Dan Poblocki

Une histoire à faire frissonner qui s'ouvre sur les étranges visions de la jeune orpheline Poppy, elles hanteront le roman.



Quatre adolescents aux dons particuliers dont Poppy vont être embarqués dans d'étranges aventures en rejoignant l'école particulière d'un manoir isolé dans lequel ils ont été cordialement invités.

Ils seront bien loin de trouver ce qu'ils sont venus y chercher.

Ils vont faire l'expérience de rencontres d'autres adolescents de leur âge qui pourront être leurs ennemis ou amis qui sait ?



L'auteur nous embarque dans un roman relevant à la fois du genre fantastique, dans lequel on s'interroge sur la réalité des faits à chaque chapitre. le monde de l'invisible côtoie le réel. le passé ressurgit maintes fois au détour d'un couloir, les êtres rencontrés ne sont pas toujours très rassurants, ils provoquent angoisse et terreur. Les personnages oscillent sans cesse entre réalité et folie. Ceci s'accompagne d'étranges phénomènes ; le manoir lui-même réserve un accueil étrange à nos héros.



Actions, frayeurs, rebondissements, visions d'horreur, hallucinations (?) sont de la partie. On se croirait un peu dans un roman de Stephen King et on sursaute souvent.

Que va-t-il advenir des personnages ?



La suite est dans le tome 2 que la fin du premier volet fait attendre avec impatience.

La couverture promettait un roman d'horreur faisant bien flipper. Une rencontre entre plusieurs jeunes enfants (12 ou 13 ans) dans un manoir hanté. Chacun pense y trouver quelque chose pour changer leurs vies, la vérité sera toute autre. Les images en noir et blanc m'ont fait penser un peu à Miss Peregrine et les enfants particuliers mais grosse déception, l'histoire ne m'a pas embarquée.

J'ai trouvé la narration agaçante, la description des actions et pensées n'est pas fluide et certaines phrases m'ont paru incompréhensibles. Et la fin, la révélation n'est pas à la hauteur de mes attentes. Curieuse de savoir ce qui va se passer par la suite mais je saurai m'en passer de la découvrir..

Entre le titre et la couverture, je me suis dit que ce roman serait parfait pour le Pumpkin Autumn Challenge. Même si c’est un livre jeunesse, conseillé à partir de 10 ans, j’espérais avoir quelques frissons durant ma lecture. La mission est-elle réussie ?



Poppy, Marcus, Azuma, Dash et Dylan sont cinq enfants aux parcours de vie différents. Ils viennent des quatre coins du pays et ne se connaissent donc pas au début du récit. Toutefois, ils vont tous recevoir une invitation à venir au manoir Larkspur. Ce premier tome nous raconte ainsi la rencontre entre les différents personnages au sein de ce lieu mystérieux.



J’ai apprécié découvrir les histoires des protagonistes. On se rend compte qu’ils ont tous un objectif dans la vie mais aussi un lourd secret. Pour certains, il n’y a pas de suspens car les éléments nous sont donnés dès le départ mais pour d’autres, les révélations sont plus tardives.



De plus, chacun possède SA scène dans le manoir, c’est à dire un moment où un des enfants sera seul dans une des salles et vivra une « expérience ». Cela permet de mieux comprendre nos héros et de voir les différences au niveau du caractère par exemple.



Cependant, j’ai tendance à penser que le personnage principale du roman est cette bâtisse effrayante. Il s’y déroule des phénomènes étranges. Les enfants font des rencontres très particulières mais surtout, le manoir se teinte d’une atmosphère de plus en plus sombre. On comprend qu’il s’y est passé des événements tragiques dans le passé. On veut obtenir des informations et résoudre les mystères du lieu.



Malheureusement pour moi, j’ai trouvé quelques longueurs dans le récit et je n’ai pas du tout été apeurée. Je n’étais pas le public visé donc je ne suis pas à la meilleure place pour juger du degré d’horreur du texte.



D’autre part, je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages, certainement à cause de la différence d’âge.



