Claudia Gray

Dans ce second tome, on retrouve Noémie et Abel le méca dans la suite de leurs aventures dans l’espace.

Dès l’instant où je l’ai acquis, j’ai voulu le commencer mais je n’ai pas réussi à accrocher et j’ai dû abandonner au bout de quelques pages seulement. Heureusement, j’ai pris le taureau par les cornes et m’y suis remise plus tard avec l’envie de le sortir de ma PAL coûte que coûte.

J’ai mis du temps à le terminer car, tout comme le tome 1, il y avait beaucoup de longueurs et l’action se déroulait quasiment dans un seul vase clôt. Ça a donc beaucoup ralenti ma lecture…

La plume reste la même : addictive mais sans plus.

La fin est toujours aussi haletante avec un second cliffhanger. Je suis presque déçue qu’il n’y ait pas de tome 3 ou du moins qu’il ne sera pas traduit parce que j’aurais été curieuse de voir la fin de cette saga même si elle ne m’a pas beaucoup intéressée.

Les personnages évoluent cette fois-ci chacun de leur côté et c’est peut-être pour ça que j’ai moins accroché. Je les préférais lorsqu’ils vivaient l’aventure ensemble. Ça me semblait plus intéressant et moins long. Malgré cela, ils restent toujours aussi attachants et mouvants que dans le premier tome.

L’action est toujours aussi présente que dans le premier tome, c’est-à-dire pas trop souvent… Mais lorsqu’elle était là, c’était plutôt sympa.

Conclusion : Un second tome un petit peu plus ennuyant que le premier à cause de l’action se déroulant dans un seul lieu ou presque et qui a apporté pas mal de longueurs au récit.

Ravie de retrouver Abel et Noémi, j’ai décidé de dévorer rapidement ce second tome dont la couverture est vraiment superbe… Hélas, même si ma lecture fut bonne, je trouve que cette suite est un peu en dessous du premier opus. Cela est principalement dû au scénario assez prévisible ainsi qu’à la difficulté que j’ai eue pour rentrer de nouveau dans l’univers… La plume de l’auteure, toujours aussi fluide et agréable à lire, n’est pas en cause. J’avais simplement du mal à retrouver mes marques, car ma lecture du tome un remonte à presque un an…



Dès les premières pages, Claudia Gray n’hésite pas à proposer de l’action ou des rebondissements. L’histoire se passant plusieurs mois après le premier opus, les personnages ont eu le temps de faire un petit bout de chemin de leur côté. Abel, le méca possédant une âme humaine, fait à présent équipe avec Harriet et Zayan, ses deux employés devenus ses amis. Ils réalisent plusieurs missions et suivent avec assiduité l’évolution technologique grandissante… En effet, à présent, les androïdes sont en voie pour intégrer la reproduction dans le but de donner la vie… Presque plus rien ne les distingue de leurs créateurs… Quant à Noémi, elle opère toujours pour Génésis, mais avec difficulté, car le fait qu’elle ait soutenu et aidé un méca a nui à sa réputation. Hélas, la demoiselle ne doit pas seulement faire face à la solitude et au rejet : très vite, elle découvre que la Terre a infecté Génésis avec le virus La Toile d’Araignée. Elle va devoir gérer une abominable pandémie qui fait d’énormes ravages… Une mission qui va vite avorter, puisque Burton Mansfield, le créateur d’Abel, va l’enlever pour l’utiliser comme appât… Une course contre le temps commence alors ! Abel va tout faire pour récupérer celle qu’il aime et, de son côté, Noémi va devoir s’extirper de cette situation, essayer de sauver Abel et retourner aider son peuple… On a donc un condensé de rebondissements qui donnent l’impression que la situation est inextricable pour les deux héros… Cela dit, c’est vraiment une impression ! En effet, je n’ai pas trouvé que les personnages s’affolaient réellement. Même face aux pires situations, ils n’ont pas peur de mourir ou ne s’affolent pas plus que ça. J’aurais souhaité qu’ils le soient davantage afin de me faire un sang d’encre pour eux. Hélas, à cause de ce manque de réaction, je suis restée assez hermétique à leur sort. Hormis la fin qui retourne complètement le scénario avec un twist, je n’ai jamais été surprise ou inquiète. Quel dommage !



