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Critiques de Florence Meney (61)
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Comme chiens et chats

Comme c'est toujours le cas pour les recueils de nouvelles littéraires, l’œuvre est très inégale. Les amateurs d'animaux vont sûrement apprécié les thèmes et reconnaître certains traits ou comportements chez les personnages. Toutefois, là s'arrête l'intérêt. Les histoires ne sont pas particulièrement touchantes ni drôles ni marquantes. J'ai trouvé certaines inutilement vulgaires.
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Crimes à la librairie

Nouvelles



16 nouvelles. 16 écrivain(es) québécois. 16 crimes dans 16 librairies différentes. Ce recueil, publié en 2014, a été conçu par Richard Migneault qui voulait faire connaître le polars écrit au Québec. Il a donc demandé à plusieurs auteur(es) de nous écrire une nouvelle sur un crime, dans leur style propre à eux, qui se déroule dans une librairie.



Je suis québécoise. Je lis énormément et je me laisse tenter plusieurs fois par année par un roman, des nouvelles, de mes concitoyens. Mais ce recueil m’a fait découvrir des auteur(es) qui m'était complètement inconnu(es). Je vais donc m’empresser d'ajouter à ma Pile À Lire quelques livres de ces auteur(es). À vous de les découvrir maintenant …

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L'encre mauve

J'ai apprécié

L'actualité au service de la narration (faits divers liés aux années 2000-2012)

L'intrigue se déroule ici même, au Québec:

Montréal, Laval, North Hatley, etc. Le lecteur se sent en terrain connu, se sent interpellé.

Récit original et qui gagne en intensité dans les derniers chapitres.

Dialogues vivants, conférant une certaine dose de vraisemblance à tout ce qui se passe.



J'ai moins apprécié

L'auteure écrit bien, mais le style d'écriture est un peu trop cliché, en ce sens que je devine parfois un peu trop les expressions, les tournures syntaxiques alors que j' aime bien parfois l'unicité dans le discours. Ce n'était pas le cas ici...
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Crimes au musée

Des auteures francophones ont planché sur le thème "Crimes au musée". Comme souvent dans ce genre d'ouvrage, les nouvelles sont de qualité inégale. Cela m'a tout de même permis de découvrir des auteures que je ne connaissais pas. J'avais entendu parler de Danièle Thiéry mais je n'avais encore rien lu d'elle. C'est chose faite avec la nouvelle publiée dans ce volume et cela m'a donné envie de lire ses livres.

Parmi toutes ces nouvelles, la plus étrange est celle de Nathalie Hug, la plus originale est celle d'Ingrid Desjours. Vient ensuite celle de Stéphanie de Mecquenem qui est dans le style des enquêtes d'Agatha Chrisite et enfin celle de Claire Cook que j'ai trouvée réellement passionnante bien que je sois un peu restée sur ma faim.

En résumé, des histoires qui se laissent lire.

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La dernière promenade

Documentaire, Guide, Deuil animalier



Le 24 février dernier, notre famille a dû prendre une décision très difficile. Houdini, notre compagnon de 15 ans, souffrait beaucoup. Il était à sa 3ème pancréatite et maintenant il ne buvait ni ne mangeait … après beaucoup de pleurs et de consultation avec le vétérinaire, nous avons pris la décision de faire euthanasier notre fidèle ami. Mon conjoint, afin de m’aider à faire le deuil de mon chien, m’a offert ce livre.



Pleurer son animal de compagnie n’est pas toujours bien vu ou bien compris … ce livre nous donne des pistes, des témoignages afin de nous aider à passer ce moment difficile.

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Crimes à la librairie

« Crimes à la librairie » est une belle découverte! Un recueil de nouvelles, écrites par 16 auteurs québécois, mettant en vedette une librairie. D’excellentes histoires qui m’ont permis de découvrir des auteurs que je ne connaissais pas, et d’apprécier les œuvres d’auteurs que j’apprécie.



Une belle découverte! Je vais me procurer les autres livres de cette série!
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Rivages hostiles

Oups! J’ai oubliée d’écrire ma critique à la fin de ma lecture et maintenant j’avoue ne pas avoir de souvenir précis à propos de Rivages hostiles. Alanna, une jeune américaine en rébellion, souhaite changer d’air et se retrouve à jouer la fille au pair à Montréal. Comme la vie de journaliste l’intéresse également, elle se trouve aussi un stage dans un journal. Les deux postes deviendront bientôt un calvaire à mener de front pour la jeune fille quand un suicide au allure louche éclabousse la famille pour laquelle elle travaille.

