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Critiques de Dean Ormston (39)
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Les cannibales

LES CANNIBALES



de @Peter Milligan et Dean Ormston



58 pages / 8 décembre 99

Éditions du Masque



Bienvenue chez lez Quill, famille américaine modèle.

Du moins est-ce l'avis de la plupart de leur visiteurs.



Une fable gore et fantastique qui prône sa morale, croyez en un avenir végétarien !

Lecture qui m'a d'ailleurs conforté d'être dans ce mode de vie alimentaire.



Une bande dessinée bien sympathique, appuyant sur la condition humaine, là où ça fait mal, mais toujours avec le sourire.



Les dessins de Dean Ormston sont d'un bon niveau descriptif sans que cela ne verse dans le gore photographique.



Une belle farce macabre à découvrir !



Merci à mon grand frère de cœur.
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Black Hammer, tome 4 : Le meilleur des mondes

Ce quatrième tome démarre sur une mise en abyme vertigineuse, un délire complètement déjanté, du genre on efface tout on recommence ! Évidemment, le lecteur risque de se sentir pris pour un pigeon, tu as déjà lu trois tomes, et il ne s’est encore rien passé de réellement substantiel, ce n’était qu’une mise en bouche, mais me concernant, je suis preneur, j’aime me faire mener en bateau. Alors ce quatrième tome est sacrément emberlificoté. La santé mentale des personnages touche le fond, mais pas sûr que celle de l’auteur aille mieux, et c’est peut-être contagieux, gare à toi, lecteur ! Bref, j’aime la façon de Jeff Lemire de triturer le mythe des super héros, de jouer avec leur perception par les lecteurs. Avec ses dessinateurs, il nous propose tout un éventail d’univers, jouant sur les clichés en tout genre, empruntant à toutes les modes. L’attrait est plus dans les multiples directions que prend le scénario, dans les différentes tergiversations que dans l’espoir de voir les héros s’en sortir. Cette série pourrait se décliner à l’infini, c’est aussi une parodie des séries qui ne se terminent jamais. Black Hammer est à la fois hommage et satire des séries de superhéros, moi qui ne suis pas fan de ce genre, ici, j’y trouve beaucoup de plaisir.
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Black Hammer, tome 2 : L'incident

Encore une série de Super héros, avec de l'héroïsme, des doutes, de la psychologie, j’avoue que ça ne m’emballe pas, mais ici, derrière tout cela, il y a une ironie mordante et ça change tout. Lu au premier degré, c’est archi-nul, mais au second degré, c’est génialissime, un équilibre entre adoration et moquerie.



On passe d’un brin de nostalgie autour de la bande dessinée des années 50, utilisant les couleurs acides, les trames grossières, répliques manichéennes, aux problématiques actuelles comme l’inclusion, cela donne un mélange assez jouissif, un bordel où l’ironie se balade d’un thème à l’autre, forçant les dérapages en tous genres, là où on ne les attends pas forcément. Le graphisme se réfère alors aux années 90 où la volonté d’intégrer de la psychologie dans les récits a été mise en avant, et ça aussi, c’est traité avec une certaine ironie. Sur l’inclusion justement, l’aspect manichéen où l’on voudrait que le bien finisse par triompher du mal, ici, le superhéros homosexuel se prend un monumental râteau. Les problèmes amoureux de nos héros sont risibles, loin de tout héroïsme romantique, tous ces super héros sont de pitoyables humains, normal, ils n’en sont pas vraiment.



