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Critiques de Christine Merrill (27)
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Ladies et rebelles, tome 3 : Indocile fiancée

Comme lors de ma première lecture, j'ai un peu moins aimé Indocile fiancée que les deux précédents tomes de la série Ladies & Rebelles. Le point de départ de l'intrigue semble pourtant plus crédible, et le début de l'histoire de Priscilla et Robert, non dénuée d'humour, m'a bien plu.

Cependant la seconde partie du roman qui s'attarde davantage sur les aléas du jeune couple qui doit affronter la désapprobation de la société m'a moins intéressée.

C'est dommage de terminer la trilogie sur une moins bonne impression, mais dans l'ensemble j'ai passé un bon moment avec les trois héroïnes de Ladies & Rebelles...

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Ladies et rebelles, tome 2 : La folle passi..

Comme pour le premier tome, Un époux à séduire, il faut d'abord se faire à l'idée que toute l'intrigue du roman repose sur une situation de départ très improbable (quelle jeune fille anglaise de très bonne famille, au XIXème siècle, se lancerait seule sur les routes à la poursuite de sa petite sœur qui a fait une fugue amoureuse ?).



Une fois qu'on accepte de fermer les yeux sur ce point, l'intrigue est très plaisante, tout comme l'écriture de Christine Merrill qui fait se rencontrer dans ce roman deux personnages qui n'auraient jamais dû se côtoyer, même pas dans une romance Harlequin, puisque pour une fois le héros, John, est un roturier sans condition et l'héroïne, Drusilla, une jeune femme issue de la meilleure noblesse. D'ailleurs le dénouement est également plus inattendu que ce à quoi on s'attend habituellement dans ces romances.



Le fil conducteur entre Un époux à séduire et La folle passion d'une lady, c'est John Hendricks qui tient ici le premier rôle après n'être apparu qu'au second plan dans le premier tome. D'ailleurs, John et Drusilla, dont les antagonismes pimentent le récit, m'ont paru plus attachants que les héros du livre précédent, Emily et Adrian, qui font ici une brève apparition.



J'ai donc passé un bon petit moment avec cette romance et je vais me lancer tout de suite dans la lecture du troisième tome de Ladies & Rebelles, Indocile fiancée.
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Ladies et rebelles, tome 1 : Un époux à séduire

Il s'agit d'une relecture et comme la première fois, j'ai bien aimé cette romance qui m'a permis de passer un bon petit moment même si l'histoire est sans surprise.



Evidemment, il faut commencer par accepter l'idée qu'après trois ans de séparation un mari ne reconnaisse pas son épouse (c'est vrai qu'il est presque aveugle, mais même la voix de la jeune femme ne lui évoque absolument rien...). Ensuite il ne reste qu'à se laisser porter par une intrigue plaisante qui ne manque pas d'humour, avec des personnages plutôt sympathiques.



Une bonne petite lecture pour se détendre (je vais d'ailleurs enchaîner sans attendre avec le deuxième tome, La Folle Passion d'une Lady...).

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Ladies et rebelles : l'intégrale de la série

Ce recueil regroupe trois romances :



1. Un époux à séduire

Je souhaitais une lecture plus légère et cette romance a parfaitement rempli son rôle : j'ai passé un bon petit moment avec cette histoire sans surprise, mais bien écrite et aux personnages plutôt sympathiques.

Evidemment, il faut d'abord accepter l'idée qu'après trois ans de séparation un mari ne reconnaisse pas son épouse (c'est vrai qu'il est presque aveugle, mais même la voix de la jeune femme ne lui évoque absolument rien alors que leurs familles étaient voisines depuis des années...). Ensuite il ne reste qu'à se laisser porter par une intrigue plaisante qui ne manque pas d'ironie et qui évite ces grandes envolées dramatiques qui ont le don de m'agacer dans certaines romances.

Une bonne petite lecture pour me détendre alors que ma capacité de concentration est proche de zéro ces jours-ci. Je vais d'ailleurs enchaîner sans attendre avec le deuxième épisode de la trilogie Ladies & Rebelles, La folle passion d'une lady...