Toutefois, je tiens à souligner le travail de mise en page puisque l’on trouve quelques illustrations ou photos qui viennent agrémenter le roman. Les pages du livre ne sont pas blanches mais foncées. Les entêtes sont stylisées. C’est vraiment un bel objet même au format poche.



Concernant l’intrigue, ce premier tome pose des bases solides sur le manoir Larkspur et ses secrets. Il reste encore plusieurs interrogations non résolues. Je pense lire le tome 2 car je suis curieuse de savoir comment nos petits héros vont se sortir de là. J’ai également très envie d’avoir le fin mot de cette histoire.



En bref, ce premier tome était sympathique. Il n’était pas parfait à mes yeux car je n’étais la cible visée pour ce récit. Néanmoins, j’ai aimé toute l’intrigue autour du manoir et je suis curieuse d’en savoir plus.
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Rien qu’au visuel, ce roman fait peur. La couverture est magnifiquement réalisée, avec une figure de fille effrayante, dont on voit le double visage en transparence. C’est hautement original, et puis ça donne tout de suite le ton du récit.



Ils sont cinq jeunes, tous très différents, à avoir reçu un mystérieux message les incitant à rejoindre le manoir Larkspur. Mais à leur arrivée, rien ne se passe comme prévu. Ils se sont fait bernés. Point de famille accueillante, point de plateau de tournage, d’école, ni de pensionnat. Le manoir est sombre et semble vide…



L’histoire a tout pour faire frémir. Le lieu, déjà. Un vieux manoir obscur, isolé de tout, entouré d’une forêt sombre, fait monter la tension narrative d’un cran. S’ajoute à cela la vacuité du lieu et les apparitions fantomatiques qui ponctuent le récit. Autant dire que ce n’est pas un lieu où il est bon de traîner.



On rencontre cinq personnages, aux personnalités différentes, qu’on apprend à découvrir tout doucement. Mais aucun ne sort véritablement du lot. C’est sans doute ce qui rend les rend un peu moins attachants. De plus, j’ai trouvé que l’histoire manquait d’un socle solide. Les bases du récit sont à peine posés que les actions s’enchaînent. Autant dire que le lecteur n’a pas le temps de prendre pleinement connaissance des personnages ou de l’histoire, que déjà, un nouvel élément apparaît. Peut-être que ce genre de structure dynamique fait partie de la politique narrative de l’auteur, qui a voulu ajouter une tension supplémentaire à son récit, mais en tout cas, pour ma part, ça m’a plus embrouillé l’esprit que fait peur.



Ce premier tome constitue sans doute une mise en place du cadre du récit et des protagonistes ; c’est sans doute pour cela que je l’ai trouvé peu organisé et qu’il m’a laissé sur ma faim. Mais je suis curieuse de voir la continuité que va octroyer l’auteur a cette histoire et de découvrir les réponses à toutes les questions que je me suis posé durant ma lecture.



Outre sa narration originale mais peu ordonnée, le livre est doté d’une présentation très singulière. En effet, les éditions Hachette veulent faire frémir le lecteur à chaque page. C’est pour cela qu’ils ont opté pour un support papier dans les tons gris et une présentation de pages originale, avec des espèces d’ornements qui inspirent la terreur. Mais ce n’est pas tout, puisque le lecteur pourra tomber plusieurs fois sur des photographies en noir et blanc, en rapport avec l’histoire narrée, qui ajoutera une tension et une peur supplémentaire.



Seuls les plus courageux pousseront les portes du manoir Larkspur. Dans ce premier tome terrifiant, vous rencontrerez frissons, peur et fantômes. Ajoutez à cela une dose de mystère, qui hérisse les poils, mais qui donne envie d’en découvrir plus. C’est certain, je lirai la suite !
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Vraiment pas mal !



Bien que je sois un peu plus âgée que le public visé....j'ai eu peur...

Les personnages sont sympathiques (les vivants du moins) et l'écriture nous permet de bien visualiser le décor ainsi que d'entendre les bruits effrayants qui retentissent dans cette maison.

Les photographies disséminées dans le roman (et la couverture elle-même) contribuent à faire frissonner le lecteur.

