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Critiques de François Froideval (151)
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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

j'ai apprécié de me replonger dans cet univers et la plume de Jeanne-A Debats y est sans aucune doute pour quelque chose. C'est d'ailleurs son nom sur la couverture qui m'a attirée parce que sinon je lis rarement ce genre d'ouvrage. Et ma foi, c'est une chouette découverte.

Le lecteur fait la connaissance de Wismerhill avant même qu'il ne soit Wismerhill d'ailleurs. Il erre dans la forêt, jeune, insouciant ...





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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

J'ai eu la chance de découvrir cette novélisation de la classique bande dessinée du même nom.

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Je n'avais jamais lu la bande dessinée, ne la connaissant que de nom, j'avais peur de manquer quelque chose. Et bien pas du tout ! On y retrouve exactement tout ce qu'il se passe dans la BD. Oui, je le sais parce qu'ensuite j'ai lu le premier tome de cette saga en BD pour me rendre compte.

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On va suivre Wismerhill, jeune elfe parti à la découverte de son destin. Il y fera de nombreuses rencontres, dont certaines deviendront ses amis, et le suivront dans ses aventures.

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J'ai vraiment aimé ce roman. Jeanne-A Debats a réussi à y retranscrire le ton léger des dialogues de la BD, dans un univers de Dark Fantasy. Wismerhill est attachant, un poil naïf et innocent, ce qui donne des scènes assez drôle.

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C'est un roman aussi très visuel. Et après avoir lu la BD, effectivement, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas besoin de l'avoir lu avant. Le roman rend visuellement très bien les aventures de Wismerhill, et même plus. Le seul petit point que je noterai, c'est qu'il y a pas de carte, et j'avais du mal à me situer dans l'univers.

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En tout cas, j'ai hâte d'avoir la suite !
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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

La quatrième de couverture donne un résumé assez large de la saga en parlant de jeux de pouvoirs entre deux Princes Démons qui jouent avec la vie des habitants de la planète, pour ma part je serai plus factuel. Dans ce roman, on suit avant tout Wismerhill, un demi elfe qui ignore presque tout de son passé et qui apprend petit à petit à maîtriser des pouvoirs qu’il ne comprend pas vraiment. Au fur et à mesure de ses rencontres, il va en apprendre un peu plus sur ses origines, mais il va surtout se retrouver mêlé malgré lui à pas mal de problèmes.



J’ai vraiment passé un bon moment avec ce roman, malgré quelques inquiétudes avant de me lancer. Il faut dire que je n’ai jamais vraiment lu d’heroïc fantasy avant ça et que j’avais pas mal d’aprioris sur ce genre. Je mentirais en disant que tous mes aprioris étaient faux mais ça ne m’a finalement pas tant gêné que ça. Et si j’ai eu quelques soucis, ils ne viennent pas de cette novellisation et du travail de l’autrice mais plutôt, je pense, de l’œuvre originale.



Par exemple, j’ai trouvé qu’il y avait quand même pas mal de sexisme dans le roman (notamment un peu d’hypersexualisation et beaucoup de nudité féminine complètement gratuite), même si on sent que l’autrice a fait tout ce qu’elle pouvait pour gommer ce défaut au maximum tout en respectant le ton de l’œuvre de base.



Au-delà de ça, la lecture a été plaisante : la plume de Jeanne-A Debats est très agréable, et j’ai beaucoup aimé découvrir les différents personnages que j’ai trouvé attachants dans l’ensemble (surtout Goum !). On a vraiment un sentiment de camaraderie entre les différents personnages, surtout dans la première partie, et cet aspect m’a beaucoup plu.



Le ton est finalement bien plus léger que j’aurais imaginé, parfois un peu absurde, même s’il y aussi pas mal de violence plus ou moins gratuite comme on peut l’attendre dans ce genre littéraire. Le rythme est bien maîtrisé même s’il faut quand même signaler que cette novellisation regroupe trois tomes de la BD d’origine, et qu’on se rend quand même compte quand on passe d’une histoire à l’autre. Rien de bien gênant cependant !



Par contre, je regrette un peu l’apparente toute puissance de Wismerhill. De par ses pouvoirs et grâce à l’aide des vents qui lui parlent depuis toujours et qui ont pour habitude de le mettre en garde contre les dangers, on ne s’inquiète jamais vraiment pour Wis. Il n’est pas entièrement épargné par les événements (ce serait vraiment mentir de dire ça), mais on n’a en tout cas jamais d’inquiétude concernant sa survie ou même son intégrité physique.