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2. La folle passion d'une lady

Comme pour le premier volume de la série, Un époux à séduire, il faut d'abord se faire à l'idée que toute l'intrigue du roman repose sur une situation de départ très improbable (quelle jeune fille anglaise de très bonne famille, au XIXème siècle, se lancerait seule sur les routes à la poursuite de sa petite sœur qui a fait une fugue amoureuse ?).

Une fois qu'on accepte de fermer les yeux sur ce point, l'intrigue est très plaisante, tout comme l'écriture de Christine Merrill qui fait se rencontrer dans ce roman deux personnages qui n'auraient jamais dû se côtoyer, même pas dans une romance Harlequin, puisque pour une fois le héros, John, est un roturier sans condition et l'héroïne, Drusilla, une jeune femme issue de la meilleure noblesse. D'ailleurs le dénouement est également plus inattendu que ce à quoi on s'attend habituellement dans ces romances.

Le fil conducteur entre Un époux à séduire et La folle passion d'une lady, c'est John Hendricks qui tient ici le premier rôle après n'être apparu qu'au second plan dans le premier tome. D'ailleurs, John et Drusilla, dont les antagonismes pimentent le récit, m'ont paru plus attachants que les héros du livre précédent, Emily et Adrian, qui font ici une brève apparition.

J'ai donc passé un bon petit moment avec cette romance et je vais me lancer tout de suite dans la lecture du troisième tome de Ladies & Rebelles, Indocile fiancée. Le personnage central de ce dernier tome n'est autre que la sœur de Drusilla, Priscilla, qui était présentée comme une jeune fille écervelée et légère : comment l'auteur va-t-elle parvenir à en faire une héroïne ?

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3. Indocile fiancée

J'ai moins aimé Indocile fiancée que les deux précédents tomes de la série Ladies & Rebelles. Le point de départ de l'intrigue est pourtant plus crédible cette fois, et le début de l'histoire de Priscilla et Robert, non dénuée d'humour, m'a bien plu. Cependant la seconde partie du roman qui s'attarde davantage sur les aléas du jeune couple qui doit affronter la désapprobation de la société m'a moins intéressée.

C'est dommage de terminer la trilogie sur une moins bonne impression, mais dans l'ensemble j'ai passé un bon moment avec les trois héroïnes de Ladies & Rebelles...
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La duchesse insoumise

J'ai trouvé que La duchelle insoumise était une lecture très agréable. Pas de coups de coeur à l'horizon mais j'ai passé un bon moment avec ce roman. L'histoire est fraîche, douce même si elle reste déjà-vue. J'ai beaucoup aimé le fond de secret de famille, qu'on devinait en partie pour ce qu'il s'agit de Miranda, et qui m'a davantage étonnée pour les Haughleich.

La fin est mignonne, classique mais au final, c'est pile ce que l'on a besoin de lire dans ces cas-là !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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La duchesse insoumise

Ce livre doit être le troisième de la maison d’édition Harlequin que je lis. Les deux premiers étaient prêtés, ce dernier, vous pouvez le trouver gratuitement en téléchargement sur leur propre site.



Nous sommes au 19eme siècle, Marcus est le Duc de Haughleigh, un homme dont la réputation n’est plus à faire, tout comme son frère. Les deux sont de véritables Don Juan, allant jusqu’à partager la même maitresse. Lorsque leur mère ferme les yeux, les deux hommes se retrouvent à gérer le domaine et surtout l’apparition dans leur salon, en la personne de Miranda. C’est une jeune femme que la vie n’a pas épargné – on tombe encore dans le cliché, finalement l’homme riche et la femme qui n’a plus rien est récurrent – qui, suite aux divers courriers échangés entre sa tutrice légale et la mère des deux hommes, se retrouve à rencontrer le duc de Haughleigh. Un problème de taille se lit rapidement, elle est venue seule, sans chaperon, dans une maison où deux libertins notoires y vivent et de surcroit, lors de sa route, elle fait la rencontre d’un couple très gentil. Sauf que ce couple est composé du révérant de la paroisse et que sa femme est une véritable commère. La virginité, tout comme l’honneur de cette jeune femme va être mise en péril. Le mariage est donc annoncé pour le lendemain avec l’un des deux hommes.



