Ajoutons un détail qui a fait coulé beaucoup d'encre du XVIIIe siècle et que les rapports officiels évoquent à demi mot pour des raisons qui se comprennent : s'il s'agit du corps d'un homme vampire, son pénis est en érection, un détail que les romanciers n'ont jamais osé reprendre pour des raisons de bienséance.