Quoiqu’il en soit, j’ai bien apprécié ma lecture et je serais curieux de voir ce que le destin réserve à Wis et ses alliés. D’autant qu’on finit sur un petit cliffhanger !
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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

Les Chroniques de la Lune Noire occupent une place à part tant dans ma bibliothèque (vu le volume physique de la série…) que dans mon parcours de lecteur.

Embarqué que j'ai été dès la première heure sitôt paru le Signe des Ténèbres au siècle dernier, cette saga au long cours m'a vu grandir. 1989-2021… Trente-deux ans que ça dure, presque autant qu'un fils de Dieu…





Le premier point positif de cet appel du général de Gueules aura été d'avoir su créer une attente. La même attente que quand j'avais une quinzaine d'années et que je guettais les sorties BD en trépignant comme un berserker qui vient de bouffer la moitié de son bouclier.

Attente en termes de sortie, attente aussi en termes de retrouvailles. Avec les personnages, l'univers, l'histoire, l'ambiance des Chroniques, et avec le plaisir éprouvé a long time ago quand j'ai découvert tout ça.

Si le plaisir des retrouvailles est on ne peut plus subjectif et variable d'un lecteur l'autre, il n'en passe pas moins par un critère tout ce qu'il y a d'objectif : le prisme de l'adaptation.





De Gueules suit une démarche de transcription : transformer le combo dessin-texte en texte tout court. Si l'exercice peut sembler facile, vu que tout le contenu est préexistant et qu'il n'y a qu'à se baisser pour le ramasser, encore faut-il, au-delà de la lettre, en restituer l'esprit. Savoir se réapproprier l'oeuvre tout en lui restant fidèle, dans un cadre défini qui est autant un garde-fou qu'une prison, avec en prime la difficulté de passer le cap du changement de média, puisque, pour une même histoire, on ne raconte pas la même chose et surtout pas de la même façon dans un roman, une BD, un film, une pièce radiophonique ou un spectacle de mime.

Pari réussi pour de Gueules, qui s'impose comme une excellente adaptation. On retrouve tous les éléments en dur de la bande dessinée (personnages, lieux, événements), baignant dans le même état d'esprit que celui des tomes concernés (Le Signe des Ténèbres, le Vent des Dragons et La Marque des Démons), avec du sombre, de l'épique et du potache. le roman se montre très conforme à la BD, logique quand on sait que Froideval ne s'est pas contenté de céder les droits d'adaptation et de partir ensuite siroter des cocktails sur une plage des Bahamas en mode “après moi le Déluge et démerdez-vous”. Son nom sur la couv' n'est pas là pour faire joli ; d'après mes sources, le gars François est partie prenante du bousin, impliqué jusqu'au cou, et c'est à lui que revient le final cut. Donc si vous avez peur que le roman ne corresponde pas à la BD, vous pouvez arrêtez de trembler dans vos caleçons et être rassurés : 100% fidèle, à défriser la barbe de Castro.





De Gueules, c'est ça : du dessin textualisé, le degré ultime de l'art ASCII. Debats a su restituer l'univers et l'ambiance, reprendre ce qu'il fallait des textes originaux (dialogues et narration), convertir sans l'appauvrir le dessin en texte, ajouter du liant, des détails par ci, des noms par là pour certains PNJ anonymes dans la version de base, bidouiller les changements nécessaires pour qu'ils fassent sens sans être trop désarçonnants pour les briscards, assaisonner le matériau des trois premiers tomes en piochant des éléments dans la préquelle (En un jeu cruel) et dans la série dérivée des Arcanes de la Lune Noire.

Donc bien fichu. Et pertinent. Parce que juste bien fichue, la démarche n'aurait aucune espèce d'intérêt pour n'être qu'une bête redite. Là, dans la façon de procéder, le roman ne se limite pas à un simple produit dérivé, il propose une autre façon de raconter la même histoire, conforme au canon mais avec sa personnalité propre. Il existe à la fois en parallèle à la bande dessinée – dont il reprend l'ADN, le squelette et l'essence – et en soi – puisqu'il est complet et qu'on en sort sans avoir l'impression qu'il manque quelque chose.





Alors sauf à être de mauvaise foi ou à passer à côté de la dimension spécifique de l'adaptation (spoiler : y a pas d'images), les lecteurs de la BD s'y retrouveront avec ce roman, à la fois pareil et différent.

