Christine Davenier

Nouvelle découverte d’autrice en la personne d’Aurélie Valognes, avec son roman Mémé dans les orties. Un livre qui s’éloigne de mes lectures habituelles, plutôt orientées imaginaire ou thrillers assez gores, et qu’on m’avait vendu comme une petite comédie feel good et divertissante. Hum… vous vous doutez bien que tout ne s’est pas exactement passé comme annoncé !



C’est l’histoire de Ferdinand, un octogénaire solitaire qui vit avec sa chienne Daisy dans un appartement ayant autrefois appartenu à sa belle-famille, dans une résidence plutôt huppée, avec gardienne, où il n’a lié amitié avec personne. Il faut dire que c’est un vieil homme acariâtre et bougon, autocentré et limite paranoïaque. Lorsque sa chienne disparaît, il tente de mettre fin à ses jours en se jetant sous un bus. Sa fille, qui vit à Singapour, mandate la gardienne pour le surveiller, sauf que cette dernière est une vraie peau de vache qui déteste Ferdinand.



J’ai eu beaucoup de mal avec la première moitié du roman. Il ne passe pas grand-chose de passionnant, en dehors des réflexions moroses de Ferdinand sur sa vie, sa solitude, ses voisines, etc. … En termes de littérature feel good, j’ai trouvé qu’on était plutôt dans l’extrême inverse. Ce vieil homme nous tape très vite sur les nerfs. C’est le genre de personne toxique qui voit tout en noir, ne trouve grâce à rien et vous entraîne dans sa dépression. Merci bien ! Quant aux ressorts comiques, cette guéguerre entre petits vieux qui n’ont rien d’autre à faire de leur vie m’a plus fait de la peine qu’autre chose.



Et puis Juliette et Béatrice débarquent dans la vie de Ferdinand. La première a une dizaine d’années, un aplomb peu crédible mais rafraîchissant, et va se mettre en tête de déjeuner chez Ferdinand plutôt qu’à la cantine. Sans lui demander son avis, bien sûr. La seconde est octogénaire, c’est sa voisine de palier, une mamie dynamique et bienveillante comme on aimerait tous en avoir, qui décide de le faire sortir de son cocon. Dès lors, l’histoire prend une tournure plus sympathique, même si certains événements ne sont pas crédibles une seule seconde. C’est plus léger, plus entraînant, Ferdinand se laissant peu à peu apprivoiser.



Il n’empêche que ce n’était clairement pas un livre pour moi. Je me suis ennuyée ferme la moitié du temps, j’ai beaucoup levé les yeux au ciel et guetté les numéros de pages en me disant que je n’avançais pas ! Une expérience que j’éviterai de renouveler, je crois.
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Un très beau roman auquel je ne m'attendais absolument pas en le découvrant. Aurélie Vagnoles est une auteure que j'apprécie beaucoup. Je me suis prise d'attachement pour ce bougre de petit vieux grincheux que nous suivons tout au long de l'histoire. Tous les efforts et l'amélioration de sa vie m'ont fait chaud au cœur. Un livre très attachant et touchant que je recommande vivement

Une lecture pleine de douceur.



Fernand est seul, s'étant retranché derrière son caractère de cochon. Un drame le fera sortir de sa coquille.



J'ai aimé m'attacher à ce personnage qui, petit à petit, apprend à ouvrir son coeur.



Quant à Mme Suarez, je l'ai trouvé détestable au plus haut point!



Les expressions en début de chapitre rajoutent un plus.

C'est le 2e ou 3e titre que je lis de cette autrice et c'est encore une fois une réussite. Nous suivons dans ce roman Ferdinand, un vieux bougre (excusez-moi moi l'expression) qui ne se remet jamais en question et adore torturer ses voisines, jusqu'au jour où sa vie va prendre une autre tournure. 🐕



J'ai adoré la relation entre les personnages, une petite fille sans vergogne qui débarque dans la vie d'un octogénaire grincheux au possible. Une mamie qui refuse que l'âge prenne le pas sur ses envies et surtout sa vie. 🧓👵👧



Un livre qui néanmoins pointe du doigt une vérité : la solitude de nos aînées.



⚠️ : tentative de suicide

Ce matin, Minusculette et ses amis découvrent que de nombreux monticules de terre parsèment leur joli champ de fleurs. En espérant découvrir un trésor, ils s’engouffrent dans le trou et s’enfoncent dans ce qu’ils pensent être un passage secret.



Heureusement Lucie la luciole est là pour éclairer le tunnel mais ça reste un vrai labyrinthe là-dessous ! Comment vont-ils retrouver le chemin pour ressortir ? Vont-ils trouver un trésor ?