Marcus l’a épousé par devoir, certes, mais en tant qu’homme marié il va réfréner ses désirs pour les autres femmes, à condition de pouvoir avoir la sienne dans son lit. Il est juste et honnête, nous pouvons le lire lorsqu’il parle avec ce qu’il reste de famille de Miranda. D’ailleurs, ces derniers, son père et sa belle-mère sont vraiment au plus bas, mais ils ne rêvent que d’une chose : que leur fille puisse retrouver son rang d’avant. St John, le frère de Marcus m’a donné des frissons, de déplaisir. Il a beau être charmeur, ce n’est pas pour autant qu’il a une aura d’étrangeté autour de lui. Et cela va se confirmer en lisant de plus en plus. Miranda est innocente, mais pas en tout point. Le travail ne lui fait pas peur, surtout lorsque nous pouvons lire par où elle est passée. Les femmes de l’époque n’avaient pas beaucoup de choix.



Pas mal de problèmes vont s’engendrer, beaucoup de malentendu, venant essentiellement de lettres non données, de personnages qui parlent à tort et à travers, juste histoire de détourner les idées d’une jeune femme et de la mettre dans une position délicate. J’ai aimé le fait que Miranda ne se laisse pas faire, enfin surtout lorsque le Duc n’est pas là. Elle prend des décisions et la plupart des résultats sont vraiment cocasses. Marcus est prévenant, un peu trop pour un libertin, mais c’est un choix qui fait étrange entre ce qu’il fait et la 4ème. Les descriptions des robes – oui, je n’en porte jamais, mais j’adore les lire – sont très bien faites, tout comme les détails de la demeure, mais surtout de certaines fresques des murs. J’ai beaucoup aimé la mère de Marcus, froide, intransigeante, tentant de se défaire du mal qu’elle à pu faire. La comédie qu’elle tente de jouer pour qu’au final cela soit la réalité de la fin de sa vie est bien amenée. Elle a beau être six pieds sous terre lorsque l’arrivée de la jeune femme se fait sous des trombes d’eau, elle va tout de même réussir à continuer à diriger la vie de ces fils.



Il y a, par contre des points négatifs qui ne collent pas avec les personnages. Comme Miranda qui tombe en pâmoison devant les deux frères et dès que l’un ou l’autre se permet de l’effleurer, elle est excitée. Attention, lorsque je dis effleurer, c’est la joue, ou remettre une mèche de cheveux derrière l’oreille. Son corps est en manque d’une chose qu’elle ne connait pas encore et cela est bon pour n’importe quel homme l’approchant de trop près. Quant à Marcus, pour un duc qui doit être rude avec elle, j’attends encore de le voir à l’œuvre. Enfin, sauf au lit, là, il est impétueux, vivant et dur, c’est clair, oups rude pardonnez-moi le lapsus involontaire. Le seul qui reste fidèle à lui-même du début à la fin, il s’agit de St John. Cet homme reste imperturbable, même lorsqu’il lui sera proposé de devenir doux comme un agneau, ce qui m’a bien fait rire.



En fin de compte, c’est un livre qui se laisse lire. Il n’est pas le meilleur que j’ai pu lire, mais il n’est pas non plus le pire. Il m’a bien fait rire par moment, sauf lorsqu’ils vont passer des moments intimes qui seront plutôt bien explicite. Faire attention à qui va le lire donc. Dommage que la fin reste dans la lignée des contes de fées : Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, mais c’est un Harlequin, donc pas moyen d’avoir une autre forme de fin :)



http://chroniqueslivresques.eklablog.com/la-duchesse-insoumise-a109207496
Lien : http://chroniqueslivresques...
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Ladies et rebelles, tome 1 : Un époux à séduire

Allons à l'essentiel : cette histoire d'amour est un joli ratage. Pourtant, le point de départ était porteur, mais les personnages, froids et assez vindicatifs, finalement, voire carrément rancuniers, m'ont assez vite hérissée.

