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Critiques de Christian Dureau (22)
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Nos histoires d'amour érotiques et sensuelles..

Si la série a bel et bien changé de nom depuis le tome précédent, ce sont toujours huit histoires courtes qui nous attendent dans ce 25e volume. On peut, cependant se demander s'il est bien pertinent de parler « d'histoires d'amour » quand certaines sont des adultères ou de simples rencontres éphémères... à titre personnel, je préfère donc le nom qui figure à l'intérieur, « Huit nouvelles érotiques et sensuelles inédites » ! ^^



Au programme cette fois-ci, des couples à la dérive ou pas, des célibataires de plus ou moins longue date... et des infidèles, donc. Mais, même si l'on n'aime pas ce « trope », les deux histoires concernées parviennent chacune à faire passer la pilule, donc, vraiment, ce serait dommage de renoncer à cause de ça, d'autant que les six autres histoires proposent des situations variées.



Dans « Le jouet », comme souvent avec Karine Géhin et William Tinchant, on a un couple complice, une bonne dose d'humour et un cadre totalement inattendu. Un érotisme soft et pourtant diablement efficace, pimenté par le côté public de la chose... C'est léger, comme un de ces bonbons acidulés Arlequin.



... Changement radical d’ambiance dans « Toute ma chair ». Si les histoires « body positive », c'est cool, dans la vraie vie, tout le monde n'est pas à l'aise avec son corps, d'autant que la société n'aide pas. Et c'est ce que Paula Monty a retranscrit à la perfection. Le harcèlement scolaire, les violences médicales, le sport à haute dose, les régimes plus privatifs les uns que les autres qui font plus de mal que de bien, le besoin irrépressible de se justifier, le point de « oh et puis zut ». C'est violent, douloureux, ça tape juste. En total contraste avec Raphaël, qui montre pourtant à Sarah qu'elle lui plaît. Une histoire douce-amère, qui finit heureusement bien.



« Un grand cru » met en scène un couple à la libido débridée. Présentée comme une histoire d'infidélité du point de vue de Laetitia, il s'agit en réalité davantage d'échangisme soft puisque tout le monde est conscient de ce qui se passe et on ne peut plus consentant. Il est même dommage de ne pas avoir été plus loin, d'autant que Laetitia est clairement présentée comme bisexuelle et ne cache rien de son intérêt pour Camille... Il ne s'agit pas d'une mauvaise histoire, surtout avec les savoureuses phrases à double sens qui la parsèment, mais qui laisse un goût frustrant d'occasion manquée.



« Alibi sexuel » est une vraie histoire de tromperie, par contre. Deux vieux copains, l'un qui sert de couverture à l'autre... ça annonce la couleur dès les premières lignes. Mais les circonstances, qu'il est impossible d'évoquer trop précisément sous peine de gâcher un peu la surprise, font que « ça passe ». Disons que quand tout le monde trompe tout le monde sans états d'âme, on s'amuse davantage de la délicieusement ironique situation qu'autre chose. J'avais bien aimé la plume de Christian Dureau dans la nouvelle « Nuit d'angoisse », le découvrir ici dans un tout autre registre surprend un peu, mais il s'en sort à merveille.



Je découvre la plume de Flora de Smedt avec « Les Zampas » et, déjà, je l'aime pour nous avoir offert une histoire reverse-harem ! Oui oui : une fille, quatre gars, l'amour de la musique en filigrane. Un petit jeu qui rappelle une épreuve rigolote du Bigdil (les vieux savent), mais qui partirait en sucette (dans tous les sens du terme). Côté érotisme, c'est finalement pourtant assez light, tout l'intérêt étant surtout la façon d'arriver graduellement au plat principal. Qu'on ne verra pas, donc. Là encore, ça laisse un peu sur la faim, même c'est le format des textes qui est directement responsable.



Autre histoire d'infidélité dans « A mon tour », et là encore, circonstances atténuantes puisqu'Agathe ne prévoit absolument pas de tromper son mari. On le sait depuis Ghost, la poterie, c'est sexy. Mais de Kali, on ne connaîtra que la silhouette, les cheveux longs et quelques informations personnelles. Les traits de son visage ? Nope. Pourtant, dans d'autres histoires, le manque de détails physiques n'est pas gênant, mais là, inexplicablement, oui. Peut-être parce que la sensualité du texte accentue vraiment le côté intime de ce qui est un moment de partage. Même s'il s'agit, pour Agathe, d'un inconnu... Florence d'Agosto signe là la nouvelle la plus bouillante du livre, avec, en bonus, une fin très positive. Impossible de ne pas pardonner son petit écart à Agathe.