L’univers de Minusculette est toujours aussi ravissant ! Les illustrations sont pleines de douceur, les fleurs ultra colorées et la coupe du terrier ultra lumineuse est vraiment réussie !



C’est un album joyeux et plein de bons sentiments où règne l’amitié et l’entraide. On en apprend plus sur la vie des taupes à travers cette histoire remplie d’émotions. On y rappelle l’importance de l’acceptation des différences, la richesse de la diversité et de la communication pour vivre tous ensemble dans de bonnes conditions.



Le plus beau des trésors n’est-il pas d’avoir trouvé un nouvel ami ?
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Avec tous les avis mitigés, je m'attendais à rien.. et quelle bonne surprise !



C'était léger et quel plaisir. Malgré les personnages et potins caricaturaux, je me suis vidée la tête en compagnie de nos anciens et de leurs aventures.



Un moment sympa et frais.

Que dire de ce genre de livre, bâclé, bourré de clichés, les personnages sont caractérisés à la va-vite, leur psychologie est sommaire ; l'écriture est simple et fluide, ce qui en rend la lecture facile, heureusement, mais l'humour se noie dans les clichés (voir ci-dessus) ! Je n'ai jamais réussi à croire à cette suite de rebondissements qui malheureusement n'arrivent pas à faire tenir debout cette intrigue.

Ceci est une leçon d’empathie.



Un nouvel élève vient d’arriver à l’école ; ce jeune hérisson couvert de piques est bien trop bizarre aux yeux des autres enfants. Alors, quand l’un d’entre eux perd son gouter, c’est lui que l’on accuse, la rumeur GRONDE.

Cet album permet aux enfants de voir les comportements de chacun des protagonistes. Le groupe se construit autour d’un mensonge et de la violence des mots qui blessent jusqu’à exclure complétement la victime.



Il permet d’ouvrir une conversation avec eux sur les conséquences de laisser courir une information fausse ou non vérifiée sur quelqu’un et comment celle-ci peut devenir incontrôlable.



Les dessins et le texte court permettront aux enfants de faire preuve d’empathie et de poser clairement les émotions que ressent ce petit hérisson.



On parle beaucoup des cours d’empathie qui commencent à être enseignés dans les écoles. Ce livre est très intéressant pour définir et expliquer la rumeur, engager des bâtons de parole et mettre en place des jeux de rôle.



À lire dès 5 ans.




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Une dose de fraîcheur ! Un livre remplie d'amour, de douceur et bourré d'humour également.

Une lecture émouvante ou l'on suit Ferdinand dans ces aventures rocambolesque. Je conseille fortement ce livre qui se lit super facilement et qui donne du baume au cœur !

Un texte à la fois plein de peps et de douceur, une jolie histoire, des couleurs printanières, la recette fonctionne et les petits lecteurs n’en finissent pas d’écarquiller les yeux ! Un plaisir.
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A la lecture de ce livre, on passe un moment de détente, sans prise de tête.

Le livre offre des moments d’humour et d’emotion, mais ce n’est pas le livre de l’année.

J’ai trouvé le personnage de la fillette plus intéressante et attachant que Ferdinand.

Bref, un roman vite lu et que l’on risque d’oublier aussi vite.

Difficile de comprendre l’enorme succès de ce livre.

"Mémé dans les orties" est un livre qui dès son titre attire le sourire, et cette tendance à charmer se poursuit tout au long de la lecture. Classé dans la catégorie "feel-good", il ne déçoit pas, offrant des moments de joie et de légèreté à travers ses personnages attachants. L'histoire, bien que simple, captive par son authenticité et sa capacité à toucher le cœur du lecteur. Sa lecture rapide est un signe supplémentaire de son attrait, car on se laisse emporter sans résistance. En résumé, "Mémé dans les orties" est un livre que je recommande chaudement à quiconque cherche une lecture divertissante et réconfortante.

Jules, mon petit-fils, a 15 mois. C'est un "vireur" ; attention aux objets en verre autour de lui ! Il ne dit que "Papa", mais il enregistre tout.

Je lui ai lu Louna et la chambre bleue en créant des dialogues, imitant la voix de la petite Louna, et l'aboiement du chien qu'elle a trouvé en voyageant dans le papier peint en " toile de jouy" de sa chambre bleue, chez sa grand-mère.

Car Louna est une rêveuse ; elle ne parle pas à l'école, elle reste dans son coin ; la maîtresse s'inquiète... Mais, pas de panique !

Comme moi, Louna est une rêveuse, elle plonge dans la toile de jouy, discute avec les marins bleus du XVIIè siècle, fait la reine sur un cheval bleu, grimpe tout en haut du grand mât du navire bleu...

