Le film du jour nous déplait. Au lieu de sortir de la salle bien gentiment, on fonce dans l’écran, tête baissée, sans penser que derrière la toile se dresse un mur. Plus d’une fois on s’est cassé la gueule pour ensuite se relever, un peu sonnés mais jamais plus sages.
« Ce qui tue, c’est de ne pas être capable de se rouler dans la boue du quotidien pour ensuite se laisser sécher sur une roche, arracher les croûtes et sentir le vent nouveau sur sa peau.