Si vous n'aviez pas encore eu assez de massages dans ce tome (c'est la troisième histoire à en montrer un), « La mécanique des corps » en remet une dose, mais cette fois dans un cadre médical censé rester professionnel. Censé. Car dès les premières secondes, l'intérêt mutuel est là, tu, embarrassant, même. Grâce au double point de vue, on est témoin des efforts de Fanny et Joseph pour feindre l'indifférence et c'est presque hilarant. Là encore, la fin est parfaite, traçant de nouveau la ligne entre professionnalisme et le reste, mais sans rien sacrifier !



Je dois avouer que j'ai entamé « Un parfum d'érotisme » avec beaucoup de pincettes, n'étant généralement pas fan des textes d'Eric Valland. SURPRISE : c'est lui qui signe l'un des meilleurs du recueil, avec un couple à l'alchimie évidente bien que tout ne soit pas rose. Réaliste, en somme. On accroche dès la première page (le coup des guillemets, c'est du génie) et l'accent est vraiment mis sur la dynamique du couple. Frank est probablement le meilleur héros que j'ai pu lire chez l'auteur, à l'écoute des sentiments de sa femme. Et côté érotisme ? C'est coquinou, ça a un petit goût de « chhht, non, pas ici, on pourrait nous voir ! », et les dernières phrases sont parfaites. On referme le livre avec le sourire aux lèvres !



S'il ne s'agit pas de mon recueil préféré dans la série, sans doute car plus ancré dans l'ordinaire et le quotidien, les huit textes sont tous bons voire très bons, chacun possédant ses propres qualités. Peut-être pas un *grand* cru, mais un *bon* cru !
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Nos plus grandes histoires policières, tome 33

Oh qu'il est bon. Oh qu'il est bon, le 33e tome de « Nos plus grandes histoires policières » ! Six histoires, pas une seule mauvaise, peuplées de menteurs, d'arnaqueurs, de meurtriers « par accident » certes, mais prêts à tout et surtout au pire pour s'en sortir... Le tout dans trois histoires récentes et trois autres vintage, mais n'ayant absolument pas pris une ride.



« Nuit d'angoisse » la retranscrit parfaitement, l'angoisse, avec ce baby-sitting qui tourne mal et un retournement final impossible à voir venir.



« Une affreuse combine », c'est une histoire d'arnaque à l'ancienne, simple en apparence, mais qui ne tarde pas à partir en cacahuètes. Pas l'histoire la plus passionnante, mais pourvue d'un charme désuet digne d'un film noir.



« Deux morts dans la chaumière », c'est un vrai polar, à l'ancienne, avec des fausses pistes, des indices trouvés petit à petit, des interrogatoires et contre-interrogatoires, et surtout une intrigue beaucoup plus compliquée qu'il n'y paraît ! Louis-Jean Laplace nous avait déjà servi une excellente histoire dans le volume précédent, et récidive ici avec une enquête vraiment dense pour à peine vingt pages. Sans hésiter la meilleure nouvelle du livre.



« Une mort absurde », tout est dans le titre : on suit ici un meurtrier « involontaire » mais prompt à garder la tête étonnamment froide. C'en est presque glaçant et l'on ne peut qu'espérer qu'il ait commis une erreur quelque part... que les policiers sauront voir l'erreur qui nous échappe.



« Retour à la case départ » est peut-être le maillon faible, et encore, c'est relatif... Un héros pas bien malin, une coupable-victime qui ne surprendra personne... C'est très bien écrit, mais tellement toxique qu'on ne s'attache ni à l'un ni à l'autre, même si c'est le but.



« Dans un état second », dans les brumes de l'alcool, entre rêve et réalité, Ariane navigue en aveugle, et nous avec, tant Pierre Davoli sait s'y prendre pour rendre son récit immersif. Pas d'empathie pour la jeune femme, en revanche, ce qui n'est pas plus mal... et la fin est sympa.



Résolument orienté thriller, mais avec un très bon polar au milieu, un petit livre parfait pour frissonner un peu mais sans prise de tête, avec des histoires très courtes, mais très bonnes.
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Robert De Niro

Pauvre vieille cloche, t'as pas honte !!

