Citations de Ebine Yamaji (26)
On ne peut effacer le passé, mais l'horizon se dégage... pour peu que l'on soit décidé à faire un pas en avant.
J'ai vu Dieu. Elle est noire, communiste et lesbienne.
- Ce qui m'attire chez toi, ce n'est pas ton air masculin... c'est la fille qui est en toi, tellement séduisante !
- Venant de toi , ça ne me fait ni chaud ni froid... dire que ces paroles pourraient venir d'un garçon...
- La plus indélicate des deux, ce n'est pas celle que tu penses.
- Hein ?
- C'est toujours dur de voir qu'on est rien pour la personne qu'on aime... c'est ton cas et c'est le mien. Nous souffrons autant l'une que l'autre...
- Je te demande pardon, je n'ai pensé qu'à moi.
- Tu sais Ichiko, je suis sûr d'une chose, en tout cas.
- Quoi ?
- Si je suis ce que je suis, ce n'est pas dû au père que j'ai. C'est la faut à personne, il n'y a pas de cause. Je suis moi. Et c'est comme ça. Je suis le produit de ma sensibilité, voilà.
« Baby, tu l'as à ce point dans la peau ? Mais tu sais que je t'aime tellement plus... » ♫
- J'en ai les larmes aux yeux rien que d'entendre ça. On sent bien la fille qui console son amie... Mais en même temps est incapable de réprimer son propre amour pour elle.
« Mon bras doucement passe sur ton épaule secouée par les larmes... Oh, baby... J'ai tant envie de toi... » ♪
- Hé, Angie. T'as renoncé à aimer ?
- Hein ? La bonne blague !
Mais tu sais, Eddie... C'est dans la solitude que les chansons naissent. J'ai besoin d'être en pleine solitude pour me sentir libérée de tout.
- Je vois, maintenant...
- Quoi ?
- Pourquoi tu as toujours le parfum de la liberté...
Ne deviens pas quelqu'un de prévisible. Réjouis-toi de ne pas être comme les autres. Les êtres supérieurs sont ceux qui ont un grain de folie.
L'être humain est bien complexe... Celui qu'on aime n'est pas nécessairement celui qui parvient à vous affranchir.
Elle... Quel plaisir de penser aux instants que demain encore je passerai avec elle.
Jamais de promesse de se revoir. "A la prochaine", dit-elle simplement. Et moi de répéter... "à la prochaine", simplement. Et toutes mes questions, je les abandonne à la nuit.
- J’étais comme prisonnière de l’idée qu’une fille normale… doit aimer un garçon...
- Au fait, en quoi les hommes te rebutent-ils ?
- Quand un homme m'aime, j'ai toujours l'impression qu'il m'enveloppe totalement. Même si cela n'a rien de désagréable... je ne me sens pas à mon aise. Personne ne peut rien y faire. C'est comme ça que je le ressens, c'est tout.
That's good. So good. I want nothing except that you are here.
La peau d'Eri sent si bon, j'en suis émue jusqu'aux larmes... c'est ma sensibilité à moi.
-C'est pas une vie de trembler en permanence.
-Notre seul crime est d'aimer quelqu'un... Nous ne faisons que nous aimer.
-Je ne tiens pas à rester cachée indéfiniment dans le placard. Tu me comprends Eri ?
-Se déclarer n'est pas forcément facile tu sais...
-Oui, j'imagine qu'on doit y perdre beaucoup de choses précieuses... Et que la vie devient plus difficile.
Si Eri avait été un garçon... je serais sûrement tombée amoureuse de lui.
Nous aurions dû parler de cela. De nos familles, de nos rêves d'avenir, de nos airs favoris, des livres lus, des plats que nous n'aimons pas, de tout ça... comme de vraies amies.
Bye bye, Niki...
Sayonara, mon amour...
incompris...
- Une lame de rasoir.
- Oui j'ai perdu mon cutter.
- Je peux te couper ?
- Vas-y.
- Lèche-le. C'est comment ? Hein ?
- Fade. Il est pourri. Et le tien ? Hein ? Le lobe de l'oreille ça fait pas mal.
- Le tien est pareil.
(PAF)
- Ta langue est bizarre.
- Oui ça se pourrait.
- Je m'en vais.
- Oui
J'étais homosexuel et j'avais besoin d'un petit ami... Mais j'aimais ta mère. On m'arracherait la langue, on me jetterait au milieu des flammes... Que je le dirais encore.
Je ne sais pas où sont la vérité et le mensonge. La question est donc simplement.. D'y croire ou pas.