Et bien que l'intrigue soit assez classique, elle se laisse lire avec plaisir. De plus, avec ses chapitres courts, le livre se lit très rapidement.



J'attends la suite !

Une magnifique couverture holographique et des pages grisées du plus bel effet, mais qui n'ont pas suffi à me faire véritablement entrer dans l'histoire.

Toutes sortes de phénomènes surnaturels gravitent autour des cinq héros. Poppy est la seule à voir la "Fille du miroir" et Marcus à entendre "son Musicien intérieur". Azumi est régulièrement projetée au Japon, dans la forêt où sa sœur a disparu. Dylan fait souvent des malaises aussi subits qu'inexpliqués. Ont-ils un pouvoir quelconque ? Sont-ils chacun hantés par un fantôme ? Et qui sont ces enfants affublés de masques d'animaux qui errent dans le manoir Larkspur et "jouent à nous faire peur" ?



Il faut attendre la moitié du livre pour que l'intrigue décolle enfin. C'est en fait le temps que mettent les adolescents à réaliser ce que le lecteur a compris dès le départ : les courriers qu'ils ont reçu sont factices, ils ont tous été manipulés. Si "l'endroit dégage quelque chose de réellement malsain", les photos montages de qualité inégale et les scènes fantastiques plutôt convenues ne parviennent pas à créer une ambiance horrifique. C'est la découverte de Poppy, dans l'un des bureaux, qui apporte des éléments nouveaux : le manoir aurait été un orphelinat jusqu'aux années 1940 et le directeur portait le même patronyme qu'elle ! La jeune fille trouve également les dossiers des cinq enfants masqués, dits "les spéciaux"...



Son enquête apportera quelques éclaircissements par la suite. C'est d'ailleurs le personnage qui évolue le plus et le mieux : "Elle a pas mal d'idées, je trouve, notre Poppy". Il faut dire que l'orpheline, surnommée "la Foldingue" par ses camarades de chambre, manque cruellement d'attention et de tendresse, et malgré les circonstances, elle a trouvé en ses compagnons d'infortune une certaine forme de famille : "Ils pouvaient compter les uns sur les autres". A l'inverse Azumi est la moins attachante, elle se montre plus d'une fois désagréable. Le talent musical de Marcus fait littéralement de lui un envoûteur. Quant aux jumeaux, ils réservent une sacrée surprise !



A la fin du roman, des questions restent en suspens : "Pourquoi nous ?", "Qu'est-ce qu'ils attendent de nous ?". Et surtout, qui est cette "présence maléfique" qui anime la maison, modifiant son architecture à l'envi ? Pour autant je n'envisage pas de lire le tome suivant...
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La couverture m a tape dans l œil, du coup au supermarché je l ai feuilleté, et ai adoré les pages grisées, les photographies. On a entre les mains un petit bijoux visuellement et il tient ses promesses. Un roman d horreur jeunesse. Des ados se retrouve dans un manoir chacun pour un truc différent, et là ils vont s apercevoir que ce n est pas ce qu il attendait justement. Il se passe des choses bizarres et se font attaques par d étranges personnages ....

Après un premier tome des plus effrayants, Dan Poblocki nous transporte de nouveaux à Shadow House, ce manoir hanté par des orphelins déguisés.



Nous retrouvons Poppy, Azumi, Marcus et les jumeaux Wright, toujours prisonniers du manoir. Impossible pour eux de sortir : toutes les issues sont condamnées. Ils doivent à tout prix trouver un moyen de s’échapper, tout en faisant attention de ne pas croiser les Spéciaux, ces jeunes enfants orphelins dotés d’un masque, qui hantent les lieux.



Les personnages, tout comme nous, lecteurs, sommes coincés dans le manoir. Les lecteurs les plus claustrophobes n’arriveront jamais au bout de leur lecture. A tous les recoins de la maison, peut se cacher un danger. Je suis resté constamment sur le qui-vive, m’attendant à voir surgir un monstre ou un fantôme à chaque nouvelle page tournée. Il n’y a pas à dire : Dan Poblocki sait comment rendre l’atmosphère lourde et pesante, comment augmenter la tension et l’effroi. L’auteur se joue également de nous, en intégrant à l’histoire des situations troublantes, dans lesquels il nous ait impossible de démêler le vrai du faux, impossible de savoir à qui se fier, à qui accorder notre confiance.



