La soif du mal
« Welles confirme que ce qu'il a mis de personnel dans le film est sa haine envers l'abus que fait la police de sa puissance. Il n'aurait pas pu traiter cette question si Quinlan n'avait été qu'un flic ordinaire « Il est intéressant d'en parler, dit-il, avec un homme d'un certain volume. » Et il précise que si l'on a le choix entre l'abus d'un pouvoir policier et le crime impuni, alors il faut choisir le crime impuni. » (Maurice Bessy)
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