Heureusement, l’action en continu et le changement de narration d’un héros à un autre ont fait que j’ai été très prise par le rythme du roman. Le fait que l’on suive les deux personnages principaux en simultané fonctionne toujours : on a une vue globale de la situation tandis que l’on cerne mieux la personnalité et les pensées de chacun. D’ailleurs, il est intéressant de voir à quel point Abel est tiraillé ! D’un côté, il y a son créateur qui va au plus mal, qui réclame que son prototype revienne auprès de lui afin de réaliser sa mission première et qui n’hésite pas à menacer Noémi pour parvenir à ses fins… Il y a également le fait qu’Abel a pour mission de sauver autrui : il se doit d’aider les habitants de Génésis et de trouver une solution face à cette guerre biologique… Enfin, le méca ressent des sentiments de plus en plus puissants pour la jeune humaine. Le voir douter, essayer d’analyser la situation et découvrir de nouvelles sensations a été un véritable plaisir. De son côté, Noémi aussi est partagée entre ses devoirs, ses sentiments et ses convictions. On a donc deux personnages troublés qui n’ont pas forcément le temps de se poser des questions à cause de ce qu’ils vont traverser, mais qui sont peu à peu assaillis par des émotions insoupçonnées… D’ailleurs, comme dans le premier tome, la romance n’est pas niaise et passe parfois même au second plan ! Certes, on sait qu’ils tiennent l’un à l’autre, et plus particulièrement Abel qui va prouver son amour à plusieurs reprises, cependant, il n’y a pas de scènes mièvres ou dégoulinantes de bons sentiments. Lorsqu’il y a un baiser, c’est limite si le lecteur ne hurle pas « alléluia » tant il a attendu ce moment. Honnêtement, des histoires d’amour comme ça, qui prennent leur temps et sont bien décrites, j’en redemande !



Au fil des chapitres, les personnages secondaires ont su tirer leur épingle du jeu. J’ai par exemple été marquée par Simon, un jeune méca dément ressemblant énormément à Abel. Il est ce qu’aurait pu être Abel si les choses avaient mal tourné. La confrontation est donc tendue, intéressante et haletante ! Burton et sa fille, Gillian, auront également un rôle très important dans le scénario… Par ailleurs, certains personnages secondaires comme Riko Watanabe referont leur come-back. Fidèles à eux-mêmes, ils tenteront de venir en aide au couple… Cela dit, mon personnage préféré était et restera Abel, car j’aime toujours sa façon d’analyser l’être humain, ses réactions face à notre culture et son codage, ses doutes ainsi que son ton parfois condescendant. Sa personnalité est vraiment agréable à suivre. On prend plaisir à le voir évoluer. Je suis d’ailleurs curieuse de voir comment il va faire pour s’extirper du bourbier dans lequel il se trouve à la fin du livre… Vivement le troisième opus ! Merci encore aux éditions Castelmore pour l’envoi de ce roman qui est dans la lignée du tome précédent, même s’il m’a manqué quelque chose comme la tension ou le côté imprévisible du scénario…
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Un poil moins convaincant...



J'étais impatiente de retrouver Noemi et Abel. J'avais très envie de rejoindre la rébellion et de poursuivre cette aventure palpitante, hélas j'ai un peu moins été convaincu par ce second tome.



Cet opus se concentre très largement sur les recherches de Mansfield et sur la survie de l'humanité. On y découvre de nombreux secrets et rebondissements, ce qui ouvre la voie à d’innombrable possibilités. La romance est relégué au second plan, ce qui n'empêche pas que les sentiments de Abel et Noemi soient intenses et touchants.

Les anciens personnages secondaires sont de retour et sont même plus développés pour certains. Les nouveaux personnages sont convaincants. Mention spéciale pour Simon qui est aussi touchant que flippant !



Quant à Noemi et Abel, ils mènent leur petit bout de chemin, se découvrent et s'affirment sans jamais trahir ce qu'ils sont vraiment. Ces deux personnages sont forts et arrivent à me convaincre totalement !



Alors pourquoi ai-je été moins emballée ? J'ai trouvé l'écriture longuette, et j'ai lu de nombreux passages en diagonale, ce qui sur un tome de plus de 350 pages est assez ennuyeux, car dans le fond l'auteur aurait pu faire le choix de dynamiser son roman en retirant une petite centaine de pages.

La seconde chose est que le roman se termine en suggérant l'intrigue du prochain tome, alors que je m’attendais clairement à ce que :

- premièrement cette intrigue soit déjà abordé dans ce tome puisque c'est à mon sens la seule issue possible pour la romance de cette saga. car soyons honnête, la seule façon pour Abel et Noemi de vivre pleinement leur amour, est que Noemi devienne une méca/héritière...

