Je voudrais bien être féministe. Etre fière des réalisations féminines, vouloir améliorer la condition des femmes. Seulement comment y parvient-on ? Par la revendication. Par la compétition. On augmente ainsi, c'est indéniable, un certain nombre de réalisations féminines. Les femmes accèdent maintenant à toutes les formations, à tous les postes, à toutes les fonctions. Mais par cette lutte féministe, la condition de la femme, à bien des égards, s'est dégradée. La culture de mort se vit d'abord au détriment de la femme, parce que celle-ci est le sanctuaire de la vie. Dans le terme de féminisme on met la femme au centre de la réflexion. Voilà l'erreur de ce concept: la beauté de la femme, son identité, n'est pas d'être le centre c'est a dire Dieu, mais de mener l'homme à l'unique sauveur qul est le Christ.
Il est important de souligner qu'il n'y a pas, en soi, de mauvaise période. Tout dépend de ce qu'il convient de faire passer comme message. C'est une question d'adaptation. On peut aussi bien choisir discrètement une date en fonction du cycle qu'adapter la prestation. Par contre, il serait illusoire de se forcer à retrouver une « ambiance » qui ne correspond pas au vécu du moment, parce qu'on est plus attachée à une image idéalisée de soi-même qu'à la réalité. Le cycle connu, respecté, est une école d'authenticité envers soi-même, dans les relations avec autrui, comme aussi une école de réceptivité de l'instant présent.