Hiraku Miura

Tout d'abord je tiens à préciser que ce manga n'est pas pour un jeune public. Dès les premières pages les illustrations sont assez explicites, sans entrer dans la vulgarité.



L'histoire démarre sous les chapeaux de roues est cela m'a un peu surprise. Je ne comprenais pas tout. Puis j'ai appris qu'il y avait eu un pré-quel en one-shot : Beauty and the Devil, nous relatant l'histoire entre Charles et Rin. Apres ce tome je me suis précipitée vers le pré-quel afin de mieux comprendre cet histoire. Il est dit que cette série peut se lire indépendamment de son pré-quel mais personnellement cela ne m'a pas réussi.



La couverture de ce manga m'a tapé dans l'œil, voilà la raison pour laquelle il a fini dans ma bibliothèque. Et je dois dire que le graphisme est vraiment sympathique surtout au niveau de la réalisation des personnages, et la représentation des émotions.



Niveau histoire, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de scènes à caractères sexuelles, beaucoup plus que dans Beauty and the Devil. Cela m'a dérangé car ces scènes prenaient le pas sur l'histoire.



Sans la lecture de Beauty and the Devil, je ne comprenais pas les personnages et leurs caractères, voir certains événements. Maintenant ça va mieux. Pour autant, je trouve que certaines scènes peuvent être dégradantes pour la femme et peuvent la faire passer pour un objet. L'auteure étant une femme, je pense qu'elle cherchait à dénoncer cela.



J'ai trouvé ce premier tome d'un niveau en dessous de son pré-quel.



Je lirai toutefois la suite, afin de mieux comprendre les messages que souhaite nous faire passer Hiraku Miura. Puis je l'avoue, je suis curieuse et même si je n'ai pas été transportée par cet opus, j'ai envie de laisser leurs chances aux autres (puis les ayant achetés il serait dommage de les laisser dormir dans la bibliothèque).


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Dans ce pré-quel de Midnight Devil, Hiraku Miura met bien en place l'univers dans lequel vivent nos personnages. Le contexte est bien mis en place et cela m'a aidé pour comprendre le premier tome de Midnight Devil, que j'ai lu avant celui-ci.



Les illustrations sont assez expressives et parlent d'elles même. Ce manga n'est pas pour un public jeune. A travers les dessins nous comprenons facilement les sentiments des personnages.



Charles est un démon un peu particulié: il est capricieux, surprenant, possessif et étouffant.



Shô lui est un homme attentionné et à l'écoute. A chacune de ses actions, il nous démontre que Rin est importante pour lui.



Rin connait ses premiers émois amoureux mais également le doute qui va avec. J'ai trouvé qu'elle manquait un peu de volonté. Malgré cela, elle n'hésite pas à remettre Charles en place, malgré son statut de roi des démons et c'est rafraîchissant. Nous la voyons évoluer en partie dans l'environnement scolaire et je dois dire que cela m'a fait de la peine. Dans ses scènes-là, Hiraku Miuru traite un sujet grave que vivent beaucoup d'autres enfants et adolescents scolarisé : le harcèlement, les rumeurs et leurs impacts,...



Le grand père de Rinn m'a beaucoup fait rire. J'ai eu l'impression qu'il s’amusait des événements et du trouble de sa petite fille, mais sans jamais se mêler de ses affaires. Et je peux vous dire que cela m'a troublé.



J'ai trouvé que ce récit avançait vite au niveau de l’histoire mais aussi entre les relations des différents personnages. J'ai eu quelques difficultés pour m'immerger dans l'ambiance du manga.



Cependant je peux dire que l'auteure ne manque pas d'imagination et d'originalité sur un point: un démon vivant dans un temple, on ne voit pas ça tous les jours!



Je vous confirme que si vous souhaitez lire la série Midnight Devil il est conseillé de lire Beauty and the Devil. Ce pré quel me parait essentiel pour apprécier la suite. Il a changé un peu m'a vision de celui-ci.