Pour ma part, le kif a été le même qu'il y a trente ans. Plaisir des retrouvailles avec Wismerhill, Pile-ou-Face, Feidreiva, Ghorghor Bey… plaisir de revoir germer comme au premier jour les manigances de Haazeel Thorn, Greldinard, Urmacht, Fratus Sinister… plaisir renouvelé de suivre pour la douze millième fois le destin des uns et des autres, même si je sais déjà comment ça va se terminer pour chacun d'entre eux (l'empereur Haghendorf finira assassiné par Frodon avec le chandelier dans la bibliothèque de Poudlard).

Seul défaut de ce bouquin, je ne trouve rien à lui reprocher, pas moyen de pousser un coup de Gueules. Mais comme je viens de placer mon calembour à deux ronds cinquante, l'absence de faute est pardonnée.





Chronique beaucoup plus complète et beaucoup plus drôle sur le blog (lien ci-dessous).
Lien : https://unkapart.fr/les-chro..
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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

Je me suis intéressé à cette novellisation à partir d'un vieux souvenir enjoué de la BD dont je n'ai plus aucune trace ou presque dans mon esprit ; et la rencontre ne s'est absolument pas faite.

La faute sans doute à un matériau de base trop daté à mon goût, où personne n'est attachant, où les enjeux sont trop nébuleux, où la magie ne semble répondre à aucune réelle règle ; une fantasy qui n'est simplement pas à mon goût.

Déception, malgré les efforts indéniables de Jeanne A-Debats pour rendre un texte qualitatif.
Lien : https://syndromequickson.com..
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Chroniques de la Lune Noire, tome 1 : De gu..

Si je ne m’étais fiée qu’à la couverture je ne l’aurai pas lu, et alors, je serais passée à côté de quelque chose !!! Le résumé par contre m’a convaincue de suite.



C’est un roman de pure Fantasy comme je les aime! C’était génial ! On y retrouve différentes créatures, tel que des elfes, des demi-ogres, des dragons, des nains, aussi des humains dotés de magie.



C’est un concentré de magie et d’humour. J’ai adoré les répliques parfois crues, teintées d’humour de Pile-ou-face notamment.



On part dans une épopée aux côtés de Whismerhill un elfe en quête de ses origines, ayant la faculté de parler aux vents et doté de pouvoirs terribles et d’une épée flamboyante. Il va au fil des pages, faire de nouvelles rencontres, créer des amitiés, combattre des ennemis, s’entourer d’une bande de fidèles, et chercher les réponses à ses questions dans un royaume sans pitié où la loi du plus fort domine.



Il se lit très bien, une écriture fluide et une lecture dynamique, rythmée par de l’action et des découvertes, on ne s’ennuie pas!



Il faut savoir que ce roman est une adaptation des BD du même nom qui compte une vingtaine de tomes. Je ne me prononcerai pas sur l’adaptation en roman n’ayant pas lu les BD.



Enfin, j’ai aimé aller chercher sur le net les personnages des BD et à chaque fois, mon imagination était très proche du dessin, ce qui prouve une belle description des personnages dans le roman.



Je ne trouve pas de point négatif, si ce n’est une fin trop abrupte qui ne peut que nous inciter à lire la suite.



Si vous aimez la fantasy, vous aimerez forcément Chroniques de la lune noire que je ne peux que vous conseiller 🖤
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Chroniques de la Lune Noire, tome 2 : De Si..

Ce tome 2 montre la puissance de Wismerhill et des siens, dans ce monde noir que les puissants et les dieux se disputent, donnant une dimension épique aux aventures de nos héros.
Lien : https://www.scifi-universe.c..
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Chroniques de la Lune Noire, tome 2 : De Si..

De Sinople démarre pile à la seconde où s’arrêtait son grand frère De Gueules. Comme suite directe, on ne peut pas faire mieux en termes de timing. Ce second épisode des Chroniques de la Lune Noire couvre en équivalent BD la toute fin du tome 3, le tiercé 4, 5, 6 et s’achève sur les premières pages du tome 7, le tout assaisonné de quelques petits emprunts aux Arcanes.





