Chris Lamquet

Imaginez, vous traversez un parc et vous tombez sur un cadavre tronçonné sans tête. Qu'est ce que vous faites? Vous appelez la police? Éventuellement vous vomissez ou vous vous mettez à hurler avant de faire un malaise. Eh bien Zoé elle, elle va le prendre en photo sous toutes les coutures afin d'alimenter son blog d'ado de pseudo détectives, puis elle se barre en courant. C'est qu'avec son groupe elle a maintenant un crime à résoudre!



L'histoire se passe à Bruxelles. Elle est centrée sur un groupe d'adolescents qui cherche à résoudre le meurtre "du tueur aux mangas", ainsi appelé car sur le corps des caractères japonnais ont été retrouvés. Ils veulent dire "je suis kroko" et font référence à un manga. En parallèle on suit l'enquête de la police qui avance moins vite que celle des adolescents...

L'enquête policière est plutôt intéressante, bien ficelée et dynamique. Mais l'histoire souffre quand même de plusieurs faiblesses. Tout d'abord les personnages sont très mal mis en valeur. Seule Zoé, celle qui découvre le cadavre, arrive à se mettre un peu en avant. Mais on peut dire que niveau profondeur et psychologie des héros c'est pas très recherché. Ensuite les dialogues sont hachés, manque de transition, voire partent dans tous les sens. C'est assez lourd à lire notamment quand les adolescents se retrouvent entre eux!!



Niveau dessins c'est pas non plus au top, ça passe mais les cases sont inégales entre elles et le rendus trop fades. néanmoins ça ne gène pas la lecture.



Malheureusement ce premier tome paru en 2012 ne verra jamais de suite. Les auteurs ou l'éditeur, je ne sais pas, ont jeté l'éponge. Pourtant ce n'était prévu qu'en deux tomes. Alors pourquoi cet abandon? Nous ne sauront donc jamais qui est kroko, le tueur aux mangas...

Petit tour avec Malcolm est la suite de Fucking Patriot. Sa suite... mais non son dénouement, car nous voilà engagés pour ce qui semble a minima devenir une trilogie.



Pour cette occasion, Youri Jigounov s'est associé à Chris Lamquet pour le dessin de cette suite qui se révèle à la hauteur du titre précédent... et le challenge n'était pas facile à relever. Choisir d'étoffer l'équipe a des conséquences graphiques indéniables, car cette fois-ci c'est le dessin qui prime sur le scénario. Ouf ! Celles et ceux qui apprécient les scènes d'action vont être aux anges... encore que le reproche déjà formulé pour Fucking Patriot peut être repris ici : trop c'est trop (l'arrivée de Sheena au club en est l'exemple le plus parlant) !



Des fusillades, des bastonnades et une scène en avion (tout le monde a déjà compris que ça allait sérieusement chauffer de ce côté là depuis la fin (et même le début) du tome 11. La scène de l'aérodrome (n'en disons pas plus) est digne des plus grands films hollywoodiens. Serait-ce un clin d’œil à Casino Royale (le film) avec l'Alaska en prime ? Il n'en demeure pas moins que cet épisode est époustouflant.



Pendant ce temps, l'intrigue avance à petit pas que ce soit du côté d'Alpha et de Sheena, de leurs collèges de la CIA et même pour certains autres hommes de l'ombre. Les flash-back sont utiles (pour faire des pauses bienvenues), tout en ravivant certains souvenirs. Sauf qu'ils mobilisent beaucoup d'albums (toute la saga en deux tomes quand même) !



Une bonne suite donc, mais orientée action. Dommage qu'elle ne fait pas avancer les choses (enfin si mais à petits pas). Pourtant l'ensemble reste de très bonne qualité. La lecture est franchement agréable, passionnante et immersive. La présence d'une tête déjà connue, grande amatrice de bains (ah la première de couverture !) aura de quoi convaincre les plus réticents !