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Brad Pitt

Brad Pitt ne me parlait que de sa beauté juvénile, de sa rebellion d'ado et de sa séduction insolente mise remarquablement en valeur par le grand Robert Redford dans "Au milieu coule une rivière" . Révélé dans une pub pour jeans levi's, il me semble, il surclassa tout le monde comme un ovni. Ensuite, on a du mal à contrôler un gamin qui plaît autant, aux femmes comme aux hommes d'ailleurs, sorte de jeune cheval fou fort de sa prestance qui s'émancipe, plongé dans un monde adulte à la con, et comme par hasard, il faut ajouter une louchée de femmes à cela pour foutre le bazar, et loin d'être des femmes pour lui en fait qui ne pouvaient qu'embrouiller son parcours plutôt que de l'aider comme un lâché de gonzesses transformées en mégères qui l'embobinaient plus que lui les embobinait !.. .. Maintenant, il lui faudrait peut-être un peu de westerns, il paraît que ça va au charme des quinquas, comme l'opéra va aux voix mures des ténors !..
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Nos plus grandes histoires policières, tome 32

Avec ce 32e volume, la série « Nos plus grandes histoires policières » passe au format poche, le même que pour les romans et les recueils sexy de l'éditeur (légèrement plus petit qu'un poche standard donc). Le contenu, lui, ne change pas : six histoires précédemment parues dans le magazine Nous Deux. Cette fois, cinq des histoires sont ou penchent clairement vers le thriller, tandis que celle qui reste ne peut être réellement nommée polar. Trois sont récentes, trois vintage, mais à une exception, ça ne se sent absolument pas. Et plus important, ce volume est un sacré bon cru.



« Un scénario infernal », c'est du pur Pierre Davoli, avec un suspense redoutablement efficace et un plot twist amené de façon subtile. Certes, on le sent venir, mais dans le fond peu importe : ça se lit très bien.



« L'étrange maison » est l'un des deux textes qui justifient à eux seuls l'achat. Une ruine « banale », une tension croissante, un beau, mystérieux voir inquiétant voisin... et l'on ne devine pas une seconde la fin. Ça n'a pas pris une ride depuis 1980 et c'est un régal absolu.



« Le meilleur détective de Londres » est la fameuse histoire pas thriller et dont on sent l'âge, avec pour protagonistes un couple de bourgeois qui se vouvoie... Le suspense y est tout relatif, mais néanmoins présent, donnant à cette histoire sa place au sein du recueil.



« Une proposition irrésistible » est peut-être le texte le plus prévisible, mais se retrouver du côté « du méchant » a quelque chose de jubilatoire et l'autrice conclut son récit de façon parfaite.



Mais c'est bien « Le parapluie et la poupée » qui mérite qu'on s'y attarde, avec un scénario bieeeeen plus complexe que dans la plupart des histoires de ce format, du danger, de l'action, et le tout sans la moindre précipitation. Ça se savoure comme un bon thé (ou vin, selon vos préférences), et là encore, on ne se doute pas que ça date de 1979 !



« Mortel amour » conclut le recueil avec une chanteuse qui n'a pas l'esprit tranquille suivie par un homme mystérieux... On se doute un peu de la conclusion, mais là encore, le suspense est très bien maintenu.



Clairement, un recueil sans aucun mauvais texte, avec même deux excellents, parfait pour une courte lecture légère mais aux ambiances aussi variées qu'efficaces. C'est en vente pour encore quelques jours, foncez !
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Les interprètes de Dracula, le

Bela Lugosi, John Carradine, Christopher Lee, etc. Tous ont campé le conte Dracula, personnage imaginé sous la plume de l'écrivain Irlandais Bram Stoker. Devenu un mythe, le personnage a traversé plus de cent années de cinéma, prenant vie sous les traits de Nosferatu avant de devenir un, personnage récurrent du cinéma d'horreur. Christian Dureau nous invite à voyager dans le temps et à nous souvenir. Un livre richement illustré et bourré d'anecdotes vivaces. Avis aux amateurs !
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Bernard Blier : Entre Jeanson et Audiard

De l’amitié indéfectible de François Périer jusqu’à son admiration pour Louis Jouvet, de ses rôles face à Lino Ventura jusqu’aux grandes bouffes avec Jean Gabin, Bernard Blier laisse dans le coeur de chacun plus de cinquante ans de souvenirs indélébiles. 179 films et 34 pièces ont fait de lui l’un des plus solides piliers du cinéma français.Un livre qui revient sur un des comédiens parmi le splus populaires du cinéma français avec près de 50 ans de carrière.
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Nos plus grandes histoires policières, tome 25

25e opus de « Nos plus grandes histoires policières », le présent ouvrage penche davantage vers le thriller, seuls deux des récits tombant véritablement dans le policier.



