Claude Coulombe

Je vais être honnête avec vous je ne suis pas un fan de la littérature québécoise. Pourtant depuis quelques temps je découvres d'excellent documentaire comme celui-ci: qui raconte l'histoire méconnu d'un ex-commando canadien. Le style est vif et rythmer comme dans un film d'action à la SWAT. Au fil des pages on apprend que le gouvernement canadien a voulu avoir lui aussi une escouade anti-terroriste et que celle-ci a été un franc succès. Maintenant nous aurons des lieux où les canadiens se sont montrer humain et valeureux dans l'adversité... Vous vous dites voilà un discour très patriotique pourtant vous vous tromper lourdement. Alors je vous souhaite une bonne lecture !

beaucoup aimé, on navigue entre différentes périodes sans être perdus, l aventure est au RDV, pas de temps morts, se lit facilement.

Je préfère ce titre "Troublante inconnue" que "J ai vu mourir Kennedy " qui pourrait laisser le lecteur sur sa faim.

Certes, le sujet n'est pas très original, mais Coulombe a de réelles qualités de conteur et nous embarque allègrement dans cette histoire de complot menée à un bon rythme, avec ce qu'il faut de suspense et de rebondissements.
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J'indique juste que, depuis fin février 2023, un livre audio est disponible sur YouTube sur la chaîne ''j'ai lu un livre ''.



Dix chapitres en ce 25 mars 2023. Voix très posé.



Je ne connaissais pas ce témoignage d'un militaire des forces spéciales canadiennes bien que les interventions en Yougoslavie ont fait l'objet, a l'époque, d'articles sur les magasines spécialisés.

Voici typiquement le genre de roman dont j'attends beaucoup au vu de la quatrième de couverture et dont la lecture est une - petite - déception... Forcément, à trop espérer, on fini par être déçu !

L'intrigue mêle deux enquêtes différentes : la recherche d'Alice puis de sa fille, et l'enquête pour retrouver les assassins du président Kennedy. La première se fait rapidement, trop facilement à mon goût : un nom dans un moteur de recherche, deux clics sur la souris, un peu de chance (le hasard fait décidément bien les choses), et le tour est joué. Aucun suspense à attendre de ce côté là ! La seconde enquête est un peu plus prenante, les retournements de situation et les révélations sur le passé de plusieurs protagonistes nous amènent à découvrir un secret d'état ; l'explication donnée par l'auteur sur les circonstances de la mort de Kennedy est plausible et s'appuie sur plusieurs études récentes : réelle ou non, elle a le mérite d'exister et de combler notre curiosité.

Le style de l'auteur est fluide et agréable à lire, le rythme est assez soutenu et les évènements s'enchainent sans temps morts, bien que certains soient vraiment prévisibles. L'alternance passé / présent est bien maîtrisée et nous permet de découvrir les tenants et aboutissants de l'intrigue en même temps que le héros de l'histoire. Les personnages sont sympathiques, l'auteur arrive même à nous faire ressentir un peu d'empathie pour les "méchants" de l'histoire. En les suivant sur plus de 60 ans, nous comprenons leurs ressentis et leurs comportements, tout en découvrant une belle et tragique histoire d'amour et de famille.

A noter que ce roman est paru en France sous le titre Troublante inconnue.
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Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥

Un superbe roman historique qui nous fait revivre les années 30, la crise économique, la famille riche ou pauvre et tout ça dans la ville de Québec.

Nous suivrons en parallèle 2 familles, les St-Martin, Clément et Jacqueline, et leur grosse famille qui vivent vraiment de peine et de misère avec leurs nombreux enfants.

Et de l’autre côté, les Mackay, William et Laetitia, et leurs enfants, qui eux grâce à la prospérité du père, William, vivent plus que bien.

Léonie, l’aînée des St-Martin, se fait un objectif d’aider sa famille, surtout ses frères et sœurs à sortir de cette misère, et du coup, se trouve un emploi comme femme de chambre au Château Frontenac.

Du côté des MacKay, ça ne va pas très bien, Laetitia est aux prises avec des sautes d’humeur pratiquement incontrôlable et son mari, malheureusement, en fait les frais.

Un passage que j’ai trouvé assez douloureux, quand William décide de prendre les grands moyens avec Laetitia, qui souffre d’une grave dépression. Vous constaterez vous-mêmes que son attitude est assez drastique.