- secondement, que la saga se termine en deux tomes... Du coup grosse déception, car à mon sens, il n'y a pas de quoi faire un troisième tome, sans broder, ce qui signifie une nouvelle lecture en diagonale...



En bref, bien que ce second tome soit moins accrocheur, Génésis reste une saga intense et originale, avec des personnages qui vous happent et une intrigue convaincante. Je continuerais donc à la recommander en attendant que le troisième tome sorte.



Bonne lecture à tous.

Le tome 1 de cette saga avait été une agréable surprise. Du coup, j'en attendais pas mal pour ce tome 2, et si ce n'était pas une aussi bonne lecture que le tome 1, il n'est pas en reste !





Même si ma lecture du tome 1 datait de quelques mois, il n'a pas été difficile de se remettre dans le bain. Les éléments importants sont rappelés de manière fluide dans les premières pages du roman, et c'était bien utile car j'avais oublié pas mal de détails !



On retrouve Noemi dans une situation assez injuste, juste avant que tout reparte en vrille suite à une attaque un peu spéciale venant de la terre. Vraiment, on démarre sur les chapeaux de roues, l'intrigue promettait dès le début d'être vraiment excellente. Et elle l'est : au fur et à mesure on découvre tous les complots et les machinations de la terre et du père d'Abel, on se rend compte des liens qui relient tel ou tel fait... quand on comprend tous et que la "vérité" est révélée, on se dit "ouaaah en fait c'est ça !". L'autrice maîtrise vraiment bien son intrigue, j'ai été happé !



Au début du roman, on suit Noémi et Abel en parallèle. C'était intéressant d'avoir le point de vue d'Abel sans qu'il soit avec Noémi. J'aime toujours beaucoup ce personnage, il est drôle, complexe et l'autrice à très bien retranscrire sa dualité "humain/robot" dans ses pensées et son raisonnement, c'est vraiment super intéressant a lire. 



Quant à Noémi, je l'aime beaucoup aussi, même si elle est parfois beaucoup trop têtue ! Mais bon, c'est sa détermination qu'on aime. On retrouve aussi d'autres personnages qui m'ont moins marqué, mais qui ont tous leur propre caractère.



La fin était vraiment prenante, je l'ai dévorée sans m'arrêter. Le dernier chapitre est fou ! Le tome 3 doit bien conclure la saga et les intrigues de tout le monde, mais j'ai trouvé la fin du tome 2, même si elle est ouverte, assez complète. En gros, la fin n'est pour moi pas un cliffhanger, et même si je vois ce que le tome 3 a à apporter, je me dis que ça sera un peu du tricotage. Bon je suis pas giga claire, et pis de toute façon le tome 3 n'est toujours pas traduit ! Espérons qu'il le soit un jour !

Refermer ce livre est très difficile car l'histoire est accrochante et les personnages sont geniaux.

On a une réelle remise en question de l'utilisation de la planète par les humains et de l'émigration, ici vers une autre planete. On pointe du doigts les différenceservices sociales au sein des différentes planètes. Ce qui est formidable.

Ce que j’avais aimé au plus haut niveau dans le tome 1 c’était l’alchimie et cette complicité naturelle entre Noémie et Abel. Si vous avez lu le tome 1 (ce qui serait judicieux) vous savez que le tome 2 commence avec nos deux héros séparés l’un de l’autre et (en tant que leur fervente fan) ça m’a broyé les tripes jusqu’au moins la moitié du livre. Je suis habituée dans les duologies et les trilogies à toujours connaître (à quelques exceptions près) une petite chute d’engouement pour les tomes 2 précisément parce que les tomes 1 finissent dans 99% des cas avec des ruptures, des séparations ou quelque chose d’analogue et qu’il faut tout un roman (c’est peu de le dire) pour qu’enfin ils se retrouvent ou se réconcilient etc. Je ne cacherais donc pas qu’il m’a fallu m’accrocher pour retrouver la flamme du tome 1 mais que dès qu’elle fut ranimée, j’étais plus qu’enthousiaste et impatiente de connaître le dénouement final du tome 3 !

… Si Castelmore acceptait de le traduire, PLEASE !!!!

On m'a dit:"Tu vas voir, Sortilèges et malédiction c'est aussi bon sinon plus que la série Sorcière de Cate Tiernan!".

Et moi j'ai répondu que c'était impossible, parce que je suis une des plus grandes fan de cette série.

Je devais lire ce roman!



Eh bien, #ClaudiaGray, elle a réussi l'impossible avec cet oeuvre magnifique! Chapeau!