Ce roman a longuement trôné dans la bibliothèque familiale sans que j’ai vraiment envie de le lire. Mais le livre est plutôt bien écrit et je me suis lancée dans ce roman sans trop de problème. Ce n’est pas un grand roman mais il se tient suffisamment pour que je n’ai pas perdue patience en cours de route. Mais rien qui me donneras le goût de lire autre chose de la même auteure.
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Crimes au musée

Richard Migneault récidive, mieux il persiste et signe là son troisième forfait ! Et ce n’est pas moi qui m’en plaindrais !

Directeur d'école à la retraite, fou de lecture depuis toujours, Richard Migneault s'est recyclé en amant du polar. Défenseur de la littérature québécoise et se définissant comme un passeur littéraire il s'est donné pour mission de faire connaitre les auteurs de polars du Québec, et ce, des deux côtés de l'Atlantique.

Crimes au musée est le troisième recueil d’une série dont les premiers s’intitulaient Crimes à la librairie et Crimes à la bibliothèque. En ce sens, il s’inscrit dans une certaine continuité. Pourtant, Crimes au musée se démarque par deux particularités. Les signataires de ces nouvelles sont toutes des femmes. Et surtout ces femmes sont toutes francophones car vous retrouverez dans ce recueil des écrivaines québécoises, françaises et belges.

Et j’avoue que nos drôles de dames sont vraiment douées en matière de crimes.

Je me suis plongé dans ces 18 nouvelles qui mettent en scène un meurtre dans un musée. e musée comme lieu de tous les crimes, voilà qui n’est pas pour me déplaire. J’y est retrouvé avec plaisir neuf auteures européennes que j’affectionne, certaines même sont mes chouchous. Karine Giebel, Barbara Abel, Ingrid Desjours, Dominique Sylvain, Elena Piacentini, Marie Vindy, Danielle Thiéry, Nathalie Hug, Stéphanie de Mecquenem. Le casting est de toute beauté.

Coté canadien je ne connais que Andrée A. Michaud. Là aussi je savais que j’apprécierai sa plume.

Quand au huit autres autrices (Claudia Larochelle, Marie-Chantale Gariépy, Martine Latulippe, Geneviève Lefebvre, Florence Meney, Claire Cooke, Ariane Gélinas, Catherine Lafrance) et bien se fut une totale découverte. du coup avec ses courtes histoires noires ou policières j'ai lu de nouvelles plumes, et j'adore ça ! Faire la connaissance de nouveaux auteurs, s'approprié leur style, leurs mots, partir vers de nouveaux horizons…

D’ailleurs la nouvelle n’est telle pas la meilleure manière de rencontrer la plume d’un ou d’une auteure. La nouvelle est un art difficile et elle révèle ainsi tout le potentiel de sa créatrice. Alors oui toutes ses nouvelles ne sont pas de la même qualité. Et si j'ai trouvé que la qualité de toutes ces nouvelles n'était pas égale. J'en ai aimé vraiment certaines, beaucoup moins d'autres. Mais je ne vous dirais pas lesquelles, le mieux c'est que vous, vous fassiez votre propre opinion par vous-même en allons visitez tous ces musées.

Le petit plus de « Crimes au musée » : à la fin de chaque nouvelle vous trouverez une petite biographie de chacune des auteurs


Lien : https://collectifpolar.com/
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Crimes à la librairie

Directeur d'école à la retraite, fou de lecture depuis toujours, Richard Migneault s'est recyclé en amant du polar. Défenseur de la littérature québécoise et se définissant comme un passeur littéraire il s'est donné pour mission de faire connaitre les auteurs de polars du Québec, et ce, des deux côtés de l'Atlantique.

Et c'est avec ce recueil de 16 nouvelles qu'il nous propose de les découvrir

Mais alors « Crimes à la librairie, ça nous raconte quoi ?