Pour intensifier davantage l’ambiance lugubre et noire, le récit est agrémenté ici et là d’illustrations en noir et blanc. Avouez, quand vous tournez une page et que vous tombez nez à nez avec ce genre de personnage (cf l’illustration sur l'article de mon blog), il y a de quoi avoir peur…!



Malheureusement, malgré l’attrait que j’aie pour cette saga, je suis assez déçue par certaines choses. Tout d’abord, j’ai remarqué que, tout comme dans le premier tome, je suis resté hermétique aux personnages, dans le sens où aucun ne m’a particulièrement touché, aucun n’est entré dans mon champ intime. Quand je lis des histoires, j’aime beaucoup m’identifier aux personnages ou du moins apprendre à les connaître suffisamment. Ici, les personnages ne sont pas assez développés, on ne sait rien d’eux, ce qui rend impossible tout approche émotive envers eux.



Deuxième point que je souhaite soulever : le fait que l’histoire n’est pas très évolutive. En effet, l’auteur apporte beaucoup d’importance à transmettre peur et frissons aux lecteurs, mais il en oublie quelque peu de faire avancer son histoire. Même si les actions de manquent pas et que l’histoire est dynamique, j’ai l’impression de tourner un peu en rond. Fort heureusement, le dénouement de ce second tome laisse présager une impulsion nouvelle et changeante, qui pourrait apporter du renouveau à la saga. A découvrir dans le troisième tome…



Tous les ingrédients qui ont fait le succès du premier tome se retrouvent dans celui-ci. Angoisse, peur, frissons… le lecteur ne sera pas épargné ! Il vous faudra être bien courageux pour pénétrer dans Shadow House.
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Plusieurs enfants sont attirés par un étrange manoir. Ils se rendent compte du piège une fois qu'il est trop tard.



Un roman qui rappelle Shinning, avec son côté oppressant et étrange. Il se passe des choses. Les enfants sont en danger. Ce n'est pas effrayant, je n'ai pas sursauté ni senti mon coeur palpiter pendant la lecture, mais l'ambiance est bonne.



Pour comparer avec un film, ce livre me rappelle "Hantise", une adaptation d'un film en noir et blanc : "la maison du diable". Là aussi les personnages sont attirés pour des raisons obscurs. Et là aussi il y a un lien entre le personnage principal et la maison.



Il faut attendre la suite pour en savoir plus. Mais un premier roman intéressant.
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Très bon travail d'édition mais malheureusement je n'ai pas accroché. Je savais que c'est un roman assez jeunesse mais je pensais au moins adhérer à cet univers que j'aime tellement, mais cela n'a pas été le cas, tout comme l'intrigue. Je ne continuerais donc pas cette saga.

Roman qui se lit d'une traite, les chapitres s’enchaînent sans temps mort. La maison est un personnage à part entière et elle est à glacer le sang ! J'ai eu des gros frissons à suivre Poppy et les autres enfants dans les couloirs sans fin de cette maison.

Ce premier tome pose les bases d'une histoire intrigante qui me donne envie de lire le tome 2.

5 adolescents sont invités dans une maison, « la demeure Larkscur ».

Ils ont chacun quelques chose à trouver ou du moins ils ont l’espoir et sont tous à part des autres.

Poppy, orpheline, voudrait tant retrouver des membres de sa famille ;

Marcus, pas toujours compris voudrait tant vivre de sa passion pour la musique ;

Azumi, suite à la perte tragique de sa sœur, voudrait se recentrer sur ses études ;

Les jumeaux, Dash & Dylan, marre de faire le même rôle a tour à tour, voudraient du changement pourquoi pas se lancer dans un nouveau plateau de tournage d’un autre genre ;

Ils vont se retrouver dans cette étrange maison, et se feront à l’idée rapidement que pour avancer ils devront rester unis et s’aider les uns des autres ...



