Shadow House: Full Trailer
Bientôt le dortoir tout entier ne parlait que de Poppy-la-Foldingue et de ses visions. Les premiers temps, elle essaya de convaincre les autres que cette Fille était bien réelle, mais cela ne fit qu'attiser les moqueries.
Moriko aussi nous a parlé d'espoir et de peur. Comme quoi les deux sont liés. Quand une chose a assez d'importance pour susciter de l'espoir, elle acquiert du pouvoir sur toi. Et dès que tu commences à espérer, la peur surgit.
C'est la belle couverture qui a la particularité être double ce qui lui donne son originalité qui m'a attirée lorsque je aerer dans la libraire,
A 'intérieur , il y a des pages grise ombrer sur les bords qui fait son originalité..
J'ai aimé cette saga où angoisse, stress et frissons sont présents dans la vie de ces adolescents qui étaient venus chercher la tranquillité !.
Cette saga réunit 5 adolescents venant tous chercher quelques choses de différents au manoir de Larkspur mais arrivée sur les lieux , Poppy vient retrouver sa tante Delphinia, Marcus vient pour étudier sa passion la musique , Azumi trouvé un pensionnat , Dilan & Dash une scène de tournage lorsqu'il se retrouvent au manoir rien ne se passe comme prévu!
Poppy se révélé plus perspicace que holding comme elle était considéré dans son ancien collège ,
A peine arrivait des prénommés paranormal se produisit et en lisant se livre m'a donné des frissons et met les adolescents dans un état de stress et de pression. Chacun commence à se posé des questions sur son passe ...
Les illustrations fait ressentir encore plus l'angoisse que vivent ces jeunes ados, j'ai aimé l'humour noir des dialogues .
J'ai bien aimé tout les les personnages à part les jumeaux que j'ai plus de mal à m'attaché à eux;;;
L'histoire et les personnages sont bien développés et mis en places pour dans ce tome1, j'ai envie de vite lire la suite
Larkspur peut déformer tes pensées, te faire croire des choses qui ne sont pas vraies. Ou t'en faire oublier d'autres, importantes. Au bout du compte, tu ne sais plus où tu en es.
Il se passait de drôles de choses, dans cette demeure. Et Poppy n'arrivait pas à les définir.
- Il y a un point que nous n’avons pas abordé [...]. Tous ces documents ont été signés il y a plusieurs dizaines d’années. Si les jeunes qu’en nous avons croisés ici sont bien ceux dont parlent ces dossiers... vous savez ce que ça signifie ?
- Tu disais toi-même que cette maison était hantée [...]. Je crois que nous avons trouvé nos fantômes.
Chaque fois qu'elle se regardait dans un miroir, Poppy Caldwell apercevait une autre fille derrière son reflet.
Des filles, elle en côtoyait des dizaines au foyer de Thursday's Hope où elle avait été placée à l'âge de six ans. Mais celle-là n'était pas comme les autres.
Poppy en était sûre, cette Fille était morte.
Sur l'écran de son smartphone, Azumi aperçut une silhouette qui se déplaçait à la lisière des arbres, à quelques centaines de mètres de l'endroit où elle-même avait émergé de la forêt. Abaissant l'appareil, toutefois, elle ne vit rien d'autre que la brise qui agitait la végétation dense et feuillue, dans laquelle le soleil se reflétait parfois, donnant l'impression qu'une présence l'épiait.
La jeune fille décide de prendre malgré tout une photo. Quand un point noir apparut à l'endroit où elle avait cru voir quelqu'un, elle retint son souffle et se pencha sur l'écran. Le point se déplaçait devant les arbres, comme si une ombre impénétrable était projetée là, depuis une hauteur de deux mètres environ.
Notre esprit nous joue parfois des tours bien cruels. Surtout quand il arrive des tragédies.
Toutes ou presque dépassaient le mètre cinquante, certaines paraissaient plus vieilles que d’autres. Un des clowns avait le crâne tout blanc, hérissé de trois mèches de cheveux multicolores en pointe ; son nez rose en triangle était presque entièrement aplati ; un sourire tordu dévoilant des dents droites, certes, mais jaunies. Il portait une combinaison pâle à tout petits pois rouges et bleus, et levait la main dans un salut figé. Un autre clown avait une petite tête plus ovale, un nez en patate, de la paille en guise de cheveux et des yeux zébrés par des traînées de peinture bleue.