AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.67/5 (sur 223 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Redmond, Oregon , 1951
Biographie :

Lisa Marie Rice est auteur de romance érotique.

Elle écrit des romans de suspense romantique sous son vrai nom, Elizabeth Jennings.

Elle vit à Matera, en Italie.

page Facebook : https://www.facebook.com/LisaMarieRiceAuthor/
son site : https://www.lisamariericebooks.com/





Ajouter des informations
Bibliographie de Lisa Marie Rice   (12)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (129) Voir plus Ajouter une citation
Elle avait horreur des machos. Elle avait grandit dans des pays du tiers monde où le dernier des imbéciles se croyait supérieur à toutes les femmes sous prétexte qu'il était détenteur du chromosome Y et qu'un morceau de chair lui pendait entre les jambes.
Commenter  J’apprécie          50
Les hommes sont avant tout des animaux. Des animaux dotés d’un instinct de meute et qui, en présence d’un mâle dominant, le repèrent sans risque d’erreur parce qu’il y va de leur survie.
D’un seul regard, Sam leur fit baisser les yeux en signe de soumission inconsciente. Matés, ils tournèrent les talons et rentrèrent à l’intérieur de la pension de leur démarche traînante, laissant la porte claquer derrière eux. 
Commenter  J’apprécie          40
Il avait envie de la mordre, de l'embrasser, de la lécher, de la pénétrer. Il voulait tout, tout ce qu'elle pourrait lui donner, et plus encore. Mais s'il commettait un autre faux pas, il risquait de se priver à tout jamais de ces délices. Au stade où il en était, il avait plus de chances de devenir danseuse étoile que de mettre Suzanne Barron dans son lit. Elle le fuyait comme s'il était l'Antéchrist.
Commenter  J’apprécie          30
Douze ans auparavant, Jack, qui s'appelait encore Ben, n'était qu'un garçon mi-humain mi-bête, mourant de faim et vêtu de haillons, qui dévorait des yeux un monde qu'il n'arrivait même pas à concevoir. Il n'osait pas imaginer pouvoir vivre un jour avec ces êtres d'un autre monde qu'il contemplait à travers une vitre en grelottant sous la neige. Ils étaient à ses yeux des créatures mythiques évoluant dans un décor somptueux.
Commenter  J’apprécie          20
A sa grande surprise, Nicole n’était pas restée à l’université. Sur un coup de tête, elle avait passé l’examen des Affaires Étrangères, l’avait eu haut la main et s’était retrouvée dans le corps diplomatique à l’âge de vingt-cinq ans. Des missions en Haïti, au Pérou et en Jordanie avaient suivi. Toutes difficiles. L’occasion de se construire une carrière, avec des primes de risque et des possibilités de promotion.
Commenter  J’apprécie          20
Il avait lu quelque part qu’au Moyen Âge, la coutume exigeait d’exhiber publiquement le drap ensanglanté de la nuit de noces, et la raison d’une telle coutume lui apparut soudain clairement. C’était une façon de revendiquer à la face du monde qu’une femme vous appartenait. Une coutume complètement barbare et primitive, d’accord, mais qui a jamais prétendu que les hommes étaient des êtres civilisés ?
Commenter  J’apprécie          20
Allegra le bouleversait. Elle était belle, mais elle était aussi plus que cela. Allegra n’était pas seulement un joli minois. Elle était intelligente, avait du caractère et le sens de l’humour. C’était aussi une femme courageuse qui ne s’était pas laissé abattre par son handicap.

Sa cécité autorisait Kowalski à la contempler tout son soûl, et il
ne s’en priva pas, se repaissant de la finesse de ses traits,de la délicatesse de son teint, de sa grâce innée.Elle dut sentir son regard, car un sourire lui retroussa les lèvres
et elle murmura :

— Qu’est-ce qu’il y a ?

— Putain, ce que tu es belle ! souffla-t-il.

Son exclamation le fit grimacer.Bravo, Kowalski. La grande classe !

— Désolé,s’empressa-t-il d’ajouter. Le sourire d’Allegra n’avait pas vacillé.

— Ce mot-là aussi je l’ai déjà entendu, lui assura-t-elle. Je ne suis pas en sucre, tu sais. Je ne vais pas fondre parce que j’entends un gros mot
Commenter  J’apprécie          10
Caroline effleura les touches pour se familiariser avec le contact du bois et de l'ivoire. La musique avait toujours été son refuge, son havre de paix. Le fait qu'elle s'en soit si longtemps tenue éloignée révélait la profondeur de sa douleur.
Elle leva un regard hésitant et croisa celui de Jack.
Sombre, ferme et pénétrant, comme s'il pouvait atteindre son âme et déchiffrer les émotions qui tourbillonnaient en elle. Cet homme avait connu la frayeur des champs de bataille. Comment pourrait-il comprendre la frayeur que lui inspirait un clavier?
Commenter  J’apprécie          10
_ Merci, mec, fit-il en posant la main sur son épaule. Tu viens de me rendre un sacré service. Ce n'était peu être pas nécessaire mais ça m'a permis de savoir où j'en étais.
Jack cligna des yeux et parut réintégrer son corps.
_ Cette musique, articula-t-il, l'air sonné.
_ Ce n'est pas forcement du goût de tout le monde, je sais. et c'est moins bruyant que tes groupes favoris de hard rock. Il se trouve que certaines personnes apprécient que la musique soit constituée de notes.
_ c'est beau, souffla Jacko, tellement beau.
Kowalski l'étudia avec attention et huma l'atmosphère. Non, Jacko n'avait pas goûté à l'excellent whisky d'Allégra. Il eu honte de s'être laissé aller à douter de lui. Jamais Jacko ne se serait permis de boire une goutte d'alcool en mission,. Kowalski se tourna à demi vers la porte, histoire que son collègue comprenne qu'il était temps d'y aller - il lui tardait d'aller rejoindre Allégra.
_ Merci encore, mec, je te dois une fière chandelle. Je te revaudrai ça crois moi.
Jacko tourna lentement la tête vers Kowalski et cilla. Cette fois le doute ne fit pas qu'effleurer Kowalski.
-Non de Dieu, mais il a bu, l'animal!-
_ Cette musique, murmura Jacko. Si triste. Si belle. Et elle, elle est encore plus belle.
Ah! Jacko était tombé sous le charme d'Allégra.
_ Je ne te le fais pas dire. Et elle joue divinement. Une belle femme et de la belle musique, tu devrais essayer un de ces jours, lui conseilla Kowalski.
Les copines de Jacko avaient en général plus de tatouages et de piercings que lui

Commenter  J’apprécie          00
Il ne pouvait rien faire d’autre que l’embrasser, mais c’était autrement mieux que de faire l’amour à n’importe quelle autre femme. L’embrasser était merveilleux. Comment avait-il pu passer à côté des sensations exquises
d’un simple baiser pendant toutes ces années ? Il est vrai qu’il ne consacrait jamais beaucoup de temps aux baisers. Il embrassait au tout début, pour établir le fait qu’une relation sexuelle allait suivre. Il embrassait rarement sa partenaire pendant l’acte et celles-ci le lui demandaient rarement
Commenter  J’apprécie          10

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Lisa Marie Rice (149)Voir plus

¤¤

{* *}