Dans un futur lointain, l’espèce humaine est en voie de disparition. La cause en est le manque de femelle humaine, la quête du plaisir sexuel des mâles à l’aide de D-Lones, des femmes androïdes qui sont des poupées sexuelles. Dob’s est un code blanc, humain réputé stérile. Pour fêter son anniversaire, il fait escale dans une maison close de l’espace, se commande une D-Lone. Il n’est pas livré du modèle qu’il avait commandé mais d’une jolie poupée qui se rebelle et tente de fuir le bordel spatial. Cette D-Lones est plutôt douée d’intelligence et est, contre toute attente, capable de ressentir des orgasmes. Chaque orgasme fait alors apparaître un genre de bébé joufflu qui les conseille sur les futures possibles. Dob’s et Leen, la femme artificielle qui se montre plus qu’humaine doivent fuir rapidement car, le propriétaire de Leen, Alkhan, un puissant et cruel seigneur de l’espace, est à la recherche de sa précieuse chose. La coopération un peu forcée de Dob’s et Leen vont remettre en cause le futur de l’humanité, la vie pourrait naître de l’organique et du synthétique, créant là de nouvelles croyances et une nouvelle religion…

Cette bande dessinée est en réalité un manga. Une expérience née d’un dessinateur belge et d’un éditeur japonais. Ce livre fut d’abord édité au Japon. Il nous arrive en Europe mais se lit dans le sens de lecture européen. Il a été créé en plusieurs étapes, presque dix ans s’écoulent entre le début des dessins et la fin. Les dessins sont en nuances de gris. J’aime beaucoup le trait de l’auteur. Fouillé, des personnages réalistes mais aussi beaucoup d’autres, des aliens et des femmes artificielles sortis tout droit de l’imaginaire. Le scénario aussi est surprenant. Dès le milieu du livre, le réel et la science fiction se rencontre. Un concept intéressant. Le scénario, comme c’est paraît-il souvent le cas des mangas, est fortement influencé par les désirs de l’éditeur. Toujours est-il une belle expérience, pour un essais, c’est un presque coup de maître, qui piège le lecteur agréablement par son originalité, avec de belles cases et des dialogues vraiment sympathiques et emplis d’humour. La maison d’édition est Kana et j’ai de nouveau privilégié la version numérique sur IZNEO qui se montre, encore une fois de grande qualité. Même les doubles pages, dont le raccord du milieu frise la perfection et aussi la puissance du zoom sans perdre de qualité d’image. Ce zoom est surtout précieux quand les dialogues dans certaines bulles sont particulièrement serrés. Pour compléter la critique côté numérique, mes essais se font sur un iPad Pro, avec un écran proche du format A4. Je vous avoue ne pas encore avoir testé IZNEO sur iPhone ou sur un Pc ordinaire. Je ne manquerai pas de vous en informer quand je prendrai le temps de tenter ces expériences.

Ce douzième tome de la série Alpha est la suite (évidemment !) du précédent mais, disons-le tout de suite, pas sa fin. Jigounov aurait-il eu enfin l'idée de construire ses histoires sur plus de deux albums afin d'aérer son scénario ?

Toujours est-il que l'intrigue avance lentement car "Petit tour avec Malcolm" est nettement axé sur l'action (fusillades, poursuites, explosions, meurtres...). Du vrai cinéma américain de série B !



Comme d'habitude dans cette série, il y a beaucoup de personnages qui interviennent, même sur une ou deux cases, et il me faut toujours faire un effort de mémoire pour me souvenir de qui est qui, et surtout les reconnaître. En effet, cette fois-ci, Jigounov n'est plus seul aux dessins et il s'est adjoint Chris Lamquet. Donc, les visages des personnages ont encore une fois quelque peu évolué. Pour preuve, la jolie femme nue de la couverture est... Scala, la blonde tueuse à gages des épisodes huit et neuf.



Il ne reste plus qu'à mettre la main sur le tome treize pour savoir comment Alpha va réussir à s'en sortir parce qu'il n'est pas au top de sa forme à la fin de cet album.

