Comme le souligne un fonctionnaire du Quai d'Orsay, il faut maintenir les clandestins " dans un climat de précarité et d'incertitude apparentes crées et entretenues par l'octroi de séjour ne dépassant pas trois mois renouvelables pendant une période assez longue".
"La rumeur de ces mesures restrictives ne manquera pas de se répandre assez rapidement jusqu'au lieu d'origine du mouvement d'émigration clandestine et de les décourager."