Cédric Ghorbani

Une très bonne BD ludique et amusante, à partager en familles ou à offrir aux jeunes astronômes en herbe !
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Reprise de blagues, un peu dépassées mais largement connues cette bande dessinée se lit très rapidement, avec un léger sourire mais sans aucune surprise. Le premier problème c'est que ce n'est pas annoncé et je m'attendais à autre chose. Le deuxième c'est que je les connaissais toutes ou presque ces blagues et qu'il n'y a pas de quoi s'en vanter.

Une BD qui fera rire les plus jeunes, même s'il y a besoin de décrypter quelquefois.

Annoncé comme le tome 1, je n'ai pas trouvé de suite....

Bof. Changer de dessinateur à ce moment de l'histoire, c'est vraiment pas top. Ils auraient au moins pu choisir un illustrateur dont le dessin ressemble au précédent! Le scénario aussi est bizarre, la personnalité des personnages semble avoir changé. Bref, je suis vraiment déçue par ce tome, qui malheureusement, va avoir une suite! Il ne reste plus qu'à espérer mieux...

Tout d'abord, je tiens à remercier Babelio et les éditions Bamboo pour cette bande-dessinée reçue dans le cadre d'une masse critique.

Je suis fan de bande-dessinée alors je me suis dit pourquoi ne pas essayer celle-ci. Il est vrai que les premières pages sont timides et peu intéressantes, mais plus on avance et plus les anecdotes sont drôles - ce qui est un vrai plaisir. De plus, on apprend beaucoup de choses et c'est très agréable.

Une bonne BD entre humour timide et informations très intéressante sur l'archéologie. Idéal pour les jeunes qui souhaiteraient se lancer dans cette voie.

Cancre un jour, cancre toujours, oui mais un moment donner…….. Faudrait s’y mettre un peu à travailler. Je n’aimerais pas que mes petits-enfants en face autant.

Ça fait un peu penser à la série de BD Les profs, mais en beaucoup beaucoup moins drôles. Les illustrations sont moins belles et l'écriture est placée de telle sorte que ça envahit trop les cases. Très peu intéressant en somme.

Vous l'aurez compris en voyant la couv', le guide des fonctionnaires est une bande dessinée humoristique sur ces 5 millions de Français et d'Européens qui servent l’État, ses collectivités territoriales et ses hôpitaux.

Les fonctionnaires ont toujours une pile de dossiers "protectrice" alors qu'ils ne foutent rien, ils sont malaimables, procéduriers (Préfecture? Sécu?) crétins pour certains... Leur famille et leurs amis sont tout aussi infréquentables!

Comme dans tout stéréotype, il y a du vrai et du faux.

Je suis contractuelle dans la Fonction Publique territoriale et les temps ont bien changé: plus de titularisation à outrance, les dotations de l’État qui baissent d'année en année et de facto, le personnel qui se raréfie... Donc plus de boulot pour ceux qui restent.

Du coup, la BD n'est plus vraiment en phase avec la situation actuelle et quelques gags tombent à plat. Certaines scènes font quand même sourire et cela reste bien évidemment une lecture "détente".

Dans la lignée des précédentes, cette treizième aventure de Guillaume le collégien magicien est un treizième bon petit moment de lecture !
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je me suis un peu reconnue ,dans ma jeunesse.

Je remercie les Éditions Bamboo pour cette lecture. Une BD qui m’a beaucoup intrigué par le thème qu’elle aborde : l’archéologie. J’adore l’histoire et l’archéologie qui va avec, je trouve ça passionnant, du coup, j’avais très envie de découvrir cette BD.



Il n’y a pas d’histoire à proprement parler. Nous suivons divers personnages qui travaillent dans le domaine de l’archéologie. À travers ses différentes planches à but humoristique, il y a également un message éducatif.



On peut apprendre au cours de la lecture de cette BD que les fouilles au détecteur de métaux par des non-professionnels sont très réglementées, afin de préserver le patrimoine historique. On découvre le nombre d’années d’études nécessaires afin de devenir archéologue, etc.