Alambiquée, l'histoire ne m'a certes pas fait rêver. Accumulation de mensonges et adultère, rien de très glamour, à l'opposé d'un quelconque sentiment amoureux.

Quelques points positifs tout de même : j'ai trouvé les scènes sensuelles originales, l'écriture honnête et sans lourdeur, quoique le scénario s'embrouille en cours de route. L'auteur ne semble en tout état de cause pas éprouver beaucoup de sympathie pour ses héros.

Mission accomplie... C'est un sentiment partagé.

-> Mon avis est plus développé sur mon blog.
Lien : http://leslecturesdeveralice..
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Their Mistletoe Reunion / Snowed in with th..

Le coup du huis-clos sous la neige est toujours une valeur sûre, même s'il ne suffit pas en lui-même à garantir une bonne histoire. Heureusement, Christine Merrill, Louise Allen et Laura Martin ont toutes trois su en tirer le meilleur dans ce recueil au parfum de Noël ayant pour cadre la Régence !



Voisins et amis d'enfance, Jack et Lucy ont grandi ensemble. Jusqu'à ce que les sentiments viennent s'en mêler. Le premier n'était pas un prétendant convenable pour la seconde, et l'est désormais encore moins à présent que la guerre l'a changé. De toutes façons, peu importe : Lucy ne lui a jamais écrit. Elle, de son côté, ne lui a toujours pas pardonné d'être parti sans prévenir... à moins que tout ça ne soit pas l'exacte vérité, comme ils ne vont pas tarder à le découvrir, réunis contre leur gré sous le même toit pour les fêtes de Noël.

Pendant la majeure partie de Their Mistletoe Reunion, il est donc question des retrouvailles de Jack et Lucy, toujours un peu amoureux l'un de l'autre, malgré l'apparente trahison de chacun. Christine Merrill ne s'attarde néanmoins pas plus longtemps que nécessaire sur le quiproquo en question, et bien davantage sur l'état d'esprit de Jack tandis que Lucy décide de le reconquérir. La nouvelle se déroule presque en huis-clos, le duo s'efforçant de dissimuler leurs échanges pendant que les célébrations de Noël battent leur plein. C'est que personne ne doit se douter qu'il y a autrefois eu quelque chose entre ces deux-là...

Le côté torturé de Jack n'apparaît jamais exagéré ni lourdingue, mis à part aux yeux de Lucy, elle-même loin d'être dépourvue de caractère, leurs interactions sont crédibles et l'on ne s'ennuie jamais tout au long de la nouvelle. Quant à l'ambiance de Noël, elle est bel et bien là et contribue à la magie de l'ensemble. Certes, il n'y a pas d'à-côté, mais la narration va ainsi précisément droit au but. Tout au plus trouvera-t-on peut-être la fin un poil précipitée, mais c'est vraiment pour chipoter. (7/10)



Snowed in with the Rake commence fort, Julia trouvant sur le pas de sa porte un Giles... intégralement dévêtu. Une entrée en matière ayant de quoi dérouter, d'autant que l'accueil que la jeune fille lui réserve, faute de pouvoir le laisser mourir de froid, n'est pas moins glacial que la température extérieure !

Heureusement, les explications ne tardent pas à venir, et le moins qu'on puisse dire, c'est que les dialogues entre ces deux-là s'avèrent savoureux. Il ne s'agit pas vraiment de piques, mais plutôt d'une franchise qui fait habituellement défaut dans les conversations bien-comme-il-faut à cette époque. Julia n'est pas une demoiselle maniérée, comme Giles s'en aperçoit bien assez tôt. En découle une complicité immédiate et diablement efficace, l'alchimie entre eux étant particulièrement bien retranscrite et ponctuée de petits interludes romantiques de saison dans une ambiance certes plus campagnarde que festive, mais pas moins réussie. Et tout ça, avant que les imprévus ne s'en mêlent, achevant de cimenter le duo de façon tout à fait naturelle. Sans oublier les personnages secondaires, entre les vieilles filles d'à-côté et le chat au caractère... de chat.