Les années passent, et vous direz, oui, mais quel est le lien entre les deux familles.

Le lien sera la rencontre de Léonie et de Théodore, l’aîné des MacKay. Rien ne peut expliquer les sentiments qu’ils ressentent un pour l’autre. Leur rencontre au superbe Château Frontenac, sera la prémisse d’un bel amour, fort, grand, passionné.

Mais comme je le disais, les 2 familles sont complètement à l’opposé l’une de l’autre, et Léonie et Léopold deviendront le trait d’union du destin des St-Martin et des MacKay.

Je n’en dirai pas plus sur l’histoire, mais voilà ce que je peux vous dire. Ce titre est le tome 1 d’une nouvelle saga historique de Claude Coulombe, et quand on referme le livre, on n’a qu’une seule envie, c’est de pouvoir poursuivre et savoir ce qui va arriver.

Le côté historique de ce titre est vraiment superbe, et comme bien des endroits sont des endroits connus, nous n’avons aucune peine à nous imaginer les scènes et le décor de ce roman.

La conjoncture économique est très bien développée, on peut ressentir vraiment tous les aspects de cette crise économique. Mais aussi, ressentir les grandes différences de classe entre les riches et les pauvres, leur façon de penser, de vivre ou de survivre.

L’histoire d’amour entre Léonie et Léopold est prenante mais surtout poignante.

Les secrets, la vie de famille, la différence sociale, les rêves du ‘’petit monde’’ comparé à ceux des riches. La solidarité entre la fratrie, toutes ces choses font de ce titre un roman merveilleux que l’on a envie de terminer, sans vouloir le terminer, mais en sachant qu’il y a un 2e tome très bientôt, on ne peut qu’avoir hâte de l’avoir en main.

Claude Coulombe, nous offre encore une fois, une plume captivante, mais surtout addictive. Une plume très visuelle, donc, nous avons l'impression d'être sur place.
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Une assez bonne histoire bien construite autour de l'assassinat de JFK. L'intrigue autour des personnages est intéressante.



C'est un bon divertissement. Sans plus.



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Claude Coulombe est né à Québec. Il a lancé un premier roman en 2014, J’ai vu mourir Kennedy, un thriller basé sur des faits historiques. Entre 2020 et 2022, il a publié deux sagas d’époque : La vie à bout de bras dont l’action se déroule à Québec au cours des années 1920, et Le Chant des bruants racontant l’histoire d’une famille de Notre-Dame-du-Rosaire en Chaudière-Appalaches dans les années 1940. Il récidive avec le premier tome d’un nouveau roman d’époque campé principalement dans le secteur du « Petit-Champlain » qui tire son nom de l’appellation anglaise de cette petite rue qui longe la falaise aux pieds de la terrasse Dufferin : « Little street Champlain ».



Les amatrices et amateurs de ce type de fictions historiques y retrouveront leurs repères. Personnellement j’ai particulièrement apprécié l’intégration de la trame événementielle :



• crise économique de 1929 et ses conséquences tant dans les milieux aisés que défavorisés ;

• impacts de la deuxième guerre mondiale ;

• majorité écrasante de députés élus de l’Union nationale dirigée par Maurice Duplessis ;

• relève d’après guerre…



et sociale :



• « misère » des riches vs quotidien des pauvres ;

• pression de l’église pour faire des enfants ;

• place des femmes dans la société ;

• rivalités entre les Irlandais et les Canadiens français ;

• dure réalité du travail (débardeurs, femmes de chambre…) ;

• les rues boueuses et les logements insalubres ;

• la haute ville bourgeoise vs la basse-ville des mendiants ;

• absence de service de santé gratuit…



Comme l’action se déroule principalement à Québec, ma ville, les points de repère urbains permettent au lecteur de visualiser les principaux lieux où se déroule l’action : le port, l’escalier casse-cou menant à la côte de la Montagne, la Place d’armes, l’Hôtel Château Normandie, le Château Frontenac, le magasin Kresge de la rue Saint-Joseph et celui de la rue Saint-Jean, le restaurant Kerhulu, la compagnie Paquet dans dans le quartier Saint-Roch.



Le scénario d’alternance entre la vie des deux familles – les Mackay de la rue des Pins à Montréal et les St-Martin de la rue du Petit-Champlain à Québec – entre 1929 et 1950 soutient le rythme du récit qui, on le devine, trouve dans les derniers chapitres un point de jonction.