Non, cela ne le fait pas ! Et ce, malgré toute l'ingéniosité de cette univers intergalactique mêlé au sexe comme une sorte d'Adam et Eve dans l'espace. Yo men: l'érotisme fait vendre. Cependant, on ne croit pas une seule seconde à l'histoire d'amour entre un vieux pilote un peu enrobée et sa belle bombe anatomique qui est une poupée cybernétique. Certes, aux fin d’assouvir leurs besoins sexuels, les hommes ont développé des créatures artificielles: les drones.



Par la suite, l'auteur a réalisé « Alvin Norge », les aventures d'un ex-pirate informatique. Là encore, je n'ai pas trop accroché malgré une couverture aguicheuse. Io mémories était ambitieux n'hésitant pas à bousculer les codes du genre. C'est bien mais cela ne tient pas la route.

La couverture ainsi que le titre semblaient attirants mais la lecture s’est révélée très plate. On a droit à un polar moderne assez geek et girly à la fois.



Les références sont assez pompeuses et même assez répétitives au point d’accentuer la lourdeur du propos. La construction de l’ensemble du récit me semble très classique. Il manque de l’originalité et de la créativité même si celle-ci semble présente. C’est comme quand on gratte et qu’il n’y a rien en-dessous. Bref, c’est sans saveur !



Je n’insisterais pas sur les dialogues de cette bande de jeunes qui doivent certainement refléter la société actuelle et dont je me garderais d’émettre tout jugement. Pour autant, je n’ai pas trop apprécié.

Alpha s'est planqué au Canada avec à ses trousses la CIA, l'agent Scala et sa coéquipière. arrivera-t-il à se sortir de ce guêpier ? Un très bon album, bourré d'actions et de rebondissements, où j'ai retrouvé l'ambiance de la série Jason Bourne.

Gros épisode de course-poursuite en mode chasse à l'homme multiple. Tyler/Alpha s'est réfugié chez un ami. Certainement un des derniers, vu le rythme auquel il les perd...



Sheena le retrouve, donc on peut se dire que Scala (la rousse explosive des épisodes précédents) n'est pas très loin. En coulisse, on évalue les chances de Tyler de s'en sortir. Car le FBI est aussi à ses trousses, cela fait beaucoup pour un seul homme, même quand il s'appelle Tyler.



Le tome est fort conforme à ce genre de BD d'aventure, mâtinée d'espionnage, de trahisons, de poursuites, de compromission et de preuves de culpabilité bidouillées... (ici en avion et hélico, plutôt qu'en voiture)



Dessin agréable, et mise en page assez conventionnelle, mais efficace, dans le genre.

Les dessins sont un peu plus lisibles que le premier tome, c'est déjà ça (mais pas encore top pour certains passages), mais au niveau des textes, la police d'écriture n'est pas du meilleur choix.

Voilà pour l'aspect visuel.

Par contre, en ce qui concerne l'histoire, je ne sais pas si j'ai raté un truc mais tout ce qui s'est passé dans le tome est oublié ? Ou en est cet ADN retrouvé sur Mars ? Les individus qui ont sabotés la mission ? Bref, ou est la suite du tome 1 ?!?

L'histoire est toujours aussi brouillonne et creuse dans ce second album. Elle manque clairement d'énergie (malgré le triple cyclone au coeur de l'histoire) et les dialogues sont trop techniques tournent en rond. On ne s'attache pas du tout aux personnages qui sont fades et qui manquent de charisme.

C'est une bd bien fade que voilà. Le manque de rythme procure très vite un ennui certain à la lecture. Tout est tellement prévisible. L'absence d'un réel suspense se fait cruellement sentir. Les personnages ne sont absolument pas attachants.



On a droit à une terminologie "techno-robots" digne des oeuvres de Jodorowski sans égaler le maître. Les deux premières pages sont risibles. Un techno-robot tourne autour d'un quartier pendant une heure car il ne trouve pas une adresse. Il faut dire qu'en 1991 le GPS n'existait pas dans les voitures. Cependant, cela ne rend pas du tout crédible cette histoire qui a très mal vieilli. On ne pourra pas dire que l'auteur ait eu un regard visionnaire sur l'avenir !