« Au cœur de la haine » place en effet une jeune femme à la merci de proches ô combien toxiques (dans tous les sens du terme...) tandis que « Comme dans un film », la meilleure des nouvelles du livre, voit un homme pris en otage par un jeune délinquant paumé réfugié chez lui. Une histoire très chouette, pleine de suspense et dépourvue de manichéisme, avec deux protagonistes très intéressants.



Carton rouge en revanche pour « Un engrenage diabolique » : déjà que les histoires ayant pour cadre la psychiatrie sont un terrain assez casse-margoulette, mais confondre schizophrénie et dédoublement de personnalité, ça ne passe pas. Le seul truc de réaliste là-dedans, c'est l'abrutissement par les médocs.



« La valse oubliée » est une des deux histoires purement polar du livre, où une employée de maison mène l'enquête suite à la mort de ses employeurs, quitte à plonger dans leur passé. On a même droit à quelques fausses pistes et le dénouement est vraiment inattendu. Une très bonne surprise ! Il en va de même pour « A un détail près » qui possède également une chouette ambiance et nous surprend à mi-chemin. Et tant pis si la chute, elle, est aisément prévisible.



Enfin, « Une coupable trop parfaite », second polar du livre, fait plus dans la reconstitution chaotique. L'histoire est plutôt intéressante en elle-même, mais la narration n'aide pas à accrocher. Un peu dommage.



Avec trois très bonnes histoires, une sympathique, une bof et une bien en dessous du reste, le bilan reste, globalement, positif bien qu'inégal. Ceci dit, pour les amateurs de romans noirs en quête d'une courte lecture pour une soirée ou quelques heures à la plage, ce petit recueil fera très bien le job.

(Il est actuellement en vente au moment où je tape ces lignes)
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Annie Cordy : Salut l'artiste !

La baronne de la variété est morte chez elle d’un malaise. Annie Cordy ne nous fera plus chanter en chœur. Je l’avais rencontrée en 2014 à Laeken, à l’occasion de l’inauguration d’un square à son nom. Elle avait fait le déplacement pour l’événement. Proche des gens, elle avait eu un petit mot gentil pour tous ceux qui souhaitaient la féliciter. Une dame qui n’a jamais oublié ses origines populaires et qui, malgré les honneurs et les disques d’or, est restée proche du peuple.
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Annie Cordy : Salut l'artiste !

Annie Cordy, saltimbanque infatigable, est morte ce vendredi 4 septembre à l’âge de 92 ans, près de Cannes. Voilà ce que les infos ont annoncé ce soir. Avec elle, disparaît une partie de mon enfance. Je me souviens avoir fait la fête sur Tata Yo Yo et Frida Oumpapa. Artiste à la carrière éclectique, elle a tout mené de front durant plus de sept décennies, à la fois meneuse de revue, chanteuse d’opérette et de variétés, comédienne, actrice de cinéma ou de télévision.
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Dictionnaire mondial des comédiens

Il faut bien se l'avouer (même si c'est avec nostalgie) ce genre de dictionnaire n'a plus aucune valeur !

Internet, Wikipédia ont rendu obsolète toute tentative de rééditer des ouvrages de ce genre d'ailleurs. On tente de se trouver une raison de le garder, on cherche des petits acteurs, peu connus... en vain ! Leur fiche sur IMDB est beaucoup complète, et la petite notice qui accompagne une piètre photo en noir et blanc ne rattrape rien à la chose.
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Michel Galabru, une vie d'artiste

Dans ma mémoire, il y avait cette scène avec Michel Galabru dans l’arrière pays. Je pensais pouvoir relier le village où sa famille avait une maison de vacances et ce film. Ma mémoire me joue des tours. Malgré la lecture très intéressante de cette filmographie, plus qu'une biographie, de cet artiste, je n’ai pas retrouvé le titre de ce film.



Michel était adolescent quand il est arrivé dans les environs de Montpellier. Il était très attaché à cette maison de famille à Avène.



Il rêve d’être acteur, n’aime pas l’école dont il est souvent renvoyé, son père lui demande de faire des études. La guerre est déclarée et Michel envoyé dans un camp de travail, accusé de sabotage.



C’est seulement, à son retour, à la fin de la guerre, que Michel monte à Paris pour réaliser son rêve.



Premier prix du conservatoire, il débute sa carrière avec de beaux rôles, il restera sept ans à la Comédie française.



Puis il décide d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte et cet homme brillant qui aspire à une carrière à la Sacha Guitry, son idole, son modèle, va débuter dans le cinéma avec des personnages de comiques voire même de bouffons.



Il fonde une famille a besoin d’argent et accepte des rôles qui ne lui conviennent pas mais qui fait bouillir la marmite.