Tout en vouant une adoration sans faille à cet univers, Jeff Lemire saccage le mythe du super héros avec des chemins de traverses qu’il nous faut parvenir à suivre, l’ironie va même se cacher dans les noms des héros, avec une scène hilarante de la rencontre entre Talkie-Walkie et le Colonel Weird. J’adore cette série, donc à suivre.
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Ils ont été des héros dans un autre temps, cette bande dessinée présente la confrontation de l’univers des super-héros des années 50, années d’après guerre encore bercée de patriotisme, de nationalisme, de notions d’honneur, de courage, face à la désillusion actuelle. Au lieu de flashbacks, les auteurs ont eu la géniale idée de présenter le passé sous forme de vieux comics ou de faux journaux, cela accentue la différence de perception. Ils vivent désormais retirés dans une ferme perdue d’un village rural des Etats-Unis, loin de l’effervescence citadine, une retraite forcée, et doivent faire illusion, passer pour des gens normaux. J’ai eu peur, au départ de ma lecture, de tomber encore sur une pseudo-psychanalyse du super-héros, dérive actuelle de cet univers qui me gonfle totalement. Jeff Lemire parvient à être bien plus subtil que cela, proposant une réflexion sur la différence, avec d’un autre côté, tout une histoire autour du destin, de cette notion d’héroïsme, c’est juste une histoire de relation, de famille recomposée, c’est bourré de tergiversations, de décalages, ça devient complètement fou, totalement schizophrène, et ça, ça me plait vraiment. C’est le Comics américain classique mais après le mot “fin”. Ils furent heureux et eurent beaucoup d’enfants, non, c’est bien moins idyllique. Ils cultivent des légumes, conduisent un pick-up alors qu’ils pourraient voler, et s’engueulent à longueur de journée…

Le graphisme s’accorde au style des époques où se déroulent les scènes, rétro pour les années 50, plus sombre et agressif pour les années 80. Je n’aime pas trop la colorisation faite de dégradés brunâtres, un défaut assez récurrent dans la bande dessinée américaine selon mes goûts. Mais le fait de dater le graphisme influe aussi sur notre lecture.

J’ai aimé cet aspect iconoclaste, on se moque des gentils, on les trouve quand même touchants, on se moque du concept de super-héros, mais ça reste pour autant une histoire de super-héros. Jeffe Lemire est un excellent jongleur.

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Black Hammer, tome 2 : L'incident

« Black hammer, tome 2, l'incident » appartient à la catégorie des comics « adultes » dans la lignée des « Watchmen » la puissance historico-narrative en moins.



L'idée de placer des super héros déchus en plein marasme dans une petite ville américaine est certes intéressante mais ne peut faire oublier le scénario de base simpliste (Anti-Dieu contre Starlock dans le monde fictif de Spiral city) et certaines digressions passéistes sans intérêt.



Quand en plus, on trouve le graphisme Ormston plutot sinistre, on se dit que « Black hammer » ne correspond pas finalement à la vision la plus excitante qui soit des comic books !
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Une déclaration d'amour aux comics !

Jeff Lemire a su rendre hommages aux grandes figures et stéréotypes du comics americain, étant fan de DC cela m'a fait du bien d'avoir une relecture des codes avec une vision indé.

l'ambiance est magistralement pesante, des mises en scènes excellentes (je pense surtout à certaines pages concernant le colonel Weird qui m'ont scotché) !

J'aime cette petite ferme dans une Amérique profonde, avec en fond des personnages torturés introduits par des flashbacks qui ne coupent pas le rythme.

Je vais me jeter sur la suite ! (surtout après ce gros plot twist ...)
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Black Hammer, tome 4 : Le meilleur des mondes

Fin du premier cycle de Black Hammer avec ce tome 4 qui comprend plusieurs épisodes, un Annual, des récits complémentaires, une petite encyclopédie de ce qui devient un univers assez large. J'ai déjà chroniqué plusieurs tomes sur mon ancien blog comics, ici je suis un peu déçu par le fait que cela part parfois dans un délire auquel je n'adhère pas, et quelques facilités scénaristiques de Jeff Lemire font que le retour à un statu quo n'est guère enthousiasmant.
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Quel beau premier plat ! J'achète.

Le colosse, sur la couverture, est un parmi les nombreux monstres, semblables à des dieux antiques en malveillants et auxquels se confrontent des justiciers, lors de flashbacks un peu pauvres : ce sont des ennemis simples et faciles d'aspect et de genèse, voire grotesque (une pieuvre géante, ...)

