Citations de Cindy Gerard (56)
-Ce qu'il faut que tu saches, mon petit, c'est que ton père n'a pas été victime des nazis. Ton père était un héros. Il a été un des premiers américains trahis par ces salauds de communistes. Tu comprends ?
Écoute-moi bien petit et n'oublie jamais mes paroles ; l'ennemi dorénavant, est encore pire. Il est rouge !
Le salaud. L'ordure. Un ignorant à tête de lard.
Elle allait passer le restant de ses jours à le maudire. Une fois qu'elle aurait cesser de l'aimer.
Stéphanie se tourna brusquement vers lui.Il portait le survêtement qui lui tombait sensuellement sur les hanches et tirait un tee-shirt sur sa tête.Quand celle-ci ressortit,il braqua immédiatement son regard sur Stéphanie.Délicatement somnolent.Un brin indécis.Cent pour cent viril.
Et puis tu es entrée dans ma vie - et la vie a retrouvé du sens.Tu fais battre mon coeur,Val.Tu es ma raison d'être.Avec toi,tout devient possible.Sans toi... sans toi, je ne suis pas l'homme que je désire être.
Les larmes coulaient librement sur les joues de Val.
Et puis merde.Qu'on me présente un seul hétéro capable de tourner les talons après son '' Fais-moi des choses'', se défendit-il intérieurement.
- Si tu m'aimais,tu me croirais,lança Johnny avec un air de chien battu.Et tu m'aimes, pas vrai petite chérie?
- N'importe quoi,persifla Crystal.
- Ouais, confirma Hope, même s'il était clair que Johnny la faisait fondre.N'importe quoi.
Son coeur s'emballa dans sa poitrine.Pendant qu'elle attendait,suppliante, électrisé, il sentit son coeur se déchaîner et frapper contre ses côtes.
S'il ne l'avait pas suffisamment touchée, il ne l'avait pas non plus assez regardée.Il avait encore besoin de la découvrir, de la connaître dans son intimité la plus secrète.
- Il va falloir t'y faire, cow-boy.Tu vas souvent l'entendre.Tu sais que tu es coincé et que tu ne peux plus m'échapper.
Il frotta son nez contre le sien,en veillent à ne pas toucher ses blessures.
- Flûte. Me voilà dans le pétrin.
Elle poussa un cri en atteignant le septième ciel et s'accrocha à lui quand il la rejoignit tout en haut.Dans un monde sans risque ni dangers.Et puis,seul l'amour importait.
- Tu es quelqu'un de bon, Johnny Duane Reed. Tu es un homme très, très bon, murmura-t-elle alors qu'ils étaient allongés et qu'il reprenaient leur souffle, baignant dans la merveilleuse promesse de l'avenir.
Il l'aimait. S'il n'avait pas de sentiments pour elle, il ne la bouleverserait pas à ce point. Si ce n'était qu'un jeu, il ne la toucherait pas vraiment.
Stupéfaite, confuse, elle s'agrippa à lui tandis qu'il murmurait son nom entre deux baisers intenses, authentiques, et les entraînait vers une complicité inattendue et incroyable.
il s'approcha d'elle, l'attira contre lui et l'embrassa.Il l'embrassa comme s'il souhaitait la punir,la supplier et le dévorer en même temps.Son long baiser passionné semblait lui crier qu'elle lui appartenait et cela la terrifia presque autant que l'idée qu'on lui tire dessus.Tout aussi brusquement qu'il l'avait approchée, il la lâcha, posa sur elle un dernier regard et sortit.
- Je suis juste là pour chasser cette odeur de fleur, mon pote, murmura-t-il en se savonnant jusqu'à ce que son torse vire au rouge vif.
- Tout doux, mon petit gars, chuchota-t-il en constatant que sa verge explosive ne ratait aucune occasion de dresser la tête. Il referma la bouche, respira longuement pour se donner du courage et se dirigea directement vers la douche où il envisagea un petit combat main contre pénis pour mettre un terme à son problème.
- Quoi ? Tu as treize ans, ma parole !
- Relier les points. De cette cicatrice, murmura-t-elle en se dirigent vers s clavicule, pour le caresser en douceur avec s bouche. À cette cicatrice...
Il gémit encore et, bien qu'elle l'ait déjà épuisé, il sentit son sexe se gonfler dès qu'elle se mit à parcourir son torse de son incroyable bouche.
Des sensations électriques, sauvages et rares, naquirent de ce simple contact, langue contre langue, et allumèrent un chemin de flammes jusqu'à son ventre.
Elle était revenue pour lui.Par curiosité.Parce qu'il l'intriguait.Parce qu'elle voulait savoir s'il y avait plus qu'un désir brûlant entre eux.
- Si, mais ça ne risque pas d'arriver.
Et tu vas faire tout ton possible pour ça n'arrive jamais, n'est-ce pas, le dur à cuire ? Tu vas continuer à tout faire pour ne plus ouvrir ton coeur et partager ce genre d'amour. Ainsi, tu éviteras de revivre la perte de l'être aimé.
- Sam ...
Ses soupirs tremblotants, sa respiration saccadée, rien ne lui échappait. Jamais il n'oublierait le goût de miel de sa délivrance, ni les tremblements de son corps quand elle s'effondra sur le lit, à côté de lui.
Ses fesses moulées dans un Wrangler me rendent folle.
Il conduisait comme il marchait. Avec naturel, décontraction, et une assurance discrète. Bien plus attirant que la frime. Sa grande main tenait le levier de vitesse, ferme, assurée et plus sexy que tout.