Lieu de culture, d'échanges et de découvertes, la librairie n'est-elle pas le point de rencontre privilégié entre le livre, l'auteur et le lecteur ? de son atmosphère feutrée émane une impression de calme, presque de recueillement. Un sentiment de paix tout à fait étranger à la violence. Ainsi, c'est tout un défi qui a été posé aux seize auteurs des nouvelles de ce recueil : faire de la librairie, cet endroit paisible, une véritable scène de crime, dénaturer ce carrefour de tous les imaginaires en transformant chaque livre qui s'y trouve en témoin de l'énigme, du suspense, de l'insoutenable. Parions qu'après avoir lu cet ouvrage, vous ne verrez plus tout à faire librairie préférée du même oeil…

Richard Migneault réussi son pari car sur les 16 auteurs présents je n'en connaissais que 6. J'avoue j'ai même été étonnée d'en connaitre « autant » (Patrick Senécal ; Martin Michaud ; Chrystine Brouillet ; André Jacques ; Johanne Seymour ou encore Richard Ste-Marie) tant nos cousins écrivains québécois sont mal diffusés en France. du coup avec ses courtes histoires noires ou policières j'ai lu de nouvelles plumes, et j'adore ça ! Faire la connaissance de nouveaux auteurs, s'approprié leur style, leurs mots, partir vers de nouveaux horizons…même si j'ai trouvé que la qualité de toutes ces nouvelles n'était pas égale. J'en ai aimé vraiment certaines, beaucoup moins d'autres. Mais je ne vous dirais pas lesquelles, le mieux c'est que vous, vous fassiez votre propre opinion par vous-même en entrant dans toutes ces belles librairies !


Lien : https://collectifpolar.com
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Crimes au musée

Un recueil de nouvelles avec plusieurs originalités. En premier lieu, un recueil au féminin avec des noms plus ou moins connus. Seconde particularité, ces femmes sont issues de 3 pays ou provinces : France, Belgique et Québec. D’ailleurs la publication a été simultanée dans l’Hexagone chez Belfond et dans la Belle Province chez Druide.

Toutes les intrigues se nouent autour d’un musée où l’on a plus l’habitude du calme et de la quiétude que de la violence et du machiavélisme et c’est ce qui fait le charme de ce livre.



Je ne vais évidemment pas passer en revue les dix-huit auteures de cette brochure mais m’attarder sur trois d’entre elles, dans l’ordre d’apparition.

A commencer par Karine Giebel qui avec « L’Intérieur » narre la descente aux enfers d’une femme sous emprise, les implications sur sa famille et un twist final jouissif pour ma part. Récit singulier mais malheureusement quotidien pour de trop nombreuses femmes dames et demoiselles. C’est à la fois puissant par le sujet et son traitement mais aussi dérangeant par cette fin inéluctable, libératrice et en même temps noir. J’ai profondément haï un personnage, vil profiteur d’une situation de supériorité dans un contexte social défavorable. On ne peut sortir neutre de cette vingtaine de pages comme lors de nombreuses productions de cette écrivaine.



Je me devais de saluer la plus corse des lilloises, Elena Piacentini et son regard particulier pour une naissance sous X dans « Dentelles et dragons » où la quête d’un passé trouble amènera deux sentiments antagonistes : amour et vengeance, vendetta me reprendrait l’auteure. La manière de traiter le sujet est à la fois éminente et poétique. Elena m’a surprise avec une fin en trompe-l’œil. Le fan, que je suis, a aussi apprécié le petit clin d’œil à Leoni son flic fétiche.



Enfin, la québécoise Geneviève Lefebvre et son « homme à la machette » nous emmène au Rwanda, vingt ans après le génocide, dans les pas de Géraldine, et ses sentiments ambivalents de pardon et de justice. Une découverte du drame vécu dans ce pays à travers le ressenti de divers protagonistes. Folie inhumaine destructrice et le vivre après. Mais comment bâtir un avenir sur des rivières de sang ?



Comme majoritairement dans ce genre de parution, on apprécie plus ou moins certains récits mais outre les particularités évoquées en introduction, cette publication propose, à l’issue de chaque nouvelle, une présentation de l’auteure. Thème original mais peu d’évocation d’œuvres et souvent le lieu est à peine cité. Mon côté aficionado de cette pratique culturelle s’en est retrouvé un peu lésé.

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Crimes à la librairie

Seize nouvelles littéraires dont le thème est le même: un crime (presque tous des meurtres) dans une librairie. Plusieurs de ces nouvelles sont très intéressantes, d'autres le sont moins. J'ai beaucoup aimé la librairie comme scène de crime, cela donnait des meurtres cocasses, des mobiles intrigants, une atmosphère bien différente des polars habituels.



J'ai été amusée par Public cible de Patrick Senécal, Jungle jungle de Jacques Côté et par un Cadavre au crépuscule de Robert Soulières.