J’ai trouvé cette histoire un peu pour ma part tirée par les cheveux, on suit les aventures de ces adolescents avec envie, on pourrait s’identifier, mais je trouve les explications et autres trop long, ce qui est dommage car le fond de l’histoire est sympa. J’avoue ne pas avoir aimé et je ne continuerai pas dans le tome 2 & 3.

Maintenant ce n’est que mon avis personnel, jugez-vous en par vous même.





Bonne lecture!

J'ai acheté ce livre parce que la couverture m'intriguait mais le récit n'est pas à la hauteur de celle ci. Le récit ne m'a pas emporté du tout. L'écriture est juste trop simpliste et le dénouement trop simple. Je ne conseille pas ce livre et je regrette d'avoir dépenser mes sous pour ce livre peu fameux.

J’ai été tout de suite attirée par la couverture effrayante de ce roman. Il est très court, mais c’est un réel plaisir de plonger dans le manoir hanté de Larkspur.



Nous suivons cinq jeunes personnages qui sont tous en quête de rêves qui sont chers à leurs coeurs. Poppy est une fille qui cherche à rejoindre sa tante pour enfin vivre et grandir auprès d’une famille. Azuma a perdu sa soeur qui a disparu dans une forêt hantée au Japon, elle espère intégrer un pensionnat où elle pourra fuir son passé. Marcus rêve de partir étudier la musique qui est une réelle passion, mais malheureusement qui n’est pas partagée par sa famille. Dash et Dylan sont deux frères jumeaux très différents qui espèrent avoir enfin chacun un rôle d’acteur qui les distingue. Ils vont tous les cinq se retrouver au manoir de Larkspur et ils vont découvrir à leurs dépens que ce manoir cache de sombres secrets.



Dès le début on est plongé rapidement dans l’histoire aux côtés de Poppy. Chaque chapitre alterne ensuite une présentation des vies des personnages avant leur arrivée au manoir. On découvre leurs passés difficiles et leurs souhaits d’avenir.



J’ai beaucoup aimé la rapidité avec laquelle l’auteur nous plonge dans son récit qui fait froid dans le dos. Le manoir est terrifiant, car chaque pièce peut se mettre à changer de configuration ou d’emplacement, ce qui empêche les cinq personnages d’accéder à la sortie pour fuir ce lieu maudit.



Tout le long du roman, nous avons de très belles illustrations qui représentent une scène précise de l’histoire. J’ai beaucoup apprécié ce détail qui nous permet d’être davantage emportés dans le récit. Il s’agit d’un roman jeunesse qui je dois dire ne m’a pas laissé indifférente, car j’ai eu mon lot de frissons. Les décors qui nous sont décrits nous peignent une ambiance terrifiante et les choses qui vont faire face à nos personnages ont de quoi nous troubler. Un roman idéal pour vous procurer des frissons pour Halloween !
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Ce livre est vraiment magnifique, tant par la couverture que par les pages et illustrations à l’intérieur!

L'histoire est bien pensée et se lit vite, avec des chapitres plutôt courts et bien rythmés.



Néanmoins, j'ai trouvé que le développement des personnages était un peu trop rapide. J'ai du faire quelques retours en arrière par moment car j'étais un peu perdue (notamment avec les jumeaux).



Je m'attendais à avoir plus peur mais je n'ai peut être pas vraiment l'âge du public visé. Certains passages étaient un peu prévisibles et manquaient de surprises.

Je suis également peu déçue de la fin, qui ne m'a pas vraiment intriguée même si je pense lire les tomes suivants.

Un roman d'horreur jeunesse aussi beau à l'intérieur qu'à l'extérieur ! Il se présente de façon originale et l'intrigue n'en est pas pour autant creuse, bien au contraire. Un vrai plaisir à découvrir, nous faisant frissonner et ce, à n'importe quel âge !