Clairement, Snowed in with the Rake est un énorme coup de cœur. Tout y est : la magie, la tendresse, un peu de romantisme, l'humour, les chamailleries, sans oublier la neige ! Et tant pis si le côté « Noël » passe un peu au second plan derrière les péripéties, ou que les protagonistes semblent un peu trop décomplexés pour leur époque, tant le tout est un pur régal d'un bout à l'autre. C'est léger, les personnages sont attachants, leurs sentiments sont bien dosés, bref, on a là une parfaite romance historique de Noël ! (8/10)



Christmas with the Major est un peu le mélange des deux histoires précédentes, avec un vétéran prisonnier de son passé et un cottage isolé. Cecilia, quant à elle, est une riche héritière fuyant un tuteur bien décidé à mettre la main sur son magot. Les deux se retrouvent coincés ensemble au même endroit...

Toutefois, malgré des ingrédients similaires, la recette s'avère moins réussie ici. Peut-être parce que l'attirance entre Joe et Cecilia est principalement physique, que leurs échanges manquent de complicité, engoncés dans cette distance imposée par la bienséance, que le récit manque de rebondissements ou encore que l'esprit de Noël est aux abonnés absents, l'histoire se déroulant essentiellement durant les jours qui précèdent ? A moins qu'il ne s'agisse du comportement de Joe, s'étant physiquement parfaitement adapté à son handicap mais le brandissant comme prétexte pour continuer à se morfondre, à défaut de pouvoir retourner dans l'armée. Toujours est-il que le mélange de tout ça, additionné à quelques répétitions heureusement occasionnelles et à la quasi-absence de personnages secondaires, rend cette troisième nouvelle moins accrocheuse que les deux autres. Elle se lit néanmoins facilement et sans déplaisir, bien qu'elle souffre de la comparaison. (6/10)



Les trois histoires ne sont pas aussi crédibles les unes que les autres sur le plan historique, mais les meilleures ne sont pas nécessairement les plus fidèles ! Quant au plaisir de lecture, il est bel et bien là. Snowbound Surrender est donc un très bon recueil de romances de Noël historiques, à côté duquel il serait dommage de passer si l'on aime le genre... et que l'on lit en VO.

De ce côté-là, certaines tournures de phrases à l'ancienne demandent parfois un peu de s'accrocher pour suivre, mais globalement, le livre demeure assez accessible, pour peu que vous ayez l'habitude.



Une chose est sûre, je ne regrette vraiment pas d'avoir craqué, et ne manquerai pas de le redécouvrir à la même période d'ici quelques années...
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La duchesse insoumise

J’ai presque honte de mettre ce livre ici, mais on ne peut pas être toujours un lecteur studieux et appliqué, une lectrice non plus. Ce livre était dans la centaine de livres offerts avec ma toute nouvelle liseuse que j’ai étrennée avec délice ces derniers jours, comme le montrent les avis de lectures mis en ligne en ce moment…

Je crois que j’ai lu adolescente les deux Harlequins de ma mère, qui trainaient sur les étagères (en secret, car je pense qu’elle aurait désapprouvé ce genre de lecture à mon jeune âge), mais depuis, je n’avais jamais retenté. Un peu de chick lit, comme l’on dit (ça fait poulet, non ?), pour savoir ce que c’est et parce que je ne boude pas toujours une lecture qui ne me demande même pas de temps de cerveau disponible.

Le constat est mitigé. Certes, je ne suis pas sûre que j’étais prête à lire beaucoup plus difficile. Mais tout de même... Cela ne me dérange pas de savoir d’ores et déjà comment un tel livre finira. Lorsqu’on lit un tel livre, on passe un pacte tout sauf implicite avec l’auteur et l’éditeur, donc cela ne me pose pas de problème de connaître la fin avant même d’avoir lu la première page. Mais tout de même… Je n’aime pas être prise pour plus bête que je ne suis, et ce livre m’a paru plein d’aberrations (l’honneur, certes, mais je doute que cela pousse à se marier dans de telles circonstances). Et puis j’aurais aimé un peu de piment, être tout de même un peu surprise le long du chemin qui me menait vers une destination déjà connue. Le lourd passé de chacun des protagonistes est tellement évident que je crois que j’ai fini par m’ennuyer.