On prend les mêmes et on recommence ? Pas tout à fait. De Gueules organisait la mise en place du cadre, des factions et de leurs relations, et mettait en scène les rencontre entre Wismerhill et ses joyeux compagnons (Pile-Ou-Face, Feidreiva, Ghorghor Bey, Murata, Goum et Nasha), le tout avec pas mal de potacheries autour. Ici, on grimpe d’un cran dans la tension, avec la montée en puissance de Wis, les premières responsabilités seigneuriales, le choix d’un camp dans le panier de crabes de l’Empire, des pertes – lourdes – à encaisser. La fantasy picaresque s’oriente vers la dark fantasy, on n’est plus là pour rigoler. Enfin, si quand même, encore, parce que les notes d’humour et punchlines rigolardes, une des marques de fabrique de la BD, sont encore de la partie pour alléger l’ambiance.





Comme son prédécesseur, De Sinople respecte l’ADN de la série originelle. Tout y est, sauf le dessin (forcément, dans un roman, c’est pas trop le lieu pour les fantaisies graphiques). À la place des images, le texte offre quelques petites choses creusées davantage ici et là, sur les états d’âme des personnages, leur passé, leurs relations, autant de points laissés un peu de côté dans la BD. Des petits bouts scène en plus (la mégère de Garundel, la filature de Desdémone), d’autres plus développées (le remplacement des fenêtres bousillées tous les deux jours par Wismerhill – un de mes passages préférés dans le roman), des noms pour la kyrielle de personnages secondaires anonymes (maître Frédégon, entre autres), autant de changements minimes mais qui apportent au récit du corps, de la fluidité, des bouffées d’air entre les complots machiavéliques et les bastons titanesques… et qui justifient au passage la novélisation. C’est pas juste on prend les dialogues tels quels, on transforme les images en descriptions, et hop torché. Ici, le changement de format fait sens à travers les différences subtiles entre BD et roman, qui rendent les deux versions complémentaires. Mêmes décors, mêmes personnages, même histoire, même esprit, autre façon de raconter l’épopée.

À l’arrivée, l’adaptation est toujours aussi bonne qu’avec De Gueules, on change juste la couleur. De Sinople, c’est vert. Mais juste.
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Chroniques de la Lune Noire, tome 2 : De Si..

« De Sinople » est après « De Gueule », le second tome des adaptations des « Chroniques de la Lune noire » la BD éponyme.





C’est une suite directe, nous commençons l’aventure exactement la où nous l’avions laissé dans le tome précédent, il vous faudra donc lire le premier roman avant pour tout comprendre.





Les personnages sont toujours aussi charismatiques (même si l’ont en a perdu un en route qui faisait parti de mes préférés), le personnage principal « Wismerhill » est de plus en plus puissant mais il perd aussi de son humanité à mon goût. Le voleur et le géant me font toujours autant rire, une nouvelle arrivée, une succube m’étais insupportable.





En ce qui concerne l’intrigue nous avons toujours autant d’action et d’aventure, de magie, de batailles également.





Le bestiaire incorpore maintenant des dragons !!





Les décors restent dans les classiques de la fantasy mais c’est normal vu que c’est adapté d’une bande dessinée qui commence à dater.





Je suis finalement moins convaincu par ce second tome, même si il est tout de même qualitatif, mon ressenti est aussi peut-être dû au fait que je sortais d’une lecture coup de cœur : Malice » et que « De Sinople » ne faisait pas le poids à côté.
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Fatum, tome 1 : L'Héritier

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette BD entre réel et fiction.

Certes, il y a des cyborgs, certes il y a des engins volants futuristes, mais il y a aussi ces clans, ces mafias au centre des débats.

Et puis, il y a aussi cette histoire familiale avec un enfant qui prend la tête du clan....un enfant terrible !
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Fatum, tome 1 : L'Héritier

[critique pour les 5 tomes ]



Petite série jouissif néo-futuriste mafieux en 5 tomes.

Dans un futur proche où les voitures volent, les cyborgs sont les plus chers et les meilleurs gardes du corps et où les cartels sont tout-puissants, un jeune garçon hérite du contrôle de l'empire mafieux. Personne ne l'accepte et ses concurrents adultes veulent prendre sa place. Sucette dans la bouche, il va leur montrer qu'il est le boss.

humour à gogo, action trash qui pisse de l'hémoglobine toutes les deux pages, on ne s'ennuie pas avec Don Cenettone.

Et même si le dessin manque de précisions et est parfois un peu confus, ce n'est pas un problème tellement le côté Série B fonctionne.
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Fatum, tome 2 : Premières Armes

Un deuxième tome agité, où le jeune Don Cenetonne va d'abord subir une attaque de ses adversaires avant de passer à la vengeance la plus froide !