On apprend rapidement qu’il y a plusieurs branches dans l’archéologie et plusieurs domaines différents. C’est ce qui rend cette BD vraiment intéressante. Elle est idéale, surtout pour un enfant ou jeune ados.



Comme il l’est dit au début du résumé « L’archéologie, ce n’est pas compliqué ! Il n’y a qu’à creuser ». C’est ce que rapidement beaucoup vont finir par penser. Pourtant, c’est plus. C’est ce que cette BD nous montre.



En bref, c’est vraiment une BD très intéressante. On y découvre le métier d’archéologue et surtout pourquoi ce dernier est important. Point bonus, il y a un livret à la fin de ce premier tome, nous expliquant l’importance de ce métier, les divers secteurs, les études nécessaires, etc. Une BD vraiment intéressante !
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Capucine semble victime d'une malédiction, ou d'un sortilège qui lui occasionne des brûlures, des douleurs, des blessures. L'origine est retracée dans le Berry, en 1451...



Le Collège envoie alors Guillaume accompagné de Dragounet, Thomas et Adrien, qui est en stage pour devenir Inspecteur, dans le passé.



Ils sont confrontés à un procès pour sorcellerie. La présumée sorcière ressemble trait pour trait à Capucine. Guillaume perd tout sens commun et foire un sort... Cherchant à protéger la sorcière, il transfère les douleurs des séances de torture de la sorcière vers Capucine dans le futur...



J'ai beau tourner le trucmuche dans tous les sens, on a les deux pieds dans le plus beau paradoxe temporel... Et bardaf, c'est l'embardée. Niveau scénario, c'est très léger. On dilue et fait traîner l'intrigue, mais sans réelle tension.



Ajoutons à cela les éternelles approximations dans le dessin. Style: Tabatha a un tatouage sur le haut de la cuisse qui apparaît et disparaît au gré des cases.

Thomas et Guillaume rêvent tout éveillés. Et si on se chopait un trésor? Oui, mais un maousse, alors, gros çacom...



Ils tracent magiquement et tombent sur une planque dans le sous-sol d'une HLM de banlieue. Du recel, clairement. Mais avec protections magiques... et dont la porte s'ouvre suite au bon vieux "Sésame, ouvre-toi".



Voler un voleur, ce n'est pas bien, mais Thomas se laisse embobiner parce qu'il kiffe trop les fringues et les shoes qui sont dans la fourgue. Puis Thomas disparaît et le collège se rend compte que des sortilèges d'invasion sont planqués un peu partout...



On a alors droit à un grand final face à un djinn assez incohérent... qui se révèle être... [attention spoil] un élève d'un collège magique de banlieue... et vu que malgré son indiscipline il a réussi ses examens, il opte pour le Collège invisible, bien sûr !



Un tome globalement assez réussi, finalement, malgré un dessin qui fluctue encore beaucoup (longueur de jupes, épaisseur de jambes, silhouettes, etc.). On renouerait presque avec les meilleurs tomes des débuts s'il y avait plus de saillies drôles, de calembours un peu fouillés, etc. Mais non, on reste très basique, au niveau de quiproquos et de (faible) comique de situation.

Sur le mode humoristique le ba.ba de l'archéologie expliquée aux enfants mais pourquoi pas aux adultes qui n'ont pas perdu leur âme d'enfants..une bonne approche pour ceux et celles qui s'intéressent à l'histoire ancienne et aux traces qui peuvent subsister sous nos pieds..

Typiquement le genre de série qu'on s'est fait offrir à son anniversaire et qu'on garde uniquement pour ça.



Cette BD n'est tout simplement pas drôle. On ne rigole pas, pas du tout, et on ne sourit pas non plus. Parce que les gags sont nuls, tombent à plat, ou alors sont déjà connu (voir le type qui rend une copie de bac en retard).

Et sinon, le dessin n'est pas extraordinaire mais reste dans le ton des gags. Mais ca ne suffit pas.



Je me suis arrêté au premier tome, et vu le niveau je me demande ce qu'ils ont trouvé à mettre dans les suivants.