C’était probablement un de mes premiers Regency romance, car oui, même pour ces livres on a inventé une catégorie. Ce ne sera peut-être pas le dernier (il y en a deux ou trois autres sur ma liseuse), mais ce ne fut pas une grande réussite, et c’est une litote, je vous prie de me croire.
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La duchesse insoumise

Ça faisait un moment que ce livre traînait sur ma tablette et comme je n'avais plus rien à lire en formation, je me suis dit que ce serait l'occasion !



Nous rencontrons Miranda, une jeune femme, qui est envoyée chez le duc Marcus de Haughleigh, afin de l'épouser.

On s'aperçoit rapidement que notre héroïne est loin d'être celle qu'elle paraît. Même si c'est assez prévisible, c'était assez sympathique à découvrir ! De plus, elle ne subit pas du tout son mariage. En effet, si dans un premier temps, elle a l'air d'être soumise à son mari, Marcus, on comprend vite qu'elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, pour notre plus grand bonheur et celui de Marcus. Cela entraîne des joutes verbales hilarantes !

Marcus est, quant à lui, un personnage plutôt complexe, que j'ai apprécié découvrir ! En effet, il a une réputation de Dom Juan. Pourtant, ce côté-là ne transparaît pas plus que cela dans le récit. D'ailleurs, on a parfois l'impression que c'est le contraire car pour lui, le mariage est une affaire d'honneur et il tient à la fidélité, la loyauté. Par ailleurs, son caractère ombrageux cache un homme torturé mais un homme au grand cœur !



Côté écriture, je trouve qu'elle est fluide et que les descriptions sont bien menées. Du coup, les pages se tournent assez vite ! Cependant, j'ai relevé des incohérences, notamment lors de la scène avec la gouvernante où on découvre que la nourriture servie n'est pas de bonne qualité. Comment Marcus ou sa mère ne s'en sont-ils pas aperçus plus tôt, sérieusement ? Bref !

Il y a également les tournures de phrases, qui m'ont semblé étranges car n'oublions pas que nous sommes censés être dans un récit historique et pourtant, pour moi, elles étaient un peu trop modernes pour l'époque !



En conclusion, c'est une romance assez prévisible avec quelques défauts, mais cela ne m'a pas empêché d'apprécier ma lecture !


Lien : http://fantasybooksaddict.bl..
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Le manoir de Clairemont

Ce n'est pas encore tout à fait la raison des romances de Noël, mais ayant des engagements vis-à-vis d'autres lectures, je me suis autorisé celle-ci avec un peu d'avance, principalement parce que le livre étant imprimé beaucoup plus gros que ne le sont habituellement ceux de la collection, je savais pouvoir le terminer assez vite.



Une fois n'est pas coutume, cette romance historique se teinte d'une très légère touche de fantastique, par le biais de fantômes apparaissant « a priori » en rêve à Joseph. Reste que ce qu'ils lui révèlent est bien réel et dépasse ce dont il peut avoir connaissance. Si votre truc, c'est le réalisme pur et dur même en fiction, ce n'est donc probablement pas le livre qu'il vous faut. Dans le cas contraire, ça apporte une fraîcheur bienvenue dans un genre souvent trop balisé.