Mais ce qui manque là, l'auteur le compense ici, dans la réunion de ces supers-héros atypiques dans une même demeure ; déclassés et fortement bridés par une réclusion forcée. Si Charles fait se rencontrer les x-mens dans son manoir au début de leur aventure, ici, ce serait plus la retraite.

Cette histoire attachante nous parle de la tolérance à travers les liens de famille, amoureux, amicaux ; par des destins croisés ou capricieux et au sein d'univers parallèles... bien qu'elle ait pour théâtre principal la terre - et plus précisément les states.

Tiens, une sorcière. Tiens, un ent ! Tiens, un pacte faustien...

Il faut croire que l'auteur s'abreuve à de nombreuses références / influences.

(Fantastique)



☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆



"Je voulais que Black Hammer, plutôt que de se fondre dans la masse des titres de super-héros, s'en détache pour mieux les commenter et les critiquer."

- Jeff Lemire, Postface
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Black Hammer, tome 2 : L'incident

Second volume toujours aussi excellent de nos héros retenus dans cette ville perdue. L’histoire continue sur ce même rythme plutôt lent, tous en nous faisant avancer révélation sur révélation. En somme, tout cela se résume en trois mots : Vivement la suite !
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Ce comics est une vraie belle découverte, qui tient aussi bien la route graphiquement que scénaristiquement. Ça fait longtemps que je n’ai pas été autant saisi par une histoire de super héros ! Que le lecteur avide d’action passe son chemin, car voilà un récit intelligent, et qui réserve de beaux retournements de situation.



L’histoire narre le quotidien d’anciens super héros à la retraite forcée, provenant chacun d’univers très différents, et mystérieusement prisonniers depuis une dizaine d’années dans un village isolé, qui tentent désespérément d’y vivre le reste de leur existence « en famille ».

Très inspirée des personnages de l’âge d’or des comics et du cinéma, cette histoire rend hommage aux héros de la grande époque tout en portant des réflexions intelligentes sur des thématiques fortes qui nous concernent tous comme l’identité, la jeunesse, la vieillesse, l'amour, la sexualité, le passé, la famille…

Un seul bémol : ce volume est un poil trop court, et se termine sur un cliffanger particulièrement frustrant ; mais se rattrape avec des suppléments pour les plus passionnés.
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Black Hammer, tome 4 : Le meilleur des mondes

Dean Ormston fait de l'excellent travail. Black Hammer lui permet de laisser éclater son talent, avec pas mal de surprises. D'autres artistes aux styles souvent incongrus et surprenant s'occupent aussi de quelques histoires. Leur vision graphique rajoutent un plus à cette série.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Après la science-fiction de Descender, Jeff Lemire nous régale avec ce premier tome Black Hammer, superbement servi par le trait de Dean Ormston, ode au super héros, avec un petit ou un grand H, qu’il soit sauveur du monde ou du quotidien. La collection compte 4 tomes et 3 spin-off à ce jour, dont vous trouverez prochainement les chroniques dans ces lignes.




Lien : https://unecaseenplus.fr/bla..
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Judge Dredd : Heavy Metal Dredd

Comme le dit la première histoire (une chanson façon comédie musicale des années 50), le Judge Dredd est un authentique héros de rock'n'roll. Enquêteur, juge et bourreau, il écume méga-city pour lutter contre le crime sous toutes ses formes.Et effectivement, le crime dans Mega-City prend des formes assez ... curieuses que je ne détaillerai pas ici (je vous en laisse le plaisir délicat - comme avec le grand Arsoli).Bon, l'humour n'est pas forcément fin, mais je trouve à cette société où le pouvoir policier devient clairement fasciste certains accents de vérité contemporaine qui font froid dans le dos, et ajoutent beaucoup d'intérêt à la lecture.