Une BD à oublier bien vite, rien n'est à retirer, rien à garder.

Bonjour !

Mon fils vous fait dire que cette bd lui rappelle les dessins des profs.

Il a apprécié les gags et anecdotes ainsi que le cahier didactique sur l’archéologie.

Merci pour cet envoi.

Deuxième BD de la sérié dessinée par Ghorbani. Le trait rond et souple de Donsimoni s'éloigne peu à peu. Il faut s'y faire, Ghorbani impose son style. Les personnages perdent leur innocence, leur caractère juvénile, ils deviennent durs. Le crayonné est plus imprécis, brut. A plusieurs reprises, les visages sont méconnaissables ou presque.



Côté scénario, on est dans la suite du tome 9. Guillaume et ses potes ont sauvé le monde. Mais le retour ne semble pas s'être déroulé sans heurts. Guillaume est amnésique. Dragounet est absent. Si Thomas est tel que d'habitude, les deux autres rescapés de l'aventure précédente ont fusionné et sont devenus puissant et tyranniques. Ils terrorisent l'ensemble des professeurs, asservissent les élèves, et soumettent les peuples féeriques. Mais par-dessus tout, ils recherchent Guillaume, seul apte à les mettre en échec.



C'est assez tiré par les cheveux et chaotique. On ne retrouve plus l'humour à la fois fin et potache, débridé et orienté auto-dérision des 8 premiers tomes. Je n'ai pas du tout accroché.

L'entame du tome est particulièrement réussie et intrigante. Guillaume se réveille et il est redevenu un enfant normal. Il divague, essaie de lancer des sorts, tente de persuader ses amis que quelque chose ne va pas... et derrière la porte qui ouvre le portail... des balais et un seau. C'est normal, c'est un placard à balais... Désespérant pour Guillaume.



Malheureusement pour le lecteur, qui va désespérer autant que Guillaume, le secret fait long feu et on apprend assez vite le pourquoi du comment. Un peu tiré par les cheveux, d'ailleurs. On a connu Ange plus inspiré.



Au passage, le seul point positif est d'apprendre comment Guillaume est devenu élève au Collège Invisible. Mais c'est tellement ubuesque que cela n'apporte rien au récit. Par contre, on aurait pu (c'est assez coutumier) avoir un tome complet consacré aux débuts de Guillaume dans le Collège. Tant pis.



Guillaume ne rate plus de sorts. C'est inédit. Et les autorités du Collège lui font confiance pour détourner le grand méchant du tome, alors qu'il s'apprête à dévorer la terre. Vu qu'il s'agit d'un monstre associé aux Grands Anciens (en l'occurrence F'taghn), on peut avoir peur à juste titre.



Il doit attirer le monstre et sacrifier un autre plan... sur lequel il trouve qui donc? Les Drims. eh oui. Quand un auteur est en panne d'inspiration, il reprend ses fondamentaux. Sauf que l'on ne reconnaît plus les Drims et que Guillaume accepte de les détruire assez facilement.



Le tout se termine dans une panade pas possible. Le manque de scénario, le chaos du récit, est accru par l'insuffisance de la plume de Ghorbani. Soyons clair, Ghorbani n'est pas un mauvais dessinateur. C'est juste qu'il ne satisfait pas ici. Là où Donsimoni faisait un dessin plein et rond, dynamique, Ghorbani dessine de manière hachurée, angulaire et sèche. Cela ne va pas.



Bref, comment couler une bonne série en 2 tomes... 8 et 9... C'est fait.

Du gag à la page à propos de l'univers. C'est moyennement drôle et le cahier pédagogique de la fin m'agace. Les éditeurs en collent partout.

Un deuxième tome gentillet qui peut être destiné à un large public, amateur ou non de la petite reine, mais qui a tendance à manquer un tantinet de consistance dans les gags.
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L’objectif de mettre en lumière les colonies de vacances chères à de nombreux enfants est louable mais le résultat n’est malheureusement pas à la hauteur.
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