L'histoire en elle-même est assez simple : un riche industriel ayant carrément du mal sur le plan social, mal vu par les nobles pour qui il est un parvenu, mal vu par les gens du cru qui flairent le gars intéressé uniquement par l'argent... Certes, c'est le cas, mais pas sans raison et l'arrivée de Barbara dans sa vie est pour lui l'occasion de remettre un peu en question son comportement. Pas de grosse surprise de ce côté-là, les complications viennent plutôt d'ailleurs, bien que la solution aux problèmes de tout le monde coule totalement de source. En fait, cette simplicité est même une force pour le récit : on sait où l'on va, tout se déroule naturellement, il n'y a qu'à se laisser porter au gré des chapitres. Pas de rebondissement inattendu. Christine Merrill n'a pas essayé d'en faire trop, et c'est précisément ce qui rend cette histoire si plaisante à suivre. Comme elle le dit dans la préface, il s'agit d'un conte de Noël, ni plus ni moins. Même si le côté Noël est, finalement, relativement discret.



Une lecture agréable et sans prise de tête.
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La duchesse insoumise

Il s'agit d'une romance historique Harlequin comme tellement d'autres, mais qui se laisse lire malgré une situation de départ très invraisemblable et quantité de clichés.
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Ladies et rebelles, tome 2 : La folle passi..

une couv' standard, habituelle; qu'on s'attend à avoir pour un harlequin historique

un résumé bien tourné, une histoire agréable, une plume fluide dans l'ensemble

des personnages principaux intéressants
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La duchesse insoumise

Une romance sympathique qui se lit facilement et qui offre un bon moment de détente.



L’histoire présente une bonne intrigue qui enveloppe les personnages d’un petit voile de mystère. Chacun d’entre eux a un secret sur la conscience et bien que l’auteur nous dévoile assez rapidement l’histoire de Miranda, il reste toujours des questions sur Marcus, son passé et son inimitié envers son frère, St.John. Bien que des indices sont donnés au fur et à mesure de l’histoire et que des soupçons commencent à se former dans nos esprits, ce n’est que vers la fin que toute la vérité est mise sur le tapis…



Les personnages de Marcus et Miranda sont assez prévisibles mais j’ai les ai tout de même beaucoup appréciés tant par leur caractère que par leur sens du devoir et de l’honneur. Miranda fait de son mieux pour plaire à son mari et lui prouver son utilité dans la maison, et bien que le choix d’une union ne fut pas une idée des plus réjouissantes pour elle, elle tente de rester fidèle et obéissante à son époux, ce qui est admirable. Marcus, quant à lui, traite davantage Miranda comme un père grognant son enfant que comme son épouse. Ce qui se révèle plutôt amusant, à vrai dire.



Par contre, il y a un personnage qui m’a tout de suite intrigué et je parle de St.John, le frère cadet du duc de Haughleigh. Même si celui-ci se montre incroyablement attentionné et prévenant envers Miranda, il émane de lui une aura de danger qu’il cache bien sous son masque d’amabilité et son sourire engageant. On sent bien qu’il a des intentions cachées et par la tension palpable qui se dégage entre lui et son frère, nous devinons bien sa rancœur envers lui.



En bref, c’est une jolie histoire d’amour et moi qui m’attendais au petit « je t’aime » classique, j’ai été bien surprise…
Lien : https://lesoupirduroman.word..
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La duchesse insoumise

Le Duc Marcus de Haugleigh, veuf depuis dix ans , promet à sa mère, de rencontrer une jeune fille qui pourrait faire une épouse . Miranda débarque un soir chez les Haughleigh sans chaperon , à une heure où sa réputation peut être compromise , le duc se doit donc de l'épouser ce qui était en quelque sorte le contrat . A peine marié , le Duc part pour Londres laissant sa jeune épouse au manoir . Le jeune frère du Duc, St John , joueur invétéré et rival de son frère profite de l'absence de celui-ci pour tenter de séduire la jeune Miranda . De son côté, le Duc Marcus , mène son enquête sur sa femme afin de savoir qui elle est , d'où elle vient et la raison pour laquelle sa mère est intervenue auprès de cette jeune fille.....



La rencontre entre le Duc et Miranda ne commence pas sous un jour favorable et la rivalité entre les deux frères ne sera pas pour aider , pour autant Marcus et Miranda se doivent de trouver un compromis ...



