Né(e) à : Issy-les-Moulineaux, Hauts de Seine, France , le
06/03/1935
Biographie :
Danièle Blondel-Spinelli est une économiste universitaire française.
Elle a été en 1981 et 1982 vice-chancelier des universités de Paris, de 1982 à 1985 directeur des enseignements supérieurs au ministère de l'Éducation nationale puis, de 1985 à 1987, directeur du Centre d'études et de recherches sur les qualifications.
Après des études secondaires au lycée Victor-Duruy à Paris, Danièle Spinelli entre en classe de Lettres supérieures au lycée Fénelon et suit simultanément les cours de la faculté de droit et de l'Institut d'études politiques. Licenciée en droit et diplômée de l'IEP en 1956, elle obtient ensuite un DES d'économie politique et un DES de sciences économiques. À Strasbourg, elle obtient un 3e DES (droit public) et devient assistante à la faculté de droit en 1960[1]. De retour à Paris en 1962, elle est nommée assistante de sciences économiques et soutient en 1964, devant un jury composé des professeurs Maurice Byé (directeur de la thèse), André Marchal et Jean Weiller, une thèse (Blondel Spinelli 1966) sur la coordination de l'énergie dans l'Europe des Six
Chargée de cours d'économie à Poitiers de 1965 à 1968, Danièle Blondel est, après sa réussite à l'agrégation de sciences économiques, nommée professeur à la toute jeune université d'Orléans en 1969.
De 1977 à 2003, elle enseigne et recherche à Dauphine : monnaie, déséquilibres et politiques monétaires – travail, qualification et emploi – innovation et création d'entreprises
De 1960 à 1977 : recherches doctorales et post-doctorales : les politiques et stratégies européennes et internationales
En 1981, Danièle Blondel occupe le poste de Directeur des enseignements supérieurs au ministère de l'Éducation nationale.de 1982 à 1985, elle contribue alors en particulier à l'élaboration de la loi de 1984.
En 1985, Danièle Blondel est nommée à la direction du CEREQ. Elle reste à ce poste jusqu'en 1987.
Après sa reprise de fonction de professeur à l'université Paris-Dauphine, elle est, de n1990 à 1992, membre du Comité national d'évaluation de la recherche (CNÉR).
En 1992, elle est élue membre du Comité des applications de l'Académie des sciences (CADAS).Elle est, au nom de l'Académie, rapporteur de l'avis remis en 2003 à madame Claudie Haigneré, ministre déléguée à la recherche et aux nouvelles technologies, sur la fuite des cerveaux. D'autre part, elle contribue à la rédaction d'une communication de la commission Technologie de l'information et de la communication intitulée Maîtr
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