9782877647168"
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Jeff LEMIRE a vraiment une imagination incroyable. Je découvre le monde de Black Hammer, et tout de suite le dessin me plait. Les premières pages nous mènent dans une ferme isolée américaine tout à fait normale en apparence. Et puis quand le fermier ouvre la porte de sa cuisine, là c'est le choc, nous découvrons sa famille d'êtres surnaturels...

Ce premier tome détaille les origines de chacun mais sans tout révéler. La réussite tient dans le mixage de comics type années 50 avec des martiens, sorcières, de super-héros et aussi avec l'ajout de personnages plus complexes du genre "interstellar", naviguant dans plusieurs dimensions.
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Black Hammer, tome 2 : L'incident

Approche originale du monde du comic bourré de références
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Jolie surprise avec pas mal de référence aux univers marvel et DC. Le tout avec une approche plus intimiste.
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Black Hammer, tome 2 : L'incident

Bon bin j'ai enchaîné avec le deux vu que je l'ai (sinon pas sûre)... Donc Black Hammer T02 l'incident.. Ou le comic qui en effet te fait bien toutes la chronologie hommage comics, comme dans celui d'avant.. et que y a peine de mieux... à peine.



Oui dans celui-là, les héros proposés, les souvenir d'avant ( mode ancien combattant c'était mieux avant) et bien là on est clairement le côté 80 /90.. le tome 1 c'était plus la période d'avant (enfin je me plante peut-être je suis pas experte non plus). ça se voit bien, mais je vais dire tant mieux vu que c'est le but des auteurs (enfin j'espère). Donc à ce niveau-là bin oui ça marche. Je vois bien que ça marche, mais je m'en fous toujours autant..

Là en plus on met une couche (petite la couche) de problème sociétale comme Marvel savait ( sait?) si bien le faire.. Heu donc toujours les même problèmes, folie, homosexualité non accepté, ostracisation et j'en passe...



Niveau dessins ça se tient toujours, y a des sacrées planches, y a des belles couleurs, mais pour moi un dessin aussi classe, beau soit-il, si il ne reflète rien, un beau dessin ne sauve pas les meubles d'une histoire vide.. Et pour moi l'histoire est plutôt vide, les personnages aussi, donc...



Rien de bien nouveau sous le soleil, alors si... y a elle.. elle qui est l'hommage à toutes les sorcières et sorciers, à tous les comics dit horrifique (genre contes de la crypte), Elle Miss Dragonfly... heureusement qu'ils nous ont pas fait les traduction de nom (comme ça peut arriver parfois, ou dans les manga) parce que bonjour le ridicule (Mademoiselle libellule au secours!!), alors que c'est la seule qui n'est pas ridicule ( peut-être d'ailleurs parce que elle vit pas avec eux.. et qu'elle semble plutôt les éviter) mais c'est dingue comment elle leur sauve le cul plein de fois...



Y a une nouvelle, pas une super héroine elle, la jeune femme intelligente, et réfléchi journaliste et noire (combo on contente tout le monde, ne froissons personne) Et par qui finalement la vérité va enfin arriver.. avec le point levé "genre j'ai tout compris bande de moule!".. eux ça fait 10 ans qu'ils rament, elle aux bout de trois jours emballé c'est pesé.. ça rends les autres personnages vraiment cons, et pi stupide un peu.. en plus là au niveau posture j'ai eu une Phoenix ou une Tornade qui est venue me faire coucou... hommage on t'a dit!... ah oui c'est vrai...

donc le pourquoi du comment, la vérité....

Mais ça ça sera pour le tome trois..

et ça ça sera sans moi... ou juste si il traîne chez un pote.



J'ai même pensé à revendre les miens.. mais je crois que je vais froisser mon chéri, vu que c'est lui qui me les a offerts...
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

Black Hammer T01 Origines secrètes... Ou le comics où tout tes potes fans de comics bin ils ont adorés.. et que toi quand tu lis bin franchement tu te fais chier... mais grave.