Dans la chambre bleue, elle est la reine !

Jules écoutait silencieusement, enregistrait, tournait les pages.... :)

Je suis déçue par ce livre pour lequel j'avais lu des critiques sympas sur des réseaux sociaux. Ce vieux monsieur, Ferdinand, pourrait existait (et existe sans doute quelque part), ainsi que les autres habitants de l'immeuble. Mais c'est une histoire abracadabrante, avec une gamine qui sait tout, comme si elle avait déjà tout vécu, une concierge pire qu'une vipère, et niveau écriture rien ne laisse penser que c'est une romancière réputée qui a écrit ce bouquin.

Encore un joli moment passé grâce à la plume d'Aurélie Valognes

Je l'ai découverte avec son second roman "En voiture Simone !", et là c'est son premier roman, qui met en scène un vieux monsieur de 83 ans : Ferdinand Brun...

Pour vous la faire courte, cet octogénaire est un peu le "tatie Danielle" au masculin de l'histoire, dont le plus grand de ses hobbies est d'emmerder la concierge de sa résidence, ainsi que ses voisines ! Il va finir par être touchant, et laisser tomber sa carapace de vieux bougon, face à une petite fille effrontée, dégourdie qui déboule dans sa vie telle une tornade. Sans oublier une voisine nonagénaire au cœur tendre et à la générosité débordante, folle du volant !!! Comme à son habitude, Aurélie Valognes nous transporte entre rires et émotion, par son écriture simple, ses chapitres courts, et l'immense tendresse avec lequel elle dépeint tous ses personnages...

C’est un coup de cœur pour ce roman. J’ai adoré le personnage de Ferdinand, qui passe son temps à embêter ses voisines et surtout la concierge de son immeuble. Il va finalement se révéler être un adorable vieux monsieur, généreux et amical. Je vous le conseille vivement

Pourquoi ai-je attendu aussi longtemps pour lire ce très bon premier roman que j'ai vu maintes et maintes fois sur les blogs?



A cause du titre sans doute. A cause de ce que j'en ai lu sur les blogs. J'avais très peur de lire un roman loufoque, déjanté, bête même. Eh bien pas du tout ! Et ce roman a frôlé le coup de cœur !



Pourquoi frôlé seulement?



A cause du début et du personnage, Ferdinand, un vieux monsieur pas sympathique pour un sou. Au départ, c'est Tatie Danielle au masculin. Il habite dans un immeuble avec Daisy, son chien, et ne fréquente personne. Il fait même tout ce qu'il peut pour embêter ses voisines et la concierge (qui est une vraie peau de vache, il faut le dire !).



J'ai commencé à aimer ce récit au moment où apparait une gamine, Juliette, une enfant différente des autres, plus mûre, plus humaine, plus franche peut-être aussi. Sa présence n'est pas désirée chez Ferdinand et pourtant elle persiste. Le vieil homme ne la rebute pas le moins du monde. Elle s'impose même le midi afin de manger avec lui et de quitter la cantine.



Petit à petit, Ferdinand change, s'intéresse aux autres, montre qu'il a un cœur et il devient touchant. Dans un duel avec la concierge, c'est lui qu'on veut voir gagner et si la méchante en meurt, eh bien, tant mieux !



Je ne vous en raconte pas plus. Ou vous l'avez lu ou vous aurez sûrement envie de le lire un jour.
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Un succes de librairie..

Pour un texte Tissé de prejugés, de bons sentiments, de stéréotypes.

Indigestes .

Questionnant ...



Comment respeter si peu le lecteur ...

Et Penser que d'aucuns n’apprécieraient pas la même histoire ecrite d'une jolie plume .

Limpide .

et emportée.



Pour moi, c'est non.

Un petit album tout mignon, je suis toujours en admiration devant les magnifiques illustrations des différentes aventures de Minusculette. Il y a aussi toujours de très belles valeurs comme l'entraide, l'amitié, le respect. Une très belle lecture à partager aux enfants pour leur véhiculer de beaux messages.

"Mémé dans les orties" d'Aurélie Valognes n'a malheureusement pas su trouver son écho chez moi. L'histoire m'a paru manquer de substance, peinant à susciter mon intérêt. Les personnages, bien que présents physiquement, semblaient dépourvus de profondeur émotionnelle, ce qui a rendu difficile tout investissement émotionnel de ma part. Je reconnais que ce livre peut avoir son public, mais je n'ai pas réussi à m'immerger dans son univers. Mes attentes personnelles en matière de récit et de développement de personnages n'ont pas été comblées. Chacun a son style de lecture préféré, et malheureusement, celui-ci ne s'est pas aligné avec le mien.