Citations de Ebine Yamaji (26)
J'étais homosexuel et j'avais besoin d'un petit ami... Mais j'aimais ta mère. On m'arracherait la langue, on me jetterait au milieu des flammes... Que je le dirais encore.
Je ne sais pas où sont la vérité et le mensonge. La question est donc simplement.. D'y croire ou pas.
Les garçons n’y sont pour rien. Seulement, chaque fois que je suis avec un garçon, je ne me supporte pas car je ne suis pas moi-même.
J'ai vu Dieu. Elle est noire, communiste et lesbienne.
Aurait-il enfin...entendu...mon cri ? Mon appel au secours ?
- C'est drôle, je trouve. Dire que je suis ici avec l'écrivaine Rutsu Nakagawa. Moi qui n'étais qu'une banale lectrice...
- J'y vois le signe du destin.
- Du destin ?
- Le jour de notre rencontre, tu as parlé de mon livre et de "Y", ton nom commence par cette lettre. Tu aimes les femmes...
- Pfffh tu m'excuseras mais toutes mes ex... Ont au moins prononcé une fois ce mot, sans exception.
- Non ?!
- Décidément, vous aimez bien ce mot, "destin" !
That's good. So good. I want nothing except that you are here.
La peau d'Eri sent si bon, j'en suis émue jusqu'aux larmes... c'est ma sensibilité à moi.
-C'est pas une vie de trembler en permanence.
-Notre seul crime est d'aimer quelqu'un... Nous ne faisons que nous aimer.
-Je ne tiens pas à rester cachée indéfiniment dans le placard. Tu me comprends Eri ?
-Se déclarer n'est pas forcément facile tu sais...
-Oui, j'imagine qu'on doit y perdre beaucoup de choses précieuses... Et que la vie devient plus difficile.
L'être humain est bien complexe... Celui qu'on aime n'est pas nécessairement celui qui parvient à vous affranchir.
Si Eri avait été un garçon... je serais sûrement tombée amoureuse de lui.
« Baby, tu l'as à ce point dans la peau ? Mais tu sais que je t'aime tellement plus... » ♫
- J'en ai les larmes aux yeux rien que d'entendre ça. On sent bien la fille qui console son amie... Mais en même temps est incapable de réprimer son propre amour pour elle.
« Mon bras doucement passe sur ton épaule secouée par les larmes... Oh, baby... J'ai tant envie de toi... » ♪
- Hé, Angie. T'as renoncé à aimer ?
- Hein ? La bonne blague !
Mais tu sais, Eddie... C'est dans la solitude que les chansons naissent. J'ai besoin d'être en pleine solitude pour me sentir libérée de tout.
- Je vois, maintenant...
- Quoi ?
- Pourquoi tu as toujours le parfum de la liberté...
Nous aurions dû parler de cela. De nos familles, de nos rêves d'avenir, de nos airs favoris, des livres lus, des plats que nous n'aimons pas, de tout ça... comme de vraies amies.
Bye bye, Niki...
Sayonara, mon amour...
incompris...
Elle... Quel plaisir de penser aux instants que demain encore je passerai avec elle.
Jamais de promesse de se revoir. "A la prochaine", dit-elle simplement. Et moi de répéter... "à la prochaine", simplement. Et toutes mes questions, je les abandonne à la nuit.
Angie... La solitude t'est indifférente. Être solitaire, c'est être libre. Ta voix de basse sexy chante ce genre de choses.
Je suis lesbienne, j'aime Niki. Ça m'est égal que maman ne cherche pas à me comprendre.
Ne deviens pas quelqu'un de prévisible. Réjouis-toi de ne pas être comme les autres. Les êtres supérieurs sont ceux qui ont un grain de folie.
On ne peut effacer le passé, mais l'horizon se dégage... pour peu que l'on soit décidé à faire un pas en avant.