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Citations de Hillary Waugh (30)


Les yeux de Gene étaient comme de l'acier chauffé à blanc et sa voix grinçait comme une scie métallique.
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Jane Sherman poussa un cri perçant. Elle plaqua ses deux mains sur son visage, se renversa en arrière et commença une magnifique crise de nerfs.
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La directrice ouvrit le journal. Les premières notations dataient de 1947, et elles se poursuivaient jusqu'aux jours les plus récents.
- Lowell a l'âme confiante, remarqua Mrs Kenyon. Laisser ainsi son journal à la portée de n'importe qui...
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Calvin Leslie, rédacteur adjoint et brillant reporter du Bugle de Bristol, l’hebdomadaire local et d’ailleurs l’unique journal de la ville, prit une voie détournée pour arriver à ses fins :
– Les vautours sont en train de dépecer le cadavre, remarqua-t-il. Hello, Frank ! 
– Hello Les ! 
– Vous n’imaginez pas tout ce que je manque ? Nous aurions eu la primeur d’une nouvelle sensationnelle si le Bugle paraissait quotidiennement. A propos, vous savez quelque chose ?
– S’agit-il d’un crime, demanda quelqu’un d’autre, ou d’un rapt ? 
– Ce sera comme vous le désirez, répondit Ford.”
– Et à votre avis, Lowell Mitchell est-elle morte ou bien vit-elle ? ”
– L’un ou l’autre. ”
(…) “Lorsque Ford arriva au Quartier Général le lundi matin, il trouva de nouveau les reporters qui l’attendaient dans la grande salle. Depuis la veille, leur nombre s’était considérablement accru.
– Avez-vous de nouvelles déclarations à faire, Chef ? 
– Non, dit-il, de ce ton rogue qui lui était coutumier. 
– Pourtant, vous suivez bien une piste ?”
(…) “– Je vois, dit Ford, vous êtes en train d’essayer de semer la discorde, essayant ensuite d’en tirer des papiers sensationnels. 
– Simple curiosité, Chef.”
– Eh bien ! Vous en serez pour vos frais, répliqua Ford en se levant.
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Il faisait nuit noire dans le dortoir de la Brigade Criminelle de Manhattan Nord quand le téléphone sonna. Un timbre strident, capable de réveiller une marmotte, et pourtant, une sonnerie discrète aurait suffi, car les trois hommes qui roupillaient s'attendaient à être dérangés.