En débutant ma lecture, je l'avoue, j'y allais à reculons. Mais plus j'avançais, plus j'étais prise dans l'univers passionant qui nous est offert par Claudia Gray. Tous mes doutes se sont envolés et mon intérêt grandissait de page en page. La relation imprécise et indécise entre les deux personnages principaux est tout à fait succulente.



J'ai beaucoup apprécié les personnages, leur personnalité, leurs façons de voir leur propre histoire ainsi que leur histoire commune. Même les personnages secondaires sont intriguants! Évidemment, pour moi qui adore les "méchants" ou les "vilains", j'ai été plus que servie! Eh que j'ai adoré ces personnages et, heureusement, il y en avait plus qu'un!



Mon verdict? Non, ce n'est pas meilleur que la série de Cate Tiernan (je suis incapable de dire ce genre de chose, désolée), mais oui, son roman égale ceux de la série Sorcière dans mon coeur! Sortilèges et malédiction est un très bon roman et je le recommande sans hésiter!!

Sortilèges et Malédiction me tentait depuis énormément de temps. Je me suis finalement lancée dans cette lecture qui avait tout pour me plaire.



Nous y suivons Nadia, une jeune sorcière qui n'a pas achevée sa formation parce que sa mère les a quittés du jour au lendemain. Elle débarque donc avec son père et son petit frère Cole, dans une petite ville. Sur le trajet, un terrible accident va avoir lieu. Heureusement, rien de grave et c'est avec l'aide de Mateo que tout le monde s'en sort. Cet accident n'avait rien d'un hasard. Quelqu'un avait placé là une barrière magique. Nadia le sait, cette ville est sous le coup de la magie.



J'étais vraiment emballée par cette histoire. Je suis bien fan des sorcières en général donc je me suis plongée dans ma lecture persuadée que j'allais adoré.



Malheureusement, c'est tout l'inverse qui s'est produit. J'ai eu énormément de mal à me mettre dans l'histoire. Bizarrement je n'ai pas non plus accroché aux personnages. Et c'est peut-être là que ça a pêché. Nadia est une jeune fille courageuse, très présente pour sa famille et sa formation à la magie aurait pu être intéressante mais j'avoue ne pas avoir collé à son personnage. A vrai dire, je ne sais pas vraiment pourquoi. Mateo de son côté n'a pas su me convaincre non plus. Pourtant, avec la malédiction sur sa famille, ajoutait un petit peu de suspense à son personnage, mais je ne l'ai pas trouvé très... débrouillard ? trop peu sûr de lui... bon, c'est logique me direz-vous puisque toute la ville l'exclu... mais justement, il y aurait pu avoir un côté rebelle, qui se fout de ça ?! L'histoire d'amour aurait pu tout sauver, mais... ça n'a pas été le cas...



Arrivée à un tiers du roman, je me suis demandée si j'allais continuer ma lecture. Pourtant l'intrigue de base était plutôt intéressante, mais j'ai vraiment l'impression d'être passée à côté. J'ai malgré tout poursuivis pour finir ma lecture en lisant en diagonale... Je la termine donc très déçue.



Je ne doute pas que cette série saura plaire à d'autres car l'intrigue est intéressante, mais pas pour moi.
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Une très belle surprise, qui m’a emporté dans cette ville glauque et ravagée par la magie noire. Les personnages sont très intéressants et moins clichés que dans d’autre histoire.
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Un second tome en demi teinte dû à un rythme lent et la façon dont on dérive alors que j’aurais aimé aller droit au but. Malgré cela, j’ai eu de belles petites sueurs froides.
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Un roman écrit par une auteure qui a désormais fait ses armes chez Star Wars, puisque « En pleines ténèbres » est son 5e récit issu de l’univers Officiel.

Claudia Gray est une grande fan de SF, connue pour son style fluide, son plaisir à dépeindre des univers et son amour pour ses personnages. Et c’est toujours un plaisir de la lire.

« En pleines ténèbres » est un roman assez sombre, moins dans l’action que le tome paru en mars. Qui se concentre un peu plus sur la condition de Jedi et les questionnements des padawan et des chevaliers. Il introduit aussi la notion de "Cheminant". Même s’il ne rentre pas trop dans les détails. Je vous laisse découvrir ça.



Bref du bon et du moins bon mais un joli équilibre qui donne envie de lire la suite.