J'ai bien aimé le libraire et l'enfant de Martine Latulippe, même si on voit tout de même venir la fin. J'ai beaucoup apprécié la nouvelle de Mario Bolduc intitulée «Mon combat», car le thème politique et le lieu (Croatie) étaient originaux et fascinants.



Ce que je trouve dommage des recueils, c'est qu'après coup, on ne se souvient plus trop de ce qu'on a lu et même si plusieurs nouvelles m'ont plu, deux jours après je ne me souviens plus des titres ni des intrigues.
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La dernière promenade

Florence Meney explore les mécanismes du deuil animalier et offre une réflexion sur la place des animaux dans notre société dans son nouveau livre.
Lien : https://www.journaldequebec...
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Crimes au musée

Rien que des dames pour ces dix huit nouvelles criminelles autour d'une figure imposée. Des deux côtés de l'Atlantique, les frissons sont les mêmes, dont l'inspiration prend sa source dans différents musées de la planète. L’avant-propos de Richard Migneault est un hommage à Chrystine Brouillet, « la marraine du roman policier québécois ».

Je dois être un brin retorse, parce que deux parmi mes préférées voient un meurtrier présomptif se faire prendre de vitesse par sa victime désignée...
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Ma tête, mon amie, mon ennemie

Un thème difficile et encore tabou, abordé de façon vivante et passionnante - avec des témoignages de personnes qui se livrent à coeur ouvert sur les défis qu'ils ont dû affronter, et des entrevues de professionnels de la santé mentale ainsi que de scientifiques explorant les mystères du cerveau.

À signaler entre autres: le portrait du Dr Salah El Mestikawy, notamment chercheur en neurosciences à l'Institut de Santé mentale Douglas, à Montréal et... accro à la dépendance.

Qu'il s'agisse de la dépression, de l'anxiété, de l'automutilation, de l'anorexie... ou des électrochocs le duo d'auteurs nous offre un ouvrage aussi inspirant qu'instructif.
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Crimes à la librairie

Seize écrivains québécois nous livrent de courts polars. Tous les drames ont lieu dans des librairies. Personnages hauts en couleurs, situations inusitées, scénarios variés. Il y en a pour tous les goûts. C'est une excellente façon de découvrir rapidement des auteurs. Le concept est intéressant, mais je n’ai pas vraiment été charmée. En fait, je me suis vite lassée, sauf pour quelques-unes du point de vue de l'imagination et du style d’écriture. C’est parfois trop morbide. C'est sûrement ça qui m'a fait décrocher et ce particulièrement pour l'écrivain, Patrick Sénécal . Certains textes ne se prêtent pas bien à une courte histoire, mais d'autres vivent très bien sous cette forme. Formules à exploiter pour d'autres genres littéraires.

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Crimes au musée

Comment exprimer en quelques pages ce que la majorité des auteurs développent en plusieurs chapitres ? L’art de la nouvelle a toujours été vecteur d’efficacité. Ici, pas question de musarder ni de se permettre d’infinies descriptions. Un exercice tonique auquel se sont pliés dix-huit écrivaines confirmées venues de toute la francophonie et dont la prose a été réunie dans un même recueil, grâce à la diligence de Richard Migneaut, qui a eu à cœur de leur proposer une piste de travail. En l’occurrence d’imaginer un crime au musée et de partir de l’idée que dans un pareil cadre culturel il y aura toujours une piste à explorer, un mystère à résoudre, une huile à analyser de près ou une moquette à soulever. Gardons-nous de penser que les femmes n’ont aucune place à défendre dans le district du polar. Plusieurs d’entre-elles se sont révélées de redoutables maîtresses dans le domaine et chacune de leur publication a été reçue avec tous les compliments qu’elle méritait. Comment aborder pareil sujet sans tomber dans les poncifs ? Il suffit tout simplement de se fier à l’originalité et à l’imagination de l’une et l’autre et de suivre le fil du récit qu’elles délient avec malice, humour ou en trempant leur plume dans une encre extrêmement noire. A mesure que les feuillets défilent, il est surtout ostensible que le thème générique permet de s’envoler à des lieues de ce qui est attendu et de converger vers tous les possibles, en retenant son souffle, en étouffant un cri ou en dessinant un sourire malicieux dans le pli des lèvres. Deux livres similaires ont été publiés chez le même éditeur : « Crimes à la librairie » et « Crimes à la bibliothèque ». Parmi les auteures invitées à se dévoiler : Barbara Abel, Claire Cooke, Ingrid Desjour, Marie-Chantale Gariépy, Ariane Gélinas, Karine Giebel, Nathalie Hug, etc.
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Crimes à la librairie

Le but de ce recueil de nouvelles est de nous faire connaître des auteurs de romans policiers québécois. Certaines nouvelles sont excellentes et d'autres laissent à désirer mais il y en a sûrement pour tous les goûts.
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Ma tête, mon amie, mon ennemie

Le commentaire de Lynda :



Un tout petit livre, qui se lit très rapidement, mais que j'ai vraiment beaucoup aimé.