J'ai passé un bon moment en lisant ce one-shot, même si il ne m'a pas transporté dans l'univers.
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Dans ce second tome on se retrouve un peu dans un scénario basique, loup-garou, vampire et humaine. Toutefois, je trouve l'histoire intéressante et prenante, malgré des scènes de sexe que je ne trouve pas vraiment nécessaire....

Un premier tome qui pose les bases d'une romance assez simple dans le fond mais avec une pointe d'originalité avec le loup-garou. Le tout avec un peu d'humour et de mystère.

J'ai hâte de voir ce que nous réserve la suite niveau intrigue.

Un one-shot intéressant et doté d'un bon potentiel au niveau du scénario, donnant envie de découvrir le manga Midnight Devil.

Toutefois, j'ai buté sur la première scène "d'amour", l'absence de consentement de l’héroïne donnait plus une scène d'agression, même si au final elle a prit du plaisir, le corps peut parfois être traître....

J'ai découvert cette série de type manga un peu par hasard. Je n'en avais jamais entendu parler avant. Tout en noir et blanc, on ne sait pas trop si on a affaire à des anges ou à des démons ou bien des sortes d'anges de la mort dotés de super pouvoirs. On entre rapidement dans un cycle d'ultra violence qui dépend les défauts de la société japonaise tels que les taux d'usure exorbitants ou l'attrait des jeux type Battleroyal.

Gôta fait la connaissance de son double et le moins que l'on puisse dire, c'est que la cohabitation s'avère difficile... Très différents l'un de l'autre, ils arrivent néanmoins à trouver un terrain d'entente qui vont les mener sur les pistes d'une dangereuse secte.

Toujours aussi riche en action, le ton de ce troisième tome devient plus sombre et les personnages de plus en plus fascinants...

Un second tome aussi prenant que le premier et dans lequel Gôta est de nouveau victime de son sens de la justice. En tentant d'aider une camarade, c'est quelqu'un de beaucoup plus proche qu'il va mettre en danger...

Un dessin fluide et précis, de l'action, l'introduction d'un nouveau personnage... Foncez découvrir ce second tome qui laisse entrevoir un Gôta au potentiel de plus en plus important. On sent que l'auteur nous prépare une révélation fracassante sur le jeune homme et l'on attend avec impatience d'en apprendre plus sur son mentor qui en sait bien plus qu'il ne veut bien l'avouer.

Découverte par hasard, je suis de plus en plus fan de cette série qui a, en plus, le mérite de ne comporter que quatre tomes.

Charles, un roi démon, tombe sur terre, perd ses pouvoirs et doit pour les récupérer, prendre le sang d'une vierge... Il jette son dévolu sur la très jolie et gentille lycéenne Rin, qui vit seule avec son grand père. Sa douceur et sa persévérance lui permettent rapidement de conclure un pacte avec la jeune fille.

Une histoire d'amour satanique, mignonne et légèrement grivoise, de jolis dessins et des personnages amusants, charismatiques et sympathiques, qui font de ce manga une agréable distraction.

Séduite par la couverture que je trouve magnifique, j’ai décidé de me laisser tenter par cette saga étiquetée « Gothic » par les Éditions Soleil.



Malheureusement, j’ai été très déçue par ma lecture, au point d’avoir parfois hésité à l’abandonner.



J’ai quelquefois été perdue dans le sens de lecture, ne sachant pas dans quel ordre lire le texte, ayant du mal à trouver un sens cohérent à ce que je lisais.



Quant aux personnages… par où commencer ! Il n’y en a pas un pour rattraper l’autre.

J’ai trouvé Yuzuki beaucoup trop naïve, pour ne pas dire idiote… Ce trait de caractère typique des shôjo est pour moi poussé à l’extrême et trop, c’est trop… Son comportement m’a souvent fait lever les yeux au ciel et m’a parfois même laissée pantoise…

Quant au personnage masculin, je l’ai trouvé pervers (pas excitant pour autant), et accro au sexe. Il trouve d’ailleurs son énergie grâce à cette activité ! Et Yuzuki, véritable objet sexuel, se donne, je cite, « en pâture », assimilée à son repas. Lorsqu’elle se demande comment être là pour lui, ses idées ne s’élèvent pas au dessus de la ceinture…