Michel Galabru a souffert de son image de pitre. C’était un être avec des blessures, un grand sensible. Il est mort dans son sommeil à l'âge de 93 ans.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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La Guyane en 200 questions réponses

Métropolitaine de naissance, je vis désormais en Guyane et connais maintenant une grande partie de ce qui se trouve dans ce guide. Après l'avoir lu, je le conseille vivement à quiconque désire découvrir ce magnifique pays.

Ces questions sont pertinentes et les réponses justes ; ce qui n'est pas toujours le cas de certains guides.



Les questions posées vont au-delà d'une découverte touristique. Elles touchent au coeur de la Guyane quotidienne ; les balades que l'on fait le week-end, ce que l'on mange, ce que l'on voit tous les jours sans qu'on n'y prête plus attention, les petits mots "magiques" pour communiquer ou encore comment observer de très très près, respectueusement, les magnifiques tortues durant la saison des pontes.



Il est vrai que la Guyane n'est pas un pays touristique et qu'elle ne répond pas aux standards tels que des hôtels étoilés à foison, des plages de sable blanc aux eaux limpides, des commerces de souvenirs et j'en passe.



Mais il est tout aussi vrai qu'elle est sincère et sauvage ; autant que le sont ses plages où la flore n'a pas été domestiquée, autant que le sont ses forêts primaires.

Un pays, où en se promenant sur la plage le matin, on peut observer une buse à gros bec qui vient prendre son petit-déjeuner "poisson" à quelques mètres de vous s'en s'enfuir, un pays où le mot "nature" a encore un sens profond.















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Delon-Romy : Ils se sont tant aimés

Un témoignage complètement inédit d'Alain Delon et des révélations qui ouvrent enfin le chemin de la vérité de ces deux êtres qui se sont profondément aimés.
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Errol Flynn : L'homme qui inventa sa vie

En voici une star, et quelle vie...

Cette biographie nous en apprends un peu plus sur ce personnage aux multiples facettes, son talent, ses succès, ses frasques, ses dérives.

Grandeur et décadences ?

A lire.
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Patrick Dewaere

Patrick Dewaere (1947-1982) a marqué une génération. S'il avait pu continuer sa carrière, il serait certainement de nos jour un autre Depardieu (en moins gros...). Parmi sa filmographie : : Le Juge Fayard dit Le Shérif d'Yves Boisset, Coup de tête de Jean-Jacques Annaud, Série noire d’Alain Corneau, Mille milliards de dollars...
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Voyage Dans l'Impossible

Wow ! C'est le mot qui me vient à l'esprit lorsque je pense à ce livre. Depuis près d'un an, j'en lit beaucoup et c'est difficile de trouver des histoires merveilleuses. Le livre en tant que tel n'est pas très gros 230 pages mais les histoires racontées par Christian Dureau en vaut la peine. J'ai bien aimé celle: Il était deux fois dans l'Ouest un représentant de commerce de trente-cinq ans en 1936 qui se retrouve propulser en 1859 durant trois jours.., Le Bois des amants version autrichienne de Roméo et Juliette dans les années 1924, il y a aussi Le chevalier des Oubliettes qui se rapporte à la Vallée du Rhin..., mais ma préférée c'est celle de L'homme qui venait d'ailleurs où un homme du xvi siècle serait apparu en 1957 au château Chambord à lire absolument vous m'en direz des nouvelles.
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Coluche. Le roi du gag

Il y a 25 ans,

Coluche nous faisait la plus sale blague de sa carrière

en nous quittant sans même lancer un amical

«salut les enfoirés!».

Depuis, tout a été écrit à son sujet.

Son humour a été analysé, ses sketchs ont été diffusés

des dizaines de fois à la télé,

son investissement humain a été salué.

On a seulement oublié que Coluche rêvait, à l’origine,

d’être comédien.On a oublié qu’il est devenu

l’un des plus grands comiques de l’écran, au même titre

que Louis de Funès, Bourvil ou Fernandel.

C’est cet acteur que nous vous présentons dans ces pages.

Tchao Coluche!

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Jean Marais : L'éternelle présence

Très bonne biographie de celui qui a bercé l'enfance de mon nombre d'entre nous, de Fantomas aux films de Cape et d'épées en passant par Cocteau.

Pour les amoureux du cinéma
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Dictionnaire mondial des comédiens

Je sais, il se fait vieux mon fidèle dictionnaire...

Vraiment très bien fait, c'est une mine inestimable d'informations et pour lequel j'ai un attachement tout à fait sentimental.

Même si je le garderai pour toujours, il serait peut-être temps de me mettre en quête d'une bonne mise à jour du même acabit.
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