Cinq jeunes se retrouvent devant le manoir Larkspur, dans lequel chacun y a été invité. Poppy pense y trouver une famille ; Marcus, une école de musique ; Azuma, un pensionnat ; enfin, Dash et Dylan, un plateau de tournage pour leur prochain film. Mais ils se rendent vite compte que quelque chose cloche, qu'ils ne sont pas tous là pour la même chose et que des événements étranges se produisent à mesure que le temps passe...



Je ne pensais sincèrement pas flipper avec ce roman, étant destiné vraiment à un jeune public, mais j'avoue que certaines choses ne m'ont pas rassurée...

Tout d'abord, on découvrir Poppy, une jeune orpheline qui découvre un jour, par hasard, une lettre venant de sa grand-tante lui étant destinée. Celle-ci l'invite dans son manoir afin de reformer une famille... Puis c'est au tour de Marcus qui ne vit que pour la musique. Il entend très fréquemment des mélodies dans sa tête et il a besoin de les jouer sur un instrument, au grand désespoir de sa mère car cela lui rappelle de mauvais souvenirs. Le problème est réglé lorsqu'il reçoit une invitation à rejoindre une école de musique. Pour Azumi, c'est un pensionnat qu'elle cherche, après le décès de sa sœur dont elle se sent coupable. Enfin, les jumeaux Dash et Dylan, très connu pour leur interprétation de Scott, termine le tournage du dernier épisode de la série. Ils reçoivent alors une invitation à tourner dans un film d'horreur...

Toutes ces invitations mènent les jeunes au même endroit : le manoir Larkspur. Le lecteur, à l'inverse des personnages, sait donc dès le départ qu'il y a un problème et qu'il va se passer des choses bizarres. Mais sans réellement savoir quoi ! À peine arrivés, des phénomènes étranges se produisent, d'abord peu, puis ça s'enchaîne de plus en plus et la pression augmente à mesure que l'on avance dans la lecture. Toutes ces ombres et ces événements bizarres n'ont rien de rassurant et ça empire chaque fois un peu plus... La fin est d'ailleurs très haletante à cause de ça, un vrai plaisir !



Ce qui aide à ressentir l'atmosphère angoissante de ce roman, ce sont les photos présentes de temps à autres. Elles illustrent parfaitement l'histoire et certaines sont vraiment flippantes ! Alors imaginez, quand on arrive sur la fin où tout s'accélère déjà au niveau du texte et que, en plus, on découvre sur les photos ce que les personnages voient et vivent, c'est juste énorme !

L'autre originalité de la présentation, c'est la couverture et les pages en elles-même. En effet, la première de couverture est en dur et lorsqu'on la tourne, on découvre une fille derrière. En la refermant, la fille prend un autre visage grâce à la couverture... De plus, les pages sont dans une nuance de gris plutôt que d'être blanches, ce qui ajoute à l'atmosphère déjà bien pesante !



Quant aux personnages, certains sortent plus du lot que d'autres et sont aussi plus attachants. Je pense notamment à Azuma et aux jumeaux...

Poppy est une jeune orpheline, abandonnée très tôt par sa mère, qui rêve d'avoir une vraie famille. On imagine très bien sa joie quand elle découvre la lettre de sa tante...

Azuma est en deuil depuis qu'elle a perdu sa sœur, persuadée que c'est de sa faute. Elle fait sans cesse des cauchemars et a des crises de somnambulisme qui l'amène systématiquement au même endroit...

Marcus ne peut pas s'empêcher de jouer de la musique. Il entend fréquemment des mélodies dans sa tête et se sent obligé de les jouer sur un instrument, au grand dam de sa mère à qui la musique lui rappelle des mauvais souvenirs...

J'ai eu plus de mal à accrocher aux jumeaux, Dash et Dylan. Ils ont des personnalités bien différentes mais j'ai eu du mal à les différencier tout au long de ma lecture. Néanmoins, la fin les concernant es très touchante et on ne s'attend pas du tout à ce dénouement.