Comme si les problèmes scénaristiques n'étaient pas suffisants, ce n'est guère mieux du côté du dessin. Les personnages manquent singulièrement de finition. Les décors sont plutôt grossiers. La colorisation est bien morne. Non, je ne trouve rien qui puisse sauver l'ensemble d'une bonne indigestion...

Dans ce deuxième épisode de la saison 2, Jigounov enchaîne les scènes d'action, avec une mention pour une course poursuite au démarrage d'un avion de tourisme sur un aérodrome en Alaska. Un régal du point de vue du dessin, effectivement un peu différent avec l'arrivée de Lamquet. Les personnages ressortent plus, le trait est un plus épais. Mais du point de vue du scénario, arghhhh... Alpha se coltine au moins trois services différents sur le dos dans sa cabane en Alaska, Sheena le rejoint en commettant des erreurs de débutante, la tueuse Malcolm qui vient se surajouter au bordel général. De l'action et c'est tout, le reste est trop confus.

La sonde de retour de la mission sur la planète Mars avec ses précieux échantillons se crash sur la Lune. La mission de récupération subit également un accident... C'est dans ces conditions particulières qu'une mission de sauvetage de la première équipe et de récupération des échantillons est envoyée sur la Lune avec la crainte d'un sabotage...

Sur le fond, l'histoire est intéressante mais je n'ai pas tellement accroché au rythme du récit et surtout aux dessins. Des dessins sombres, assez flous où il est difficile presque de reconnaître les différents personnages. Cela dessert forcément l'intérêt pour moi pour cette BD. Je pense poursuivre la lecture grâce à une bonne intrigue mais les dessins sont vraiment un frein à la qualité du récit.

Un second tome qui m'a clairement moins emballé.

L'action se passe plusieurs mois après les événements du premier tome et on part sur une nouvelle intrigue, même si des rappels sont faits à l'affaire Kimberley.

Moins intense, plus brouillon ou plus complexe, on ne voit pas où on avance dans l'histoire ou l'intrigue.

Je me suis perdu dans ce second tome et comme je l'avais dit dans ma critique du premier tome, les personnages manquent d'intérêt et de profondeur et ne permettent pas de s'accrocher au récit.

Un virus informatique très puissant cause un accident mortel à une navette spatiale et paralyse les États-Unis. Alvin Norge, ancien pirate informatique, semble être le concepteur de ce virus mais rien ne colle avec lui...

Un thriller informatique palpitant qui manque peut-être de personnages plus intéressants, du moins plus profonds.

Le second tome devrait être différent avec la recherche du coupable et du fonctionnement du virus... différent mais aussi bien ?

Cette BD est une bonne surprise. J'avais lu sa présentation sur le site du graphivore. Et ça m'avait intrigué.



Zoé est fan de mangas et d'enquêtes policières. Un jour, en rentrant chez elle, elle tombe sur un cadavre, qu'elle prend en photo. Elle montre cette photo à son club de détectives amateurs. Sur le cadavre, une phrase en japonais. Elle se rend compte que cette phrase revient régulièrement dans son manga préféré Lethal Pencil. Le principe de ce manga est qu'une mangaka se venge de ses détracteurs en les envoyant dans son histoire à l'aide d'un pinceau magique. Ils doivent tuer Kroko pour sortir de l'histoire.



L'assassin signerait son crime par le nom du méchant, Kroko. La police a occulté ce détail dans ses conférences de presse. Le club de détectives de Zoé décide donc d'aller sur les forums à la chasse aux informations. Mais ce jeu risque de devenir dangereux...



C'est un bon thriller, et ceux qui aiment les mangas pourront y trouver quelques références au genre. Action, suspense tiennent le lecteur en haleine. Et là, je suis complètement frustrée, car c'est le premier tome d'un dyptique et que le second tome n'est pas encore sorti. Attendons !!


Lien : http://laptitesourisduweb.bl..