Alors passer du Sandman de Gaiman à Black Hammer sur deux jours n'était peut-être pas une bonne idée... Non, même je pense que c'était carrément une idée pourrie... Parce que autant je trouve le Sandman génial et jubilatoire, autant là mais j'en avais carrément rien à taper de rien, ni de personne... les personnages pourraient tous mourir dans le prochain que ça ne me ferait pas rater un battement cardiaque.. c'est dire !



Faudrait un coup de pitch...

Tu crois?.. c'est un peu mal barré là quand même...

Oui vraiment mal barré, mais bon tachons...



Dans un bled paumé, même pas sûre qu'il ai un nom (ou je l'ai pas retenu) se trouve la ferme Black Hammer. La ferme de base comme on imagine dans une Amérique rurale et profonde. Là vivent une bande de " super héros" ( je met des guillemets pasque y a un peu tout.. une sorte de mixe..), et pi voilà... ils sont coincés là, et de temps en temps ils se souviennent de leur gloire passée, et de leur hauts fait d'armes.



Hum ça donne carrément pas envie..

Je sais..

Bon y a des trucs qui se passent, mais je vais pas les raconter, déjà qu'il ne se passe pas grand chose alors si je spoile le peu qu'il y a, ça serait moche.



Bon alors il est clair que ce comic est un hommage à tous les comics depuis toujours, et surtout les premiers... que ce soit au niveau dessin, costume, et héros ( tout y passent, le super, l'alien, la sorcière, le robot, le savant etc etc.. n'en jetez plus..)

une multitude de cliché tous les plus éculés, les méchants pas bo.. les gentils très gentils... pfff...

ça se veut drôle, j'ai pas rit ni même souri.



Nan juste du comics hommage, qui vomit tout ce qui a été fait en comics depuis oh.... que ça existe... et c'est pas peu dire..

Ce n'est donc jamais (pour moi) surprenant, ni jubilatoire, parce que ça se voit tellement, que le côté paf! aucune subtilité de rien...

je lisais le truc et je pensais à superman, à Thor et Hasgard, au conte de la crypte, à tous les supers... tout le temps, j'en suis même arrivé a me dire à un moment et si j’arrêtais pour me ressortir de vieux Marvel... oh moins là je sais pourquoi c'est du oldies...



Après niveau dessin, y a des planches qui envoient du pâté et qui sont jolies à l'oeil...et même plus que ça... Et jusque dans le dessin, dans les poses, dans les couleurs c'est hommage... Même moi j'ai remarqué ( alors que bon je suis pas ze experte dans le comics, et pas du tout niveau DC en plus...).



Mais vu que je n'ai réussi à créer aucune empathie pour personne (ni dans un sens, ni dans l'autre), et donc que leurs problèmes existentiels, mais je m'en fous grave...



Nan un comic hommage, pour les gros fans.. je ne suis peut-être pas assez fan, ou pas assez pointue pour trouver ça bien... ou peut-être juste que les hommages comme ça c'est pas mon truc.. parce que là, pour moi c'est plus de l'hommage mais du gros pompage hop décontrasté...





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Black Hammer, tome 2 : L'incident

Ce deuxième tome est tout aussi bon que le premier que ce soit au niveau de l'écriture comme du dessin. On en apprend plus sur l'origine des personnages et l'intrigue devient plus intense. Ce second volet montre aussi l'amour de Jeff Lemire envers les super héros. J'espère fortement que le troisième volume sera au rendez vous.
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Black Hammer, tome 1 : Origines secrètes

#CycleUrbanComics #N4 : "Black Hammer Tome 1" de Jeff Lemire et Dean Ormston cher @UrbanComics



Synopsis :



"Arrachés à leur univers de super-héros par une crise multidimensionnelle, les champions oubliés de Spiral City vivent désormais telle une famille dysfonctionnelle, prisonniers du quotidien paisible d'une petite bourgade américaine."



