Nous sommes très heureux de vous présenter nos nouveautés de la rentrée ! Parmi celles-ci figure l'oeuvre majeure de Jean-Yves Garneau constituée de méditations bibliques quotidiennes. L'ensemble de la sagesse des saintes écritures à la portée de tous ! Vous y retrouverez également le très beau livre du maître spirituel Henri Nouwen qui nous initie à la méditation des icônes par l'approche du regard, une pratique chrétienne orientale ancestrale. Enfin, vous y ferez bien d'autres découvertes dont des publications de Pape François. Une variété de formules pour dynamiser et nourrir votre vie spirituelle !
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P32 « La solitude est le lieu de la purification et de la transformation, le lieu du grand combat et de la grande rencontre. La solitude n’est pas seulement un moyen orienté vers une fin. Elle est à elle-même sa propre fin. »
Lorsque nous en sommes venus à croire aux voix qui affirment que nous sommes sans valeur et non aimables, le succès, la popularité et le pouvoir sont facilement perçus comme des solutions attirantes. (p. 25)
(..) non seulement nous sommes les bien-aimés, mais (..) nous devons devenir les bien-aimés (..) (p. 36)
(..) comme chrétien, je suis appelé à devenir pain pour le monde : du pain qui est pris, béni, rompu et donné. (p. 40)
Nous n'aurions plus peur de la mort, mais nous vivrions en la considérant comme le point culminant de notre désir de faire de nous-mêmes un don pour les autres. (p. 106)
Les illustrations de Sr Helen David et les réflexions de Henri Nouwen nous invitent à porter un regard neuf sur la passion et la résurrection de Jésus. Dans ces méditations où se mêlent souffrance et espérance, nous découvrons comment Jésus poursuit sa route sur nos propres chemins, dans nos frères et soeurs qui sont condamnés, kidnappés, affamés, abandonnés, torturés et tués jour après jour à travers le monde. Mais au milieu des ténèbres, nous pouvons également reconnaître des signes de confiance, d'espérance et d'amour.
En plus de la connaissance il faut la re-connaissance", le contraire du ressentiment
Rembrandt était prêt à se mettre à la place du Père, pourquoi pas moi ?