Florence Meney et Alain Labonté, les auteurs, partagent avec nous leurs rencontres avec des personnes souffrant de certaines maladies mentales, mais également des professionnels qui nous parlent de ces mêmes maladies.

Que se soit la schizophrénie, ou les troubles de l'alimentation, les dépressifs aux idées suicidaires, les personnes de petites tailles souffrant d'un trouble physique, mais engendrant des problèmes psychologiques également.

De l'autre côté, ils nous parlent de ces professionnels, ceux qui sont là pour les aider, ceux qui voient ces gens, non pas comme des malades, mais des êtres humains aux besoins particuliers.

Il y a aussi des rencontres avec ceux qui consacrent leurs vies pour trouver des remèdes, des solutions, pour améliorer la vie de ces gens, qui contrairement à plusieurs vont les traiter comme des êtres humains.

Les rencontres en direct avec ces personnes nous permettent d'en savoir un peu plus sur ces troubles, ainsi que les traitements.

Les auteurs nous partagent ces histoires avec beaucoup de chaleur, certaines même avec beaucoup d'émotions. Tout est écrit en mot simple, pas de jargon médical que l'on ne comprend pas. Leurs discussions avec les différentes personnes, nous font comprendre ce que vivent ces personnes, les obstacles, et leurs cheminements.

Très bien écrit, réaliste, mais la chose qu'il faut avant tout retenir dans ce livre, c'est le message d'espoir que cette lecture nous transmet. C'est la chose à retenir, une fois le livre refermé.
Lien : http://lesmilleetunlivreslm...
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Crimes au musée

Toujours prête à découvrir de nouveaux auteurs de polars, ce livre m'a attiré d'abord par son titre que j'ai jugé plein de promesses.



Je connaissais déjà Karine Giebel, pour avoir lu plusieurs de ses romans : "Terminus Elicius", "Les morsures de l'ombre", "Juste une ombre". Sa nouvelle "L'intérieur" n'a fait que confirmer l'intérêt que je lui porte.



Parmi les 18 auteures de ce recueil, j'en citerai trois dont j'ai plus particulièrement apprécié le style : Elena Piacentini, Martine Latulippe et Nathalie Hug. Trois styles, trois ambiances, trois voix originales mais au final une seule envie : en lire plus.



Ce concentré de talents m'a également donné envie de lire les deux premiers recueils de polars dirigés par Richard Migneault : "Crimes à la librairie" et "Crimes à la bibliothèque".
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Crimes au musée

Vous est-il déjà arrivé d’avoir tenu le coup jusqu’à la dernière page d’un livre et de l’avoir refermé en vous disant Enfin? C’est ce qui m’est arrivé avec la lecture du recueil de nouvelles policières intitulé Crimes au musée.



J’avais pourtant hâte de me plonger dans ce recueil, le troisième d’une série publiée chez Druide. Mais l’ennui, bien davantage que le plaisir, a été au rendez-vous. Tant et si bien que je ne retiens pratiquement rien de ces nouvelles. Ou alors une sorte d’agacement provoqué par les notes du directeur de ce collectif, Richard Migneault, sur chacune des auteures invitées à participer à ce recueil – lequel en fait décidément trop.



J’aurais tant voulu vous dire que j’avais été séduite par ce livre. Mais il m’est tombée des mains bien des fois. La sauce ne prenait pas. Je n’y croyais pas. Je me lassais au bout de quelques paragraphes. Même si certains textes étaient bien écrits. Mais tout était tellement prévisible, tellement convenu, dans la plupart des cas, que je n’ai jamais été surprise.



Il n’y avait rien ici qui m’ait fait dire dire Wow! Ce qui ne semble pas être le cas d’autres lecteurs, comme le prouvent les extraits de critiques publiés sur la page de l’éditeur, toutes élogieuses.



Je ne suis pourtant pas une lectrice désabusée ni revenue de tout.

Mais ces crimes ne marqueront pas mon parcours de lectrice.
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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