Une chose est sure, la période de la Haute Republique s’annonce riche, un terrain de jeu formidable pour les auteurs.
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Retour dans l’ère de la Haute République avec ce second roman paru chez Pocket Imaginaire (certes, il y a bien un livre paru dans la Bibliothèque Verte mais j’ai fait l’impasse, contrairement à d’autres…). A noter qu’il y a aussi un comic book qui vient de sortir chez Panini, comme ça il y en a pour tous les goûts et tous les âges. En pleines ténèbres est annoncé comme étant destiné à un public young adult, ce qui m’inquiète toujours un peu puisque je suis loin d’être le public cible, mais globalement cela ne m’a pas vraiment dérangé.



Après la catastrophe qui a touché l’hyper-espace dans La Lumière des Jedi (et qui sert visiblement d’élément fondateur de cette époque, pour le moment), les conséquences touchent tous les voyageurs spatiaux. C’est le cas du jeune padawan Reath Silas, envoyé par sa maîtresse jedi contre son gré en direction de la nouvelle station spatiale du Flambeau Stellaire, et qui se retrouve dans un vaisseau obligé de sortir d’un hyper-espace devenu dangereux. La proximité d’une étoile émettant des flashs de radiations va forcer Reath et ses compagnons (dont deux jedi confirmés et l’équipage hétéroclite du vaisseau), mais aussi d’autres voyageurs connaissant le même sort, à se réfugier dans une station désertée où règne un sinistre secret.



S’il comprend son lot de jeunes gens (le padawan reath a 17 ans et va rencontrer deux jeunes femmes, dont l’une est la fille de la dirigeante d’une organisation de transporteurs spatiaux peu scrupuleux), la vie monacale des Jedi préserve le jeune padawan (et du coup, le lecteur également) d’errements amoureux qui sont souvent au coeur (uh, uh) des romans young adult. En l’occurrence, on reste ici au niveau d’une simple camaraderie et c’est très bien ainsi à mon avis.



Certes, les ficelles sont un peu grosses (la station abandonnée et trouvée par hasard se révélant bien trop intéressante pour plusieurs factions), notamment dans le dernier tiers, et il y a plusieurs chapitres dans le passé qui s’intéressent aux jedi adultes mais apportent peu de choses, mais l’ensemble se lit rapidement et facilement. Le nombre plus resserré de personnages (contrairement à La Lumière des Jedi) facilite le suivi et l’intérêt. J’ai aussi noté quelques passages sur Coruscant et l’Ordre Jedi se situant donc 200 ans avant l’époque connue jusqu’à maintenant, avec quelques changements légers mais peu différenciants par rapport à ce qu’on a l’habitude de voir habituellement (et Yoda est cité encore une fois sans être présent, est-ce que ce sera un running gag ?). Le cocktail d’action, d’aventure et d’humour est aussi bien dosé (mention spéciale au copilote du vaisseau), même si je déplore une fois encore des vilains bien peu mémorables. Il y a même quelques interrogations sur les différents chemins de suivre la Force et les consignes de l’Ordre, ou encore d’écouter sa raison et de suivre les lois même s’il nous en coûte personnellement, qui s’adressent sans doute plus ou moins subliminalement au public ciblé par le roman.



Quoiqu’il en soit, En pleines ténèbres se révèle finalement plus convaincant que La Lumière des Jedi, qui avait certes la mission un peu ingrate de planter rapidement le décor de cette nouvelle ère et de présenter une catastrophe dont les répercussions sont explorées dans d’autres œuvres.
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Il y a bien longtemps dans une cuisine lointaine très lointaine...





Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous, Maîtres, Chevaliers ou Padawans. Aujourd'hui avec mon Alfred nous vous embarquons en direction de la nouvelle Ère Star Wars, intitulée Haute République, avec comme point de départ le roman de Charles Soule, LA LUMIÈRE DES JEDI, aux Éditions Pocket Imaginaire.





Au menu, un plongeon de 1000 ans avant les premiers films. Vous prendrez bien d'une galaxie en paix, sous le règne de la Chancelière Soh. Vous y ajouterez une part d'un grand projet de station spatiale mais également des accidents sur les hypervoies, et des gros méchants les Nihils.





Mais WAHOU ! Et c'est bien le terme ! C'était simplement magique de lire quelque chose de tout simplement inédit sur Star Wars. Un régal, que de découvrir cette nouvelle ère, avec une galaxie en paix, et ces prérogatives. J'ai adoré découvrir les nouveaux personnages qui font vivre ce roman, et qui nous permettent d'en apprendre davantage sur les Jedi, la Force, et leur rôle au sein de la galaxie.