Tout en gardant un œil bienveillant sur Nadine, sa protectrice....
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Fatum, tome 3 : L' Ultime Assassin

Sans être transcendant, c'est intéressant.

Des cartels dans un monde futuriste, qui s'écharpent pour prendre le pouvoir. Et le chef de tout ça, est un enfant de 12 ans...
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Fatum, tome 4 : En ton nom

Encore un cartel s'attaque à Don Cenetone...et encore un cartel va disparaître....!

De beaux combats, de belles double pages...
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Fatum, tome 5 : Le 9è cartel

Une série intéressante, mais pas captivante.



Alors que ce dernier tome débute par le meurtre de la mère de Don Cenetone, il finira par une chute pour le moins inattendue !!!!
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Harkhanges, tome 1

Un livre superbe, des dessins de qualité et un scénario de dingo, tous les ingrédients sont réunis pour faire de cette BD une réussite.



L'histoire est un peu incongru, ces écoles qui se disputent le titre de Maitre suprême, et qui doivent éprouver les différentes épreuves de sélection afin de sauver leur monde tel qu'il est.



L'humour est constant, et c'est rafraîchissant, bref, c'est un super livre.
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Harkhanges, Tome 2 : Les chants de l'entropie

Une BD toujours bien sanglante, et bien déjantée, tout s'éclaircit dans ce deuxième opus, et on apprend plus de choses sur les intérêts de chacun des protagonistes.



Tout n'est pas blanc ou noir, on a plutôt du gris clair et du gris foncé.



Bref, du bon, encore !



A lire !!
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Hyrknoss, tome 1 : Vive la France

L'idée de départ pouvait s'avérer séduisante. Nous avons un préfet français qui vient prendre possession d'une île anglo-normande qui passe sous le giron national suite à un traité à l'aube du XXème siècle.



La population ne lui fait pas un accueil triomphal : c'est le moins que l'on puisse dire ! Ce sont des gens plutôt bizarres. Tous les regards sont tournés vers la véritable maîtresse de l'île : une belle et jeune baronne pour le moins mystérieuse.



Il est question de rêves et de cauchemars dans une ambiance onirique. Le rythme est très lent. Les images sont bien ternes. La mise en cases me paraît ennuyeuse et point astucieuse. Sur la forme, ce n'est pas génial.



Je trouve que l'idée n'est pas bien exploitée car on va vite se perdre dans les méandres de cette île ou dans les rêves brumeux. L'enthousiasme du départ laisse place à un peu d'amertume. C'est ainsi. Je ne poursuivrai pas le voyage au-delà de ce premier tome...
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La guerre des âmes

Une succube, des démons, du cul, des boobs, de la violence, de l'humour potache, soit un cocktail très marqué par l'esprit des premiers albums des Chroniques de la Lune Noire, comme une espèce de spin-off sous acide de la série phare de Froideval – on a d'ailleurs droit, l'espace d'une case, à un caméo de la succube rouquine. Sauf qu'ici les curseurs sont poussés encore plus à l'extrême, sans se prendre au sérieux, tout en déconne décomplexée à la manière du jeu de rôle In Nomine Satanis.

Le scénar est quelque peu décousu, on suit moins une histoire structurée qu'une succession de sketches raccordés entre eux parce que “c'est magique”. M'enfin, la BD fait le taf question détente, le portrait brossé de l'enfer joue assez bien du croisement entre éléments canoniques et fantaisies délirantes, et in fine on suit sans déplaisir les aventures loufoques de Sellenia et de ses deux acolytes démoniaques.

La guerre des âmes devait être le premier volume d'une série, Froideval ayant annoncé à l'époque travailler sur un tome 2, l'album sera finalement un one-shot. Alors autant Les Fées ou Methraton, c'est pas un mal d'avoir arrêté le tir et les dégâts, autant Succubus, je trouve dommage de ne pas être allé plus loin. Il y avait encore matière à raconter sur le fonctionnement de l'enfer sauce Froideval et le personnage de Sellenia pouvait se voir développé dans des directions aussi intéressantes que déjantées.
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Les Arcanes de la Lune noire, tome 1 : Ghor..

Je ne suis pas une spécialiste de BD et j'ai lu assez peu de la saga de la Lune Noire mais j'adore celle-là... J'ai littéralement fondu dès les premières pages en voyant la tête de Ghorghor Bey bébé. ^^ Je trouve le dessin très beau, l'histoire pleine d'intérêt et le personnage principal... adorable (bah oui !).
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