Une équipe de Super Héros perdue dans le Multivers à cause d'une crise dimensionnelle, voilà ce que nous raconte messieurs Lemire et Ormston dans cet opus, en ce jour de "post-Halloween". Et c'est du bon, même du très bon ce que vous pouvez retrouver dans ce "Black Hammer T.1".



Disparus de Spiral City depuis bientôt dix ans, après leur combat contre l'Anti-Dieu, nos héros se retrouvent coincés, contre leur gré, dans le quotidien d'une famille un peu spéciale dans un trou pommé des Etats-Unis et cette situation devient de plus en plus compliquée pour tous ces naufragés. En effet, Gail aka Golden Gail, qui a 50 ans au passage, boit et fume plus que de raison, se retrouve coincée dans le corps d'une fillette de 9 ans, forme qui lui confère ses pouvoirs surhumains au passage, et se voit donc obligée de retourner à l'école. Chose qui va se révéler être un problème épineux pour Abe aka Abraham Slam le bagarreur originel, grand-père de substitution, car il va devoir gérer le Shérif et la CPE. Bah oui, trouver une petite-fille de 9 ans fumant aux toilettes cela n'a rien d'une situation normale. Galère, galère donc pour rester incognito. Abe, en revanche, s'acclimate plutôt bien à cette situation, car il a trouvé la paix dans son rôle de fermier et s'est déniché une petite amie. Petite amie qui est l'ex-femme du Shérif, donc nouveau problème en vue, car ce fameux Shérif est loin d'être une lumière et surtout un sacré emmerdeur. Il y a également Talkie Walkie, robot ingénieur qui essaye par tous les moyens de trouver une solution afin de rentrer "à la maison". il en est à son 9ème essai et c'est loin d'être une sinécure, surtout pour Barbelien. En effet, il sert de transporteur aux constructions de Mr Robot et cela commence légèrement à le soûler. Barbelien, Martien polymorphe venu espionner la Terre afin de savoir si oui ou non les Terriens devaient être éradiqués ou non par mesure de prévention, commence à ne plus supporter sa solitude. D'où son mauvais caractère qui fait qu'il est proche de Gail. Parlons également du Colonel Weird, militaire Américain, partit explorer l'Univers avec Mr Robot, se retrouve coincé entre deux mondes : notre réalité et le para-monde. Situation compliquée, car il n'a pas d'existence propre à aucun des deux mondes et n'arrête pas d’apparaître et de disparaître à volonté au gré des marées si je puis dire. Enfin, dernier focus sur le personnage le plus mystérieux de ce #comics, j'ai nommé Madame Dragonfly, sorcière de son état ne pouvant pas saquer ses petits camarades d'aventures, sert de temps en temps de narrateur à l'histoire et lève le voile sur ses origines. Personnage mystérieux, car elle a l'air d'en savoir beaucoup plus sur leur situation qu'elle ne veut bien le dire.

 

Qu'est-ce que j'en pense de ce tome ? : 



Beaucoup de bien, car l'histoire est bien amenée, même si le rythme est lent, les dessins sont de toute beauté et la colorisation est juste magnifique et fait penser aux #comics des années 80. L'intrigue est topissime car on a qu'une envie de savoir pourquoi ces héros ont été catapultés, surtout comment, dans une autre dimension et savoir comment ils vont réussir à s'en sortir. Petit détail que j'allais oublier, ils sont coincés, corps et biens, dans la ville où ils ont atterri et ne peuvent s'en échapper. Eh, oui, Abe explique justement le pourquoi de cette situation mais, je vous laisse découvrir ce passage par vous-même. Cela rajoute donc du piment à l'histoire et c'est tant mieux. Vous découvrirez également, la signification du titre de cet opus. Eh oui pour "Black Hammer", à quoi cela correspond-il ? A vous de trouver et de découvrir les réponses. En conclusion, histoire + intrigue + dessins + colorisation = #comics TOP, malgré certaines lenteurs qui gâchent un peu le rendu final.



Note : 13/20.



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