Quant aux "méchants" les Nihils, Charles Soule l'auteur les enrobe de mystère tout au long du roman et nous laisse pantois, sur un dernier rebondissement !



Un vrai roman Star Wars avec nombre de scènes d'action, de la bataille spatiale, quelques duels au sabre laser, enrobé par le chant de la Force !







Est-ce que je le recommande mon Alfred : bien évidemment, et je dis même à ceux qui n'ont encore jamais osé lire Star Wars, "vous pouvez commencer par ce roman-ci, les yeux fermés  !"





Comme toujours que la Force soit avec vous et dans vos lectures !

Cela permet de mettre en avant le travail remarquable effectué sur les personnages par Claudia Gray qui réussit à tous les rendre attachant ou au moins intrigants.
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Je continue mon exploration de la période "High Republic". Après avoir lu le premier roman fondateur de ce projet, LIGHT OF THE JEDI, la nouvelle de Charles Soule parue dans le magazine américain Star Wars Insider, le roman jeunesse A TEST OF COURAGE de Justina Ireland, ainsi que le premier arc du comics STAR WARS: HIGH REPUBLIC, publié par Marvel Comics, me voilà rendu à ce nouveau roman estampillé "jeune adulte" : INTO THE DARK de Claudia Gray.



LIGHT OF THE JEDI m'avait un peu perdu avec tous ses personnages et les multiples événements qu'il relatait. Mes autres lectures, en revanche, m'ont plutôt bien plu. On se concentre généralement sur un petit groupe de personnages que l'on suit à travers de nombreuses mésaventures, on apprend à les connaître, à s'y attacher, etc. Et Claudia Gray, avec son INTO THE DARK, fait cela très bien ! Nous retrouvons toutes les caractéristiques d'un récit initiatique avec un héros principal, Reath Silas, padawan, dont on va suivre l'évolution tout au long du roman, qui sera aidé par un petit groupe de personnages hétéroclites pour lutter contre de puissantes forces obscures. La recette rappelle certes la trajectoire d'un certain fermier, Luke Skywalker, dans la première trilogie de films de la franchise, mais elle est transposée dans une autre époque du même univers, et cela fonctionne toujours très bien !



Ce que j'apprécie beaucoup dans ces lectures, c'est l'enrichissement de l'univers Star Wars avec la découverte de nouveaux peuples, de nouvelles traditions, de nouvelles planètes, de nouvelles technologies, etc. Aussi, elles nous offrent des bribes d'Histoire, du passé de l'univers, qui nous donnent envie d'en savoir plus (par exemple, l'évocation d'une grande guerre contre les Sith ou la civilisation Amaxine). Elles approfondissent également nos connaissances de l'Ordre Jedi et de leur Code (mention spéciale à l'évocation enfin (!) explicite de la sexualité, même si cela reste succinct), ainsi que leur relation à la Force. Les Jedi de la Haute République étaient capables de choses incroyables que nous n'avons encore jamais vu dans les films. Peut-être en aurons-nous un aperçu dans la série produite par Disney et prévue pour 2024, THE ACOLYTE, qui se déroulera à la fin de cette période…



Bref ! Tout ça pour dire que ce roman m'a plu, m'a transporté une nouvelle fois dans mon univers favoris et j'ai hâte de poursuivre mon exploration de la période.

Au cours de cette nouvelle plongée dans l’univers de Star Wars, j’ai pris plaisir à retrouver la plume de Claudia Gray. En effet, l’auteure a un style toujours aussi fluide et efficace ! La science-fiction, que ce soit avec Star Wars ou d’autres séries, semble être un genre dans lequel elle excelle ! Cette fois-ci, on va suivre un jeune padawan qui, accompagné de plusieurs Jedi, va découvrir une station spatiale de qui paraît abandonnée. Au programme : mystères, tension, magie/pouvoir de la Force, combats spatiaux, duels au sabre laser et rebondissements ! Des valeurs sûres pour tout adepte de la firme…