L’intrigue de base promettait pourtant de belles choses, mais tout est en arrière-plan. Le sexe est en effet omniprésent, et sans aucune sensualité. Shirô n’est absolument pas doux avec sa compagne, même lorsque celle-ci lui annonce que c’est sa première fois ; soit disant désireux d’être plus doux, il s’excuse toutefois d’avance pour sa brutalité, arguant une faim trop grande…



J’ai trouvé le tout assez fade, sans réelle profondeur (bon je ne m’attendais pas à un truc de fou non plus mais quand même !). Il ne se dégage pas grand chose de cette histoire, de cette relation, et cela a même fini par impacter mon appréciation des dessins qui pourtant sont très bien exécutés.
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Ah ! On a enfin la profondeur que j'attendais (bon c'est vrai en écrivant mon avis sur le tome précédent, j'avais oublié cette fameuse "porte noire" dans l'esprit de Gôta...).



Du coup ça devient drôlement plus intéressant, "Prince" apportant une dimension dangereuse et déjantée à l'ensemble. Gôta a bien du mal à s'en dépatouiller, du "Prince" en question, parce que, contrairement à ce qu'on pourrait croire, c'est pas une partie de lui, mais "un autre lui".

Il n'en fait donc qu'à sa tête quand il est aux commandes, et apporte plein de rebondissements (d'ennuis, serait plus juste, lol) dans la vie de Gôta !



C'est dingue, amusant dans le flippant, et ça s'améliore en avançant. Je ne suis pas sûre qu'on ait quoi que ce soit de plus "derrière" que ce qu'il y a là, mais c'est déjà pas mal du tout...

On poursuit les aventures de Gôta, avec Viktor comme maître, et des concurrents (ou des collègues, ça dépend du point de vue), de ce dernier...



Qui sont-ils ? Des sortes de démons, semble-t-il. Ils offrent ce qu'on veut contre des années de vie. Kiyoto, un "collègue", donc, débarque dans le coin et s'en prend à une enfant harcelée à l'école, ce dont tout le monde se fout éperdument (du moins est-ce l'impression qu'elle a, mais vu qu'elle n'en parle pas, bah forcément elle n'a pas beaucoup d'aide...). Par un biais un peu tordu, il la sort d'un mauvais pas puis propose de la venger, par "contrat".



Or donc Gôta s'attendait à ce que Viktor intervienne, mais Viktor s'en fout. Ou peut-être fait-il semblant pour voir jusqu'où son stagiaire est près à aller ? On ne sait pas trop, tout a l'air de tests dans ces livres, histoire de voir les potentialités du jeune homme.



Les personnages sont toujours bien reconnaissables, aucun risque de les confondre, mais rien qui casse la baraque niveau dessin, pas de grandes cases, sauf peut-être avec les exécuteurs à la fin...



Un petit reproche que j'aurais à faire c'est qu'on ne sait pas très bien où les auteurs veulent en venir, et toutes les situations s'enchaînent très rapidement sans qu'on comprenne bien. Espérons que ça s'éclaire dans les deux tomes suivants, j'apprécierais un fond un peu plus consistant.

Super manga , il est a lire

Dans ce tome, afin de s’améliorer, de mieux accomplir ses missions (et de survivre !), Gôta doit libérer la puissance contenue dans son esprit… Pour cela, il est aidé par Viktor. Leurs efforts permettent de libérer Prince, l’alter ego de Gôta, qui prend possession de son corps lorsque celui-ci dort.. ! Prince est dangereux et attire des ennuis à Gôta : c’est pour cela que le lycéen doit absolument apprendre à la contenir ! Surtout qu’il se voit confier une nouvelle mission…



Mon avis :

Ce tome est toujours aussi bien que les précédents, une pointe d’humour et de dangerosité en plus, amenée par Prince : j’ai adoré !







#Cat
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Ce tome fait office de transition afin d’implanter de nouveaux personnages et relations, et ouvrir ainsi l’intrigue à de nouvelles pistes.
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La couverture était déjà assez sombre pour me tenter, mais découvrir l'histoire n'a été qu'un plaisir. Si je n'ai pas spécialement adhéré à Gota, petit blond bien sous tout rapport, le personnage de Viktor est lui complexe, séduisant, effrayant. Il ne peut qu'apporter au personnage principale qui je l'espère se révélera lui aussi au cours des prochains volumes. J'ai maintenant très envie de découvrir la suite.