Autant le prologue qui dans un bulletin de nouvelles de Radio-Canada annonce, le 20 novembre 2000, une découverte au Château Frontenac, que la chute finale – je ne vous donne aucun indice – invite à lire la suite de cette saga qui sera probablement elle aussi composée de deux autres tomes.



Merci aux Éditions JCL pour le service de presse.





Originalité/Choix du sujet : *****



Qualité littéraire : *****



Intrigue : ****



Psychologie des personnages : *****



Intérêt/Émotion ressentie : ****



Appréciation générale : ****


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Attirée par le résumé de l'histoire et son sujet surtout, j'ai ouvert avec grande impatience ce livre, mais j'ai tout d'abord été troublée, perturbée, un peu perdue même... par la construction des chapitres, au cours desquels on navigue alternativement d'une époque à l'autre. Je pense que l'auteur en a décidé ainsi afin de mieux servir l'intrigue, mas il faut tout de même une bonne centaine de pages avant de faire connaissance avec les différents personnages et pouvoir ainsi faire le lien entre eux et les récits des différentes années.

Une fois "entrée" dans cette histoire, effectivement j'admets que le suspense va crescendo et ce, jusqu'au dénouement de l'intrigue où l'on revient sur les circonstances de la mort du Président Kennedy avec une version tout à fait crédible. Néanmoins, j'ai bien failli lâcher ce livre, mais je ne regrette pas du tout de m'y être cramponnée. Je conseille toutefois de le lire assidument, sans laisser passer trop de temps entre chaque chapitre au risque de ne plus rien comprendre...

J'ai apprécié lire ce livre. Il est captivant et facile à lire. L'auteur met en scène un évènement historique (la mort du président Kennedy) et entreprend une enquête des années plus tard grâce à une photo d'époque, détenue par le personnage principale. Cela va bouleverser la vie de ce dernier. Un roman à lire!

Le commentaire de Lynda : ♥ Coup de coeur ♥

Si le premier tome de cette saga a été un coup de cœur, je ne sais comment qualifier ce deuxième tome, alors je vais simplement dire, un très gros coup de cœur.

Ce 2e tome commence assez tristement, puisque William, le chef de famille des Mackay, meurt d’une crise cardiaque.

Théodore, qui réside à Québec pour parfaire une formation, se doit de revenir à Montréal auprès de sa mère Laetitia et sa sœur Constance, ce n’est pas avec entrain qu’il revient, d’autant plus qu’il doit quitter Léonie pour un temps indéterminé, et surtout que la relation n’est pas au beau fixe entre les 2 tourtereaux. Disons qu’ils en ont plein les bras chacun de leur côté.

Alors que Théodore apprend qu’il devra prendre la direction des affaires de son père d’ici peu, ce qui ne l’enchante vraiment pas, il doit aussi composer avec Laetitia, sa mère, qui croyez-moi est une vraie plaie.

De son côté Léonie, également, vit des gros problèmes, surtout avec sa mère Jacqueline, qui plonge tout doucement dans la folie depuis la mort de Clément. Par chance, Léonie reçoit l’aide financière de Théodore, qui devient un généreux donateur et bienfaiteur pour la famille Martin.

Alors que la relation de Théodore et Léonie vit des hauts et des bas, Léonie perd son emploi de femme de chambre au Château Frontenac. Elle est complètement désespérée, surtout qu’elle ne veut pas que sa mère apprenne ce fait.

De son côté Laetitia continue de faire la mégère, et quand elle apprend que Théodore a une femme dans sa vie, et surtout qu’elle est de la basse classe, elle tentera tout ce qu’elle peut pour mettre un terme à cette relation, et ce, en approchant Micheline, que l’on a vue dans le premier tome comme étant celle qui a élevé les enfants Mckay.

Bon, je ne peux pas en dire beaucoup plus, mais je peux vous dire, que je suis passée par toutes les émotions, la colère, la tristesse, la peine. J’ai trouvé assez épouvantable la façon de penser des gens de la haute, face aux gens de la basse. Et oui la communauté fortunée anglaise avec ses préjugés contre la classe ouvrière. Oui, c’est un fait que l’on connaît, mais l’auteur trouve les mots pour nous toucher et nous faire comprendre vraiment la barrière infranchissable entre ces deux mondes.