Le rythme du récit est relativement bon. Bien que le début soit un peu lent, les choses vont finalement changer une fois que l’on aura mis les pieds dans la station et que l’on aura fait connaissance avec les différents protagonistes. Dès lors, il sera difficile d’interrompre sa lecture. Ce sera également le retour des Nihils, ces antagonistes que j’avais découverts à travers « La Lumière des Jedi » de Charles Soule. Cependant, à l’inverse de cet autre roman, « En pleines ténèbres » m’a moins perdue. L’histoire fut intéressante et dynamique. J’ai également été charmée par le fait que l’on mette en avant la voie du Jedi ainsi que les différentes phases de formation. Voilà une bonne surprise ! Il est à noter que chaque livre se déroulant à l’ère de la Haute République peut se lire indépendamment. Merci encore aux éditions Pocket pour la lecture !
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Un ouvrage presque excellent, après avoir lus une très bonne introduction (la Lumière des Jedi) qui m'avait laissé sur ma faim. J'ai était complètement rassasié avec En Pleines Ténèbres. Les personnages malgré le faite qu'ils sont nombreux sont très bien développé et attachant, le personnage principal surtout est je trouve très marquant ainsi qu'un personnage d’on on peut très facilement s'identifier. Je peux même rajouter qu'à titre personnel mon perso préféré n'était même pas ce dernier mais Orla Jareni qui a également une super évolution dans cette ouvrage. L'histoire quand à elle est assez banal au premier bord, en effet suite aux événements de La Lumière des Jedi, un groupe de Jedi se retrouve bloqué. Cependant par la suite l'histoire qui nous est dépeint est très pertinent ainsi que innovant. Des enjeux ainsi qu'un lore et background très importants nous est présenté et fait selon moi de ce livre une œuvre importante à lire si l'on veut bien connaître tout les codes de la Haute république. Ainsi je dirais que son seul défaut est que le livre à certaines longueur qui peut même faire décrocher. Je le recommande donc bien évidemment après la Lumière des Jedi d'un point de vue chronologique pour subir aucun spoiler mais aussi que si l’on a aimé ce dernier car ce n'est pas ce livre qui vous fera apprécier La Haute République ou même l'univers étendue star wars en roman de manière générale.

Ce roman jeune adulte de Claudia Gray, se déroule en parallèle du roman adulte La Lumière des Jedi.

Déjà, éclaircissons un point sur les appellations :

Autant le roman Une Épreuve de Courage est catalogué Jeunesse à sa juste valeur, autant je ne vois pas trop la différence entre Adulte et Jeune Adulte pour La Lumière des Jedi et En Pleines Ténèbres, sauf que dans un nous suivons les péripéties de personnages adultes, mais que dans l’autre, nous suivons quelques adolescents et plus des adultes. En dehors de ça, En Pleines Ténèbres se veut plus sombre en majorité et plus psychologique que son prédécesseur.



Le problème, c'est qu'il a le postérieur entre deux chaises !

Il possède ce qui faisait un peu défaut au roman de Charles Soule, c'est à dire d'un héros auquel s'accrocher, ainsi qu'un développement plus profond et psychologique de ce-dernier et des autres personnages, puis des événements tragiques qui leur arrivent. En revanche, il possède aussi son lot de comédie et de gags, de part certains personnages, dont leurs apparitions et actions, peuvent être autant drôles que grotesques à la longue.



L'auteure cherche à traiter plusieurs choses à la fois, dont son principal protagoniste, l'histoire de ceux qui l'entourent, les nihils, les drengirs, la Guilde de Byne, les événements de La Lumière des Jedi, ainsi que des événements du passé de deux autres personnages avec des flashback, souvent fouillis et malvenus dans le rythme. Le résultat de tout ça, c'est que c'est un joyeux bordel !



L'histoire peine à démarrer, traîne en longueur, avec un rythme monotone et parfois soporifique. Le tout remplit de descriptions inutiles ne servant qu'à faire du remplissage, jusqu'à ce que l'on arrive enfin à quelques actions bienvenues, dispatchées par endroits. La plus grande déception, revient au moment tant attendu sur l'apparition des nouveaux ennemis de la galaxie, se soldant par quelque chose de grotesque et de rapidement expédié ! La fin du livre est assez réussie par contre, mais ne rattrape en rien la qualité du reste du roman.



Alors oui, les protagonistes sont intéressants et attachants pour la plupart, mais ils évoluent dans un tel brouhaha, que ma lecture en fut quelque peu gâchée.

Notons aussi un cumul de coïncidences incongrues, qui regroupent tous les personnages au même endroit plusieurs fois de suite.



En Pleines Ténèbres est un roman qui aurait pu égaler de prés La Lumière des Jedi, si son écriture n'était pas tant tortueuse, mais qu'elle s'était concentrée sur moins de choses à la fois. On aurait même pu enlever une bonne cinquantaine de pages, qu'il en aurait été que meilleur. J'aurais personnellement plus vu une histoire de type horreur, profitant de l'ambiance sombre générale, ainsi que des monstres qu'elle présentait. Au lieu de cela, on est à mille lieues du chef-d’œuvre de Charles Soule.



