« Au début j’avais craint qu’il fût le marin unijambiste du capitaine Bill. / Moi aussi, je l’ai soupçonné, mais ce cuisinier si jovial n’a vraiment rien d’un flibustier. » (p. 20
Pour le traverser sans me noyer, je dois me vider de toutes mes larmes. C'est le seul moyen.
Alors je pense à maman. Et toutes mes larmes sortent et m'entourent pour me protéger.