Un court roman lu sur ma liseuse et gratuit .... un roman aussi vite oublié que lu, pas désagréable mais un peu simpliste
Lien : http://theetlivres.eklablog...
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Ladies et rebelles, tome 1 : Un époux à séduire

Lorsque Emily retrouve son mari dans un bouge au bout de trois ans d'absence elle est étonnée que son mari ne la reconnaisse pas ,par la suite elle découvre qu'il est aveugle pour le séduire et qu'il lui revienne elle se fait passer pour une femme marié et devient sa maîtresse.
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Ladies et rebelles, tome 2 : La folle passi..

Point original dans ce petit historique : le héros n'est ni un aristocrate, ni un roturier fortuné. Il n'est que l'ancien secrétaire particulier du héros du tome 1, en rupture d'emploi, et, au début de l'histoire, désespéré et désabusé par l'amour sans espoir qu'il ressent pour la femme de son ex-employeur.

C'est dans la malle-poste qui doit l'emmener vers nulle part, à savoir un point diffus d'Ecosse où il pourra ensevelir sa peine, qu'il rencontre Lady Drusilla, une fille de duc réservée et d'un abord plutôt glaciale. La demoiselle a besoin d'aide. Ni une ni deux, John se met à son service. Le voilà employé à la sauvegarde et au bien-être de la belle aristocrate.

Partant de là, leur aventure les entraîne sur la route, entre auberges miteuses, chevauchées pluvieuses et actes carrément illicites et abracadabrantesques, à la poursuite de la sœur cadette de Drusilla.

Durant ces quelques jours pleins de péripéties, leurs relations vont alterner entre attirance, et réserve aristocratique ou emplie de déférence, soufflant le chaud et le froid, avant qu'ils se tombent dans les bras. Car le principal est là : chacun reconnaît en l'autre celui qui ne trouve sa place que difficilement au sein de ses congénères, un de ces êtres qui passent derrière les autres pour ramasser les plâtres. Et leur complicité physique est évidente. D'ailleurs, les scènes d'amour sont drôlement shhhhhhhhouf pour de l'historique, je trouve !

Si vous cherchez un petit roman à lire en quelques courtes heures, celui-ci est un bon choix. Pas prise de tête pour un sou. J'aurais juste aimé que les caractères soient plus développés, mais j'ai tout de même apprécié ce renversement des genres : pour une fois, l'homme n'est pas le puissant, et la dame n'est pas une pauvrette jeune femme en perdition, même si elle a clairement besoin d'aide.

Bon, c'est loin d'être le roman du mois (rare en historique harlequin, surtout en régence, je trouve), ni vraiment piquant, ni très spirituel, ou enlevé, mais il se laisse lire. Honnête... Ne serait-ce que pour ce héros déconcertant.
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La maîtresse du libertin

Comment, moi, mettre quatre étoiles à un Harlequin, alors que j'ai lu taaaant de classiques de bien plus grande quââlité? Ben ouais :) Ce petit bouquin se lit très bien, est pas mal écrit, et rempli très bien son office! J'ai pas honte de dire que j'aime la romance, contrairement à d'autres...

Deux petits bémols: la couverture moche avec le vieux masque en plastique (et encore, c'est moins moche que les couv' des anciens Harlequin) et l'absence d'historicité. Hormis la mention de Napoléon, il n'y a absolument rien qui nous plonge dans l'époque de la Régence anglaise: ni les robes, ni les mœurs, ni la politique ou les affaires étrangères ne sont suffisamment décrites, et ça pourrait aussi bien se passer au XVIII ème siècle (comme le suggère le titre) qu'au début XX ème... Mais bon, je suppose que je ne devrais pas trop en demander^^
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La duchesse insoumise

Une histoire sympathique avec une jolie romance. Le seul petit bémol c’est les passages avec Lord Saint John qui m’ont agacé car c’est un personnage antipathique. Sinon c’est bien écrit, j’ai passé un agréable moment de lecture.
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La duchesse insoumise

Une belle romance avec des personnages pragmatiques et écoutant leurs propres sentiments, donnant au final une belle histoire malgré une suite de péripéties prévisibles et une fin simple.
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