Ce deuxième tome complète bien le premier. Suite à l'attaque soudaine des rebelles du dispensaire de Sumatra, Chris a demandé de l'aide à son ancienne "equipe" pour l'aider à retrouver Eva.

Les précédents propriétaires du dispensaire ne semblent pas chaud à laisser des preuves de leurs activités passées. Et Chris a une réputation de fouineur... Le passé de Chris et de ses amis semble trouble. Mais il n'est pas précisé dans l'histoire. On se doute, vu le nom de la série, qu'il faisait partie d'une bande d'activistes environnementaux musclés.

Malheureusement on n'en saura pas plus, la suite de la série n'a jamais vu le jour. Dommage, il y abait quand même un truc à creuser là derrière...

Le Tueur aux mangas est une bande dessinée qui sera en deux tomes. Celui-ci, qui est le premier, raconte comment Zoé fait la découverte d'un cadavre dans un parc et découvre que les signes japonais inscrits sur le corps de la victime renvoient à un manga très célèbre...

L'histoire vous dira peut-être quelque chose puisque le scénariste Yann est parti d'un fait divers réel pour inventer le diptyque Le Tueur aux mangas. En effet, en 2007, un corps avait été découvert dans les mêmes circonstances avec les mots « Je suis Kira/ le tueur » écrits en japonais sur des feuilles. Une référence claire à Death Note de Takeshi Obata et Tsugumi Oba. Dans ce manga, l'histoire narrait les crimes de Kira commis à l'aide d'un livre tuant tous ceux dont le nom était inscrit sur ses pages. C'est sur ces mêmes faits que l'histoire du Tueur aux mangas se construit avec un scénario de Yann et les dessins de Christian Lamquet.

L'affaire est sordide mais la bande dessinée en elle-même ne présente pas de scènes trop violentes ou sombres même si je conseille cette lecture à des lycéens car le sujet serait peut-être un peu rude pour des collégiens. Néanmoins on ne nous épargnera pas quelques détails et quelques situations un peu dangereuses pour notre héroïne Zoé et ses amis.

Le scénario de Yann est bien monté, on retrouve tous les éléments essentiels pour comprendre les tenants et aboutissants de l'affaire mais aussi pour saisir la personnalité de chacun des personnages présents et notamment Zoé. Il y a assez peu de texte, c'est très aéré et accessible.

Les dessins de Christian Lamquet sont assez classiques, avec quelques expressions du visage qui rappelleront les mangas. Le trait est fin, avec des détails qui font tout le réalisme de chaque scène.

J'ai bien aimé l'idée de présenter quelques vignettes, en début d'histoire, du manga dont le tueur s'inspire pour commettre ses crimes. ça permet de s'y retrouver facilement sans connaître le manga dont il est question (un résumé de l'intrigue de celui-ci est d'ailleurs fait au cours de la lecture).

En moins de cinquante pages le scénariste et le dessinateur arrivent vraiment à présenter une cohérence dans l'histoire qu'ils mettent en scène et j'ai hâte de voir comment sera narrée la suite des événements du Tueur aux mangas, face à une fin qui nous laissent sur notre faim !

Après la lecture de cet opus réussi, il ne nous reste plus qu'a attendre que sorte assez rapidement le prochain tome. Les auteurs ont réussi à nous captiver et on attend dorénavant impatiemment la suite !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

L’intrigue est intéressante et ne manque pas d’attiser la curiosité [mais] à mener un rythme de récit effréné, ils en ont oublié de travailler leurs personnages. […] Les dessins, eux, sont d’une qualité inégale selon les pages. On sent que Lamquet a le souci du détail pour certaines cases et moins pour d’autres.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Aie,



Déçu de cette suite, tout est trop confus. Un mélange de présent et d'historique (un peu inutile), des situation assez invraisemblables.

Bd sauvée un peu par le dessin mais pas assez marqué par exemple pour éviter la confusion des périodes.

Cela semble être une fin de série au vu du temps passé depuis l'édition de ce dernier numéro en date et pour tout dire c'est raté...