Un premier tome qui m'a bien rappelé ma série Chouchou : Eiji the Psychometrer



Et il en fallait pas mal pour égaler un peu, dès le premier tome cette série là ! C'est pour vous dire dès de départ la qualité de ce manga. Pour faire court, nous suivons les aventures de Gôta, un lycéen (à vue de nez). Il va pour aider un de ces petits camarades de classe alors qu'il semble réellement pas bien et que tous les autres l'ignorent. Gôta a l'air d'un petit caïd qui utilise ses poings pour la bonne cause. Et on se rend compte qu'il est sous les ordres de Victor, une espèce de démon, d'esprit (maléfique ou bénéfique, telle est la question) qui l'a choisi justement pour son comportement.



Ainsi, avec lui, on découvre l'envers du décors. On est dans un monde où la faiblesse de chaque humain est automatiquement exploitée. J'ai l'impression que l'auteur considère un peu la population japonaise comme des chiffes molles, ni plus ni moins. Et dès qu'il y'a une personne qui flanche un peu, un démon (celui là vraiment maléfique), vient lui piquer tout ce qu'il a. Et quand je parle de ce qu'il a, ce sont des années de vie, la véritable monnaie des marchés démoniaques.





Un manga plus profond qu'on ne le croit.



Car oui, s'il y a un monde obscur derrière notre monde, une belle critique de notre société se cache derrière ce Seinen. Déjà, le truc le plus évidement, l'arbre au milieu de la forêt, c'est que les gens ont perdu la volonté de se battre. Ainsi, lorsqu'on leur apprend qu'on peut négocier des années de vie contre de l'argent, et que le démon les arnaque, et bien il ne se révoltent que moyennement. Le pendant c'est que leur vie n'a pas l'air de coûter grand chose. On brade ses années de vie contre peu d'argent en fin de compte. Et surtout on monétise sa vie ! C'est fou ! (et c'est ce que pense notre héros bien entendu).



Ainsi, en fréquentant Victor, Gôta mesure la folie humaine, mesure à quel point les gens sont désespérés parce qu'ils ont des dettes, parce qu'ils jouent de l'argent (et après des années de vie), parce qu'ils n'arrivent pas à trouver du travail. D'un autre côté, il y a des gens fortunés qui négocient de retrouver des années de vie, contre de l'argent. Et que c'est un vrai business. Il se rend compte aussi que Victor est un peu filou, tout de même, qu'il ne faut pas toujours lui faire confiance. Qu'il faut se méfier d'une promesse d'un démon, qu'il soit gentil ou non.



En bref, merci à la Masse critique de Babélio pour cette découverte car bien entendu, je prendrai la suite, et avec un grand plaisir. C'est un premier tome très divertissant mais aussi en même temps très profond. J'ai hâte de voir comment l'intrigue va se développer. Il va de soit mes chers lecteurs, que vous êtes maintenant un peu obligés de le lire aussi. Parce que j'ai mis en gage vos années de vie *oups
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Un grand merci à Babelio et aux éditions Kazé pour cette découverte. Je le sentais bien, j'avais raison ! Je viens en plus de voir que c'est en 4 tomes, Ô JOIE !

(C'est pas de la mauvaise volonté, mais en le fermant, restant en plein mystère, je me disais "il faut que j'arrête de cocher des tomes 1 de mangas ou de BDs en cours, je sais encore pas quand ça va finir...". Et finalement si ! Ouf !).



Parce que c'est drôlement bien ficelé. On perd pas une minute en digressions, c'est droit au but. J'avoue que les 3 premières pages m'ont rendue perplexe. Cette partie de poker étrange, détaillée, en plus, et on se dit "mais c'est quoi ce manga ?". Mais ça ne dure pas très longtemps !



Quand Gôta, l'étudiant, entre en scène, l'action démarre, et ne s'