Un excellent premier tome qui sait faire frissonner et ce, à n'importe quel âge. Le public visé y trouvera donc son compte s'il cherche des frissons, ils sont bien au rendez-vous ! La chute finale est juste excellente et tous les éléments mis en place petit à petit sont bien ficelés ; tout est suffisamment développé et prend son sens lorsque l'on a les révélations. Il me tarde vraiment de lire la suite maintenant que les personnages ont quelques réponses !
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L'atmosphère demeure terrifiante et on ne s'ennuie pas, cependant je n'ai pas autant accroché qu'au premier tome. J'avais du mal à suivre les actions et surtout certaines énigmes que sème l'auteur. C'est une très bonne saga jeunesse pour débuter dans le genre horreur. Malheureusement, je ne compte pas la continuer.



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En dehors de la lecture, ma mère m'a transmis une adoration assez glauque pour tout ce qui touche aux fantômes, au paranormal donc je suis une grande habituée des films d'horreur, mais aussi à toutes les lectures dans le même genre et pour cela, je peux faire confiance à Hachette Romans ♥ Après Sunshine (tome 1 & tome 2) de Paige MacKenzie, je dois dire que Shadow House, la maison des ombres se défend très bien !









En lisant le résumé, nous savons d'entrée que cinq personnages rythmeront notre lecture et dès les premières pages, on peut remarquer qu'un chapitre correspond à un personnage (ou un duo quand il s'agit des jumeaux).

A première vue, aucun lien ne peut se faire sur nos cinq jeunes gens :

Poppy est une orpheline qui a des visions d'un fantôme, la Fille, ce qui l'exclut socialement, jusqu'à ce qu'elle reçoive une lettre d'une grande-tante Delphina. Azuma a du mal à surmonter le décès de sa soeur et lorsqu'elle reçoit une lettre pour un pensionnat, elle n'hésite pas une seule seconde. Marcus est un prodige côté musique, il reçoit également une lettre pour intégrer une école de musique. Dash & Dylan sont deux acteurs connus et ils sont invités sur un nouveau tournage. Leurs chemins se croiseront devant une école, des plus sombres et où il n'y a pas âmes qui vivent ... En apparence.









Ce que j'ai fortement apprécié dans cette lecture, c'est bien la rapidité de la mise en place de l'histoire. Si les premiers chapitres sont pour la présentation de l'histoire, la mise en place du contexte, nos jeunes héros sont rapidement pris en grippe par ce qui ressemblent à cinq âmes tourmentées. Tout le reste de l'histoire tourne sur le fait de sortir de cet établissement et pour cela, il faudra affronter bien des choses ... Mais dès leur entrée, on ressent parfaitement l'ambiance sombre et glauque que dégage l'endroit et ce, grâce aux descriptions de l'auteur, mais aussi (et surtout) aux photos qui accompagnent la lecture et bien que certains montages soient assez flagrants, elles apportent beaucoup.

En dehors de l'histoire en elle-même, je dois dire que le personnage de Poppy m'a beaucoup émue et je pense que tout tournera autour de son passé, dont elle ignore tout encore. Au fil des heures passées avec eux, on apprend à les connaître et certains peuvent nous émouvoir, mais je ne peux en dire plus sans vous spoiler un GROS rebondissement ! Alors ... A vous de le découvrir ☺

Ce premier roman nous fait mettre le pied dans une histoire qui peut paraître bien compliquée, mais je suis certaine que nous avons de nombreux indices pour le deviner ! Reste à voir à quel point l'auteur, Dan Poblocki, est sadique avec nous et nous montre l'étendu de son imagination... Je suis donc curieuse de connaître la suite des évènements.







Et pour vous ? Qui osera passer la porte de la maison des Ombres ?
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Une famille, un pensionnat, une école de musique ou un plateau de tournage, Poppy, Marcus, Azumi, Dash et Dylan cherchent tous quelque chose de différent. Ils ne se connaissent pas et pourtant ils obtiennent un lieu de rendez-vous commun pour des objectifs différents. Un nom qui revient sans cesse pour chacun d’entre eux, des visages, des masques. Serez-vous capable d’accompagner ces cinq adolescents dans cette demeure ?