Je ne vous dirai pas la fin, mais je peux vous dire qu’elle m’a jetée par terre, que j’ai trouvé le destin très cruel.

Une plume bien imagée, des personnages authentiques, forts surtout Léonie et Théodore, mais il ne faut pas oublier Constance, une femme qui sait ce qu’elle veut dans la vie. Aucune difficulté à m’imaginer le décor ni pour Léonie, ni pour Théodore. L’opulence d’un côté, presque la misère de l’autre.

Je dois vous dire que j’ai terminé cette histoire avec plein d'émotions et une petite boule dans la gorge...Et je ne peux que vous conseiller de lire cette merveilleuse saga, vous ne le regretterez pas, je vous le garantis.
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Les alliances improbables est le 3e et dernier tome de la série "Le chant des bruants", que j'ai lue avec grand plaisir. Il ne fait aucun doute qu'entre les drames et rebondissements, les traditions de l'époque, les réflexions profondes et les personnages attachants, cette série avait tous les ingrédients pour retenir mon attention tout au long de l'histoire.

Juste avec le contenu de l’épilogue, l’auteur aurait pu écrire un 4e tome. Cela aurait été intéressant de voir comment Huguette et Robert ont réussi à passer au travers plusieurs épisodes de leur vie.

L’auteur a finalement résumé un tome 4 en une dizaine de pages.

Mais, j’ai bien apprécié cette histoire qui démontre la force et la détermination des femmes en cette époque difficile des années 30, 40 et 50 où les hommes décidaient de tout.

Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



Dans le tome précédent, on a vu que Laurette Proulx avait du courage, veuve avec plusieurs enfants et un commerce à diriger, elle montre fièrement qu’une femme peut réussir. Mais la vie n’est pas toujours parsemée de pétales de roses, les épreuves vont se multiplier et la famille Proulx va devoir prouver qu’ils sont capables de surmonter les pires obstacles. Ce tome-ci est plutôt concentré sur la vie d’Huguette, qui est l'aînée de la famille, que le secret entourant l’identité de son père va l’anéantir. Étant un enfant naturel c'est-à-dire issue d’un père et d’une mère n’étant pas mariée, elle fera tout pour en savoir plus sur son père qu’elle idolâtre s’en l’avoir connu. Elle connaîtra les montagnes russes en amour, pour finalement prendre une décision rationnelle plus qu’émotionnelle. Ses frères et sœurs vont eux aussi avoir leur part de déception en amour, même Madeleine devenu sœur Catherine va s’interroger sur l’amour qu’elle porte à Dieu et les dessous du couvent. Tandis qu'Emmanuel va lentement prendre la relève du magasin, il devra prouver à sa mère qu'il a le talent pour diriger les employés. J’ai beaucoup aimé fréquenter la famille de Maurice et Laurette Proulx, ils sont unis dans le bonheur autant que dans le malheur, ils se soutiennent, s’aident et s’encouragent. On parcourt le roman et on s’imagine assis à la table de leur cuisine savourant un bon repas. L’originalité du texte et la plume fluide de l’auteur m’ont séduite, le féministe est présent à une époque où la femme n’avait pas son mot à dire. C’est avec regret que je quitte les personnages que l’auteur a rendu attrayants et émouvants. Une trilogie que je vous recommande fortement, tout comme moi, vous allez adorer la famille Proulx.
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Le commentaire de Lynda :



