Citations de Dana Schwartz (119)
— Mon cœur t’appartient, Hazel Sinnett. Pour toujours. Qu’il batte ou non.
— Qu’il batte ou non.
Toute science n’est-elle pas de la magie pour qui ne la comprend pas ? Le problème, avec la connaissance, c’est qu’elle rend le monde mécanique.
Elle aurait un nouveau nom, un nouveau foyer. Une nouvelle vie. Elle deviendrait une autre personne, une personne que le chagrin ne parviendrait pas à retrouver.
Qu’était-ce qu’un miracle, sinon un phénomène scientifique que l’homme n’était pas encore en mesure de comprendre ? Et n’était-il pas plus miraculeux encore que les secrets de l’univers soient tous exposés là-dehors, tels des codes à déchiffrer à force d’intelligence et de ténacité ?
“Every woman marries into obsolescence,” Eliza said. “The things that make us celebrated as young women—being charming, and being coquettish and being clever? In a married woman and mother, all of that becomes desperate and embarrassing, like wearing too much rouge."
Il y a toujours des femmes en coulisses qui tirent les ficelles, Hazel. Nous sommes invisibles aux yeux de l'histoire, mais, en même temps, nous survivons.
Loneliness, like frost, usually melted in the morning sun.
Je suis immortel dans un monde où les miracles d'existent plus.
Les morts apprennent aux vivants.
Qu'était-ce qu'un miracle, sinon un phénomène scientifique que l'homme n'était pas encore en mesure de comprendre ?
Hazel entendait maintenant sa mère pleurer, comme elle pleurait presque tous les jours depuis que la fièvre avait emporté George.
- Alors, c'est décidé. Je vais demander à lona de vous mettre votre nouvelle robe en soie. La vert arsenic. Quand vous la portez, vos yeux semblent un peu moins... eh bien... un peu moins marron. Hazel n'était donc pas dans le pétrin, tout compte fait.
Il était incroyablement facile de mourir à Edimbourg. Des gens périssaient tous les jours. Il y avait des feux de cuisine, des attaques au couteau dans des ruelles derrière des bars miteux. Des égratignures que vous pensiez pouvoir ignorer devenaient vertes et suintantes, gonflées et brûlantes, et avant même d'avoir pu voir un médecin c'en était fini de vous.
Un livre. Un livre? Ne soyez pas ridicule. Et si je le termine ? Ou si je le trouve terriblement ennuyeux ? Que suis-je censée lire si je finis le livre que j’ai emporté ou si je m’aperçois qu’il est illisible ? Ou s’il ne capte plus mon attention ? Quelqu'un pourrait remverser du thé dessus. Oui ! Imagine un peu. z pourrait reverser du thé sur mon unique livre, et alors je serais coincée.
Les cadavres sont inoffensifs. Ce sont les êtres vivants qui sont dangereux.
La vérité n’existe pas, mademoiselle Sinnett. Même les prétendues vérités les plus basiques de notre anatomie peuvent être manipulées selon les buts que l’on sert. La seule vérité, c’est le pouvoir, et le seul pouvoir, c’est de savoir comment survivre.
Le problème, avec la connaissance, c’est qu’elle rend le monde mécanique.
Je vous trouve bien condescendante, pour une demoiselle qui m’a laissé faire tout le sale boulot la dernière fois, [...].