Poppy est l’un des personnages de cette « bande ». Je n’ai pas aimé le personnage en lui-même mais j’ai adoré son histoire, ce qu’elle voit et ce surnom qui lui est donné au début du roman qui évoque la folie. J’ai été indifférente à Marcus, il n’est pas très bavard et assez discret. Azumi à son charme mais quelque chose dans sa personnalité ne colle pas mais je n’ai pas trouvé quoi. Pour Dash et Dylan, mon avis est très tranché, dès les premières pages, je n’ai pas accroché aux jumeaux. L’un est prétentieux et l’autre un grand anxieux. Dans la globalité, je ne me suis attachée à personne, principalement parce que les personnages sont répétitifs dans leurs actes.



Le concept de l’histoire m’a vraiment plu, cinq histoires différentes réunie en une seule dans un lieu de rendez-vous inquiétant, ce qui implique derrière cela de la manipulation et de la malveillance. Cela m’a beaucoup intrigué. Malheureusement, au-delà de la base du roman, l’histoire n’a aucun intérêt selon moi. J’ai trouvé que c’était très répétitif, j’avais le sentiment de tourner en rond et de ne pas avancer. Après avoir terminé le roman, même sensation, je n’en sais pas plus qu’au début. Cela avance lentement avec peu de vrais détails, difficile pour une lectrice comme moi qui a besoin d’avoir un rythme assez rapide.



Le visuel est très joli, la couverture est travaillée, les pages à l’intérieur sont grises telle l’atmosphère lugubre que nous y retrouvons et il y a des illustrations sombres pour compléter le récit.



Pour conclure, le visuel est réussi mais le contenu n’est pas à la hauteur de mes espérances. Le chemin entre les personnages et moi s’arrête ici.
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Aujourd’hui, je vous propose de découvrir mon avis sur « Shadow House : la rencontre » de Dan Pobloski. Il s’agit d’un roman fantastique jeunesse.

J’ai tout d’abord été intrigué par le résumé du livre et je ne fus aucunement déçue malgré mes péripéties du début. En effet, je me suis procuré une première fois ce roman, mais j’ai eu la malchance de découvrir une mauvaise impression à la fin du livre, où il manquait 7 ou 8 chapitres. Bref, la seconde fois fut la bonne et j’ai pu apprécier à sa juste valeur cette histoire !



Nous faisons la connaissance de cinq adolescents en quête de renouveau. Ils reçoivent alors une « invitation » pour séjourner au manoir Larkspur. Très vite, les jeunes gens comprennent qu’ils se sont fait manipuler et ont atterri dans une maison pour le moins étrange, où les cauchemars deviennent réels. Pourquoi leur a-t-on joué cette comédie pour être dans ce manoir ? Est-ce à cause de leur passé particulier ? Les réponses risquent de déplaire aux adolescents… Pourront-ils sortir indemnes de ce lieu maudit ?



Premièrement, le livre est tout simplement somptueux ! La couverture est une assez bonne entrée en matière concernant cet univers singulier. De plus, à l’intérieur de sublimes illustrations viennent enrichir le récit pour notre plus grand plaisir.



Concernant les protagonistes, ils ont tous un passé très particulier. Je ne vais pas trop en dévoiler, vous laissant un peu de mystère si cette lecture vous intéresse.

Mais concernant Poppy, c’est une orpheline assez réservée qui va se montrer forte et courageuse à l’intérieur du manoir. Elle devient un peu la meneuse du groupe, chose impensable dans sa vie d’avant.

Azuma qui est d’origine japonaise est assez effacée pour l’instant du récit. J’espère que ce personnage sera plus exploité dans le second tome. Malgré la tragédie qui l’a touchée, elle désire au fond d’elle comprendre son passé pour pouvoir avancer. Le manoir risque de jouer avec ses émotions les plus intimes.

Marcus est un virtuose de la musique, doué depuis son enfance, il s’enferme à chaque instant dans sa petite bulle de confort. Mais son don va être remis en cause au sein de l’étrange maisonnée. Personnellement, c’est le personnage que j’ai trouvé le plus antipathique. Peut-être ce côté : « Moi Marcus, j’ai toujours raison. »



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