Mention spéciale quand même pour le jeune Reath Silas, le point fort du livre, ainsi qu'à l'équipage du Vaisseau, apportant quelques moments de distractions intéressantes, même si tirées par les cheveux par moments.

Je continue ma lecture de la phase 1 de La Haute République. Ici il s’agit d’un roman young adult.



C’est un roman captivant qui mêle habilement l'univers étendu de Star Wars à une histoire riche en mystère et en aventure. Dès les premières pages, on est immergé dans l'univers fascinant de la République Galactique, aux côtés du jeune et studieux Reath Silas. L'auteur parvient à créer un personnage principal attachant en la personne de Reath, dont la passion pour la connaissance et la lecture contraste avec les défis qui l'attendent dans le vaste cosmos.



Le développement des relations entre Reath et d'autres personnages, y compris son maître Jora Malli, contribue à enrichir l'aspect émotionnel du récit. Les moments de tension, d'amitié et de découverte personnelle ajoutent une dimension humaine à l'histoire, rendant les personnages encore plus mémorables.



J’ai également adoré lire un autre aspect de l’histoire déjà lue dans le premier opus, « La lumière des Jedi » !

Avec ce roman, c’est le commencement de la fin pour la première phase de la Haute République, et quelle fin, Claudia Gray livre ici un roman qui ne laissera personne indemne !



Les mois ont passé depuis les évènement de Valo narrés dans l’Orage Gronde et les Jedis et la République semblent avoir enfin réussi à réduire quasi à néant la menace Nihil. Avar Kriss poursuit sans relâche Lourna Dee qu’elle pense être l’œil des Nihil, en conséquence de quoi Stellan Gios reprend le poste de Marshall du flambeau stellaire.

Mais les nihils sont loin d’avoir dit leurs derniers mots et nos héros loin de se douter des plans de Marchion Ro dont ils ignorent encore jusqu’à l’existence.



*



S’il y a bien une chose sur laquelle il n’est pas nécessaire de maintenir le suspens, c’est que ce roman fait souffrir. On le voit dès la couverture apocalyptique, nos héros vont prendre lourd.



Le plan de Ro se déroule sous les yeux des lecteurs impuissants, et l’on assiste à la longue plongée aux enfers des personnages qu’on a appris à connaitre depuis de nombreux romans et comics.



L’intrigue de Claudia Gray est relativement simple et resserrée dans le temps et l’espace puisqu’elle se situe exclusivement sur le flambeau et voit nos héros subir les machination des nihil. Ils sont dans l’obscurité, contraint de réagir à l’aveugle au jour le jour, à la peine, en souffrance.



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L’autrice nous régale avec tout un casting de personnages très large. Stellan et Elzar bien sûr, Bell et Burryaga, mais aussi Indeera, Orla, Affie et Leox ainsi que leur navigateur Géode, Chancey et Nan ou bien Ghirra starros, tous ces personnages croisé depuis un an et demi se retrouve pour cette conclusion.

Les intrigues personnels de chacun progressent, avance certaines trouvent ici leurs conclusion, pour le meilleur ou le pire et d’autres nous laissent en suspend.



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Car oui, s’il s’agit d’une conclusion, tout ne sera pas résolu ici. On le sait, la phase suivante de la Haute République se situera quelques 150 ans avant celle-ci. Ce saut dans le temps sous forme de préquelle nous laisse donc avec notre frustration sur le destin de certains personnages, sur la conclusion d’intrigues qui sont très loin d’être résolus, sur des questions désespérément en attente de réponse.



Si ce dernier point peut être considéré comme un défaut, je trouve que le procédé s’intègre parfaitement dans la tradition Star Wars et si l’on a hâte de découvrir le destin de certains survivants, je pense que l’on va tout de même prendre beaucoup de plaisir en attendant avec la phase suivante.



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Avec ce roman Claudia Gray offre un roman très prenant qui, s’il n’a je trouve, pas la force de L’Orage Gronde, s’avère tout de même extrêmement réussi. La multiplicité des points de vue donne parfois l’impression de papillonner d’un personnage à l’autre, et la temporalité réduite donne une certaine impression de lenteur, mais ces éléments combinés, allié à une intrigue qui voit l'implacable descente aux enfers des nombreux personnages que l’on aime donnent à l’ensemble une impression maitrisé de désespoir croissant.



Soyez prévenus, ce roman va vous détruire psychologiquement, et on aime ça malgré tout !
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