Citations de Derek Landy (38)
-Haut les cœurs ! Lança-t-il en retrouvant un ton joyeux. Puisque nous allons tous mourir de manière atroce, quoi qu'il arrive, à quoi bon nous inquiéter ?
"La seule richesse qui a de la valeur, c'est d'être honnête avec soi-même, et le seul objectif qui mérite d'être poursuivi, c'est de découvrir qui on est véritablement."
" La douleur, ça permet de savoir qu'on est vivant, finalement."
-Je prendrai un whisky.
-Tu auras un thé comme tout le monde.
- Moi, dit-il, je peux me permettre de ne pas avoir d'amis. Je suis vieux, grognon et j'ai décidé, il y a longtemps, que les gens constituaient un désagrément dont je me passais très bien.
Elle était trempée, elle grelottait de froid, ses mains lacérées l'élançaient, elle avait de la vase et de la chair de cadavre sous les ongles, et il fallait absolument qu'elle se lave les cheveux, dès que ce serait humainement possible.
Un homme n'existe qu'à travers l'effet qu'il a sur son environnement
Quelqu'un tire les ficelles dans l'ombre, en prenant grand soin d'éviter les projecteurs.
C'était bon de se retrouver en famille. Cela m'a rappelé qu'ils ne me manquaient pas du tout.
C'est... horrible. Ces gens sont-ils réellement en train de danser? Affreux.
- L'important, dit-il, c'est que je puisse porter cette chemise de nuit tout en conservant ma dignité.
- Exactement.
-Tu peux arrêter de sourire, s'il te plaît?
-J'essaye, je vous le jure.
-Comment peux-tu demander à ta fille d'être responsable, alors que tu lui montres le mauvais exemple?
- Je ne sais pas. Je compte sur la chance.
-Ta place est au fond d'une cellule.
Il s'esclaffa.
-Moi? Derrière les barreaux? Pour quel crime, je te prie?
-À part le meurtre, tu veux dire?
Il tourna la tête, de façon à l'observer du coin de l'oeil.
-Dois-je comprendre que c'est toujours illégal?
-Oui.
Je dédie ce livre à ma famille... Sinon, je n'ai pas fini d'en entendre parler.
Sans toi, le monde sera un peu moins étrange, je veux que tu le saches.
-Vous auriez pu passer par la porte.
-Je laisse ça aux gens sans imagination.
-Non maman, je... je lis le dictionnaire.
Même le bref silence à l'autre bout de la ligne semblait sceptique.
-Le dictionnaire? Vraiment?
-Oui, dit Stéphanie. tu connaissais le mot "giration"?
-Tu veux que je te dise? Tu es encore plus bizarre que ton père.
Il y avait dans le salon une porte déguisée en bibliothèque.
Skully vint se placer devant lui. Les deux amis se regardèrent.
- Tanith m'a dit que j'étais resté inconscient un peu plus de deux ans.
- Exact.
- C'est long
- Oui
- Pas aussi long que ça aurait pu l'être, mais c'est long quand même. Tu ne...tu ne vas pas me prendre dans tes bras, hein?
Skully réfléchit un instant.
- Non je ne crois pas.
Petite, tu ne sais rien de la guerre. Tu crois que c'est un truc énorme et bruyant, la lutte du bien contre le mal. Faux. La guerre est une chose délicate qui nécessite de la précision. Un parfait timing.