveilles du monde antique. Par contre, la pyramide de Khéops est la seule encore visible aujourd’hui, les autres ayant disparues. L’autre merveille est le phare d’Alexandrie, un phare imposant qui guidait les navires. Le pauvre a fini détruit, en partie à cause de séisme, mais aussi, sans doute, via différentes batailles. Désormais, il y a le fort Qaitbay à sa place, qui a en partie était construit avec les ruines du phare d’Alexandrie. Ce que j’ai apprécié, c’est la partie embaumement, parce qu’il y a eu une évolution de ce côté-là, et j’avoue que je l’ignorais pour certaines parties. Le livre évoque également les pillages au fil des siècles des diverses tombes, notamment pharaoniques qui abritaient beaucoup d’or. Les premiers « archéologues » n’étant pas les derniers non plus dans ce domaine. Depuis, il y a un musée, au Caire avec pas mal d’objets venant de ses tombeaux. Certains ont même été restitués, le musée doit être beau à voir ! Certaines des pièces voyagent également dans les musées d’autres pays, j’ignore si elles sont liées au musée du Caire par contre.



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Lien : https://sunread26.wordpress...

Véritable petit condensé de grands personnages de la mythologie grecque !

Ce petit livre est très pratique pour une première approche de la mythologie, il effleure quelques grandes figures sans pour autant toutes les aborder malheureusement.

Les descriptifs des dieux et des héros sont très simples et comprennent des petits résumés d'une de leurs aventures.

Petit point qui m'a peinée, les illustrations de chaque personnages cités ne sont que des images d'objets archéologique (poterie, fresques, ...) donc l'originalité et la créativité ne sont pas vraiment au rendez-vous.

Ayant personnellement une très bonne base dans ce domaine, je vous cache pas que je l'ai lu jusqu'au bout pour savoir quelle partie de la vie des personnages serait un peu plus développée mais sans ça, je pense que je me serais ennuyée.

Il reste cependant très intéressant pour acquérir un début de base dans le domaine assez rapidement et pour voir si la mythologie pourrait vous intéresser.

Mini aime la mythologie en ce moment, alors nous poursuivons la découverte des différents dieux et héros grecs. C'est avec Persée que nous avons continué nos lectures, Persée étant un héros fort célèbre, notamment pour avoir tué Méduse, la fameuse Gorgone.



Ici, c'est l'histoire complète de Persée qui est racontée : sa naissance, son enfance, ses différents exploits, et jusqu'à sa mort.



Persée est le fils de Danaé et de Zeus. Alors qu'un oracle avait prédit au père de Danaé qu'elle mettrait au monde un fils qui le tuerait, il avait enfermé celle-ci pour qu'elle ne rencontre aucun homme. Mais Zeus rendit visite à Danaé sous forme de pluie d'or et celle-ci, enceinte, fut jetée à la mer. Sauvée par Dictys, il l'épousa et éleva Persée comme son fils. Mais alors que Persée avait grandit, le frère de Dictys, le roi Polydecte, voulut lui voler Danaé. Persée l'affronta et dû fuir l'île, après avoir promis de ne revenir qu'une fois qu'il aurait tué la Gorgone. Avec l'aide d'Athéna et après différentes péripéties, Persée tuera Méduse, sauvera Andromède qu'il épousera, et pourra rentrer chez lui et libérer sa mère.



J'ai été un peu ambitieuse pour Mini car c'est un texte complexe, riche et long. J'ai dû lui expliquer beaucoup de choses et le vocabulaire est particulièrement compliqué, malgré un lexique à la fin du livre, facilement utilisable car les mots définis sont en orange à chaque occurrence dans le récit. Au début du livre, une double-page présente les différents personnages, ce qui aide à se retrouver dans l'histoire.



J'ai trouvé la mise en page un peu austère, peu aérée. Par contre les illustrations sont jolies, et Mini a bien aimé les observer. Il y en a environ une page sur deux, parfois toutes les pages.
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Ce grand coffret Montessori d'initiation au calcul est rempli de trésors cachés pour les enfants dès l'âge de 4 ans.

À l'intérieur nous y retrouvons tout le nécessaire afin qu'il puissent apprendre tout en s'amusant :

- un petit livret d'activités avec le sommaire qui explique tout le fonctionnement du contenu.

- « compter et s'initier au calcul » grâce aux cartes numérotées de 0 à 9 ainsi qu'aux cartes avec barre numérique pour se former à l'addition.

- apprentissage d'un nombre et d'une quantité grâce à des perles colorées.

- familiarisation des chiffres ainsi que de l'addition avec les cartes voiliers et coccinelles.

- différencier les chiffres pairs et impairs grâce aux jetons.



Une fois de plus Montessori séduit les grands comme les petits.


Lien : https://www.lireetsortir.com..

J'ai voulu l'acheter pour mon fils mais j'en ai appris autant que lui. Finalement, je n'hésiterais plus à lire cette collection pour enfant afin de pallier mon manque de culture.