J’attendais impatiemment ce tome deux et je n’ai pas été déçu. Nous retrouvons Laurette qui a maintenant 42 ans, elle est veuve depuis 10 ans déjà et il n’y a pas de place pour un nouvel homme dans sa vie. Elle est fière de sa progéniture que nous allons découvrir, un peu plus en détail, six enfants à élever, seule ça n’a pas toujours été facile, et ce n’est pas fini. Laurette, avec l’aide du notaire Nestor Thibodeau, un ami de longue date, a fondée la boutique de vêtements et fourrures Proulx dont le succès est au-delà de leurs espérances. Découvrons à présent ses enfants, il y a Madeleine qui va entrer chez les sœurs grises, au début elle se questionne à savoir si elle a vraiment la vocation, mais elle découvre rapidement le plaisir qu’elle a à aider les autres. Une grande déception l’attend, va-t-elle garder le silence ou se confier, c’est à découvrir. Emmanuel le plus vieux des garçons s’occupera du département de fourrure qui est à même la boutique Proulx, il espère un jour pouvoir prendre la place de sa mère et être le grand patron de la boutique. D’un tempérament serviable, il tentera d’aider son ami Robert, qu’il a connu à la guerre, qui vient lui quémander un travail, est ce qu’Emmanuel fait une bonne chose en l’aidant. Il apprendra que pour aider une personne, il faut que celle-ci y mette du sien. Mais celle que nous allons le plus connaître, c’est Huguette, elle est d’une beauté à faire flancher les genoux de toute la gente masculine, elle est la fille illégitime de Laurette. C’est un secret bien gardé qui pour aucune raison ne doit pas être dévoilé. Un petit rappel du tome un, Laurette était la servante chez Rodolphe et Simone, et Rodolphe est devenu l’amant qui a enfanter Laurette. Avant de mourir, Rodolphe a demandé que le secret soit maintenu, il a laissé une somme d’argent à Laurette pour que sa fille unique puisse poursuivre ses études et surtout qu’elle devienne une femme de la haute société. Par hasard Simone, va rencontrer Laurette, celle-ci sera sur ses gardes et se méfiera d'elle, car il lui revient en tête des souvenirs assez douloureux. Mais le temps a assagi Simone et elle vient offrir son aide pour contribuer à ce qu’Huguette rencontre les gens de la haute pour réaliser les derniers souhaits de Rodolphe. Laurette un peu hésitante accepte, car elle veut éloigner les mauvaises fréquentations qui semblent attirer Huguette. Ce tome deux est chargé d’informations qui je crois, installent les personnages sur un chemin rocailleux pour nous préparer au tome trois, et à mon avis va se surpasser. J’ai beaucoup apprécié connaître un peu plus la famille de Laurette, la curiosité m’a incité à tourner les pages rapidement sans m’arrêter. L’auteur a une belle plume, la fluidité du texte rend l’interprétation du roman facile à comprendre malgré les nombreux personnages. Je suis impatiente de lire le prochain tome et je vous conseille cette superbe série qui à ce moment-ci est vraiment un coup de cœur !
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Le commentaire de Lynda : COUP DE COEUR!



C’est un très beau roman que je viens de découvrir. Dès les premières lignes, l’auteur a semé un doute dans mon esprit, impossible d’arrêter ma lecture, je veux connaître le secret de Laurette. Revenons en 1924 pour connaître la famille Gauthier formée de 8 enfants, dont Laurette. C’est son histoire que nous allons suivre tout au long de ce roman. Laurette, aussi belle qu’une princesse, attire la gent masculine, mais elle n’est pas pressée de se marier. Pour le quatrième été en ligne, elle va travailler à la Villa Bois Joli chez les Frenette. Simone Frenette, femme plutôt dépressive, dû au fait qu’elle n’a pas d’enfant, reste dans sa chambre lors des fêtes. Quant à Rodolphe, député et homme d’affaires très connu à Québec, aime la vie et son regard est attiré vers Laurette. Un drame va survenir, qui changera la vie des Frenette et de Laurette. Elle doit quitter la Villa et trouver rapidement une solution pour se sortir des griffes de Rodolphe et Simone. Plusieurs autres personnages viendront se greffer au personnage de Laurette, tel qu'Anne sa meilleure amie et confidente. Laurette, je dois avouer, a du cran, son parcours est parsemé d’obstacles, mais elle ne se laisse jamais avouer vaincue. Les doutes semés dans l’esprit de sa mère pour un mariage hâtif, viennent détruire une belle entente, les vérités masquées envers son amie Anne détruisent aussi une belle relation, mais Laurette poursuit son chemin la tête haute. Le décès prématuré de son mari va changer beaucoup de choses, la voilà veuve avec 6 enfants. La visite de son ancien patron Rodolphe Frenette la déstabilise, mais elle retombe vite sur ses pieds. Elle va devoir demander les services d’un avocat pour des litiges non réglés. Rien n’arrête Laurette, mais elle a un gros dilemme auquel elle doit faire face. L’histoire déboule rapidement, les surprises bonnes ou mauvaises se succèdent pour nous tenir en haleine jusqu’à la fin, j’ai vécu un véritable carrousel d’émotions, un coup de cœur que je vous recommande.
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