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Au matin, il faisait frais et le ciel menaçait. Angela s’affaira pour m’installer dans la voiture, enveloppé dans une couverture, mais son esprit était ailleurs. Son visage exprimait l’ardeur que je lui avais vue quand elle m’avait décrit la maison et ses gestes témoignaient de nervosité. A croire que nous allions découvrir un château !
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Fébrile, Angela voulut appeler aussitôt Grubbins pour donner notre accord. J’objectai que le prix me paraissait gonflé à l’intention sans doute des « riches Américains » et que je serais content de prendre l’air en allant visiter les lieux avant de décider. Je téléphonai donc à Grubbins pour le prévenir que nous viendrions le lendemain.
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La lettre arriva le mardi. Sur papier gravé au nom de Ethelbert Grubbins, Gérant du domaine de Crimalin, Grubbins informait Mrs Howard Whelan que Heather Cottage serait disponible dès le 1er juillet pour un loyer hebdomadaire de quinze guinées – gaz, électricité, téléphone et chauffage en sus. Faute d’une réponse rapide, une annonce proposerait la villa à la location.
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- je me fous de ses diplômes ! Quel est le meilleur spécialiste ? C’est celui-là que je veux consulter.
- Je m’en doutais, Howard, et je les ai tous appelés, mais ils sont en vacances, à la campagne ou surchargés de besogne. Ils n’accepteront pas de nouveaux patients que ce soit par intérêt ou sur recommandation.
- Et ceux qui viennent après ces patrons ?
- Même problème. Il ne reste que les jeunes nouvellement installés et parmi ceux-là, Armstrong est le meilleur.
Je notai son adresse.
- Je vous verrai à la réunion demain, Howard ?
- Vous plaisantez ou quoi ? Ma femme est malade !
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Toppingham me rappela à dix heures trente. Il avait pris rendez-vous pour le lendemain après-midi avec le docteur Hector Armstrong, un jeune psychiatre qui avait fait ses études à Vienne et jouissait déjà d’une excellente réputation.
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–La secrétaire de Stanford vous a-t-elle dit où il déjeunait? demanda Case. On pourrait l'y faire appeler.
–J'ai pas demandé et j'ai pas l'intention de téléphoner. Il appellera ici quand il reviendra. Vous me prenez pour qui, pour votre garçon de courses? Vous croyez que vous allez vous prélasser en taule, ici, avec une inculpation de meurtre sur les bras, et dire au shérif ce qu'il a à faire.
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En passant devant la porte de Gene, il [Jack] entendit les ressorts du lit grincer sous le poids d'un corps lourd. Il savait pourquoi Miles avait choisi cet hôtel. C'était le cadre parfait pour ce qu'il mijotait et, d'après les gémissements du sommier, l'heure H était arrivée pour Gene. La maigre provision de patience de Miles était épuisée.
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— Qu'est-ce que vous foutez ici ? gueulai-je à la cantonade. Ce n'est pas ça qui va la ramener. Rentrez chez vous ! La police retrouvera ce type, je vous le promets. La police le retrouvera.
— Comment se fait-il que vous l'ayez laissé la tuer ? fit une voix qui venait de tout au fond.
C'était celle de Bert Richards. Je la connaissais bien. Et elle venait de l'endroit qui était habituellement le sien, de l'arrière.
— Fermez-la, Bert ! criai-je en réponse. Vous voulez que la police vous protège mieux ? Donnez-nous assez d'argent, et nous vous donnerons tout ce que vous voulez.
C'était la seule réponse qui m'était venue à l'esprit, mais c'était la bonne. Elle écarta l'hostilité envers la police, et les têtes des assistants se tournèrent vers celui qui avait parlé, tout au fond de la foule.
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Les portes, bloquées par leurs chaînes de sécurité, s'entrouvraient, des visages noirs regardaient d'un oeil rond les insignes dorés qu'on leur présentait pour les persuader qu'on était de vrais policiers et non des cambrioleurs ou des bandits déguisés en flics.

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Mais la colère grondait aux confins de cette foule, là où les participants à la veillée ne pouvaient pas l'entendre, ou ne le désiraient pas, et son cierge levé était aussi inopérant qu'une allumette dans un ouragan.
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Ça me tapait sur les nerfs. Comprenez-moi : je connais ces gens, la plupart par leur nom, tous de vue. Ce sont soi-disant mes amis, des gens cordiaux, pleins de bonne volonté, qui ne voudraient de mal à personne, mais j'avais le sentiment qu'ils n'étaient plus mes amis, que j'avais perdu leur sympathie et leur compréhension. Ils avaient pris l'aspect et l'allure d'une foule, et une foule, croyez-moi, ça peut vous faire vraiment peur.
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Quand les amis de la famille sont sortis du dépôt mortuaire et ont descendu Church Street pour se rendre à la Place où ils ont allumé des cierges en souvenir de Sally, on aurait pu croire qu'il s'agissait de la veillée qui avait été annoncée. Surtout quand on a commencé à distribuer des cierges. M. Wallace, le pasteur de l'église St. Bartholomew, était allé les chercher dans la réserve du presbytère.
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Et aux quelques soirées auxquelles j'ai dû assister, j'ai remarqué que tous les garçons se groupaient d'un côté de la pièce et les filles de l'autre, et que la moitié de la soirée se déroulait avant qu'ils ne se mélangent.
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Quand j'étais gosse, que j'étais en train de grandir, je ne savais pas que j'étais différent. Je me prenais pour un petit garçon ordinaire, exactement comme tous les autres. Je suppose que le malheur a voulu que je n'aie pas d'amis à qui me comparer.
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Mais ne croyez pas que je n'ai pas eu du mal à appliquer cette philosophie. Il y a, parmi les fidèles, des tas de vieux birbes qui ne désirent pas que les enfants trouvent la religion agréable, qui ne veulent pas qu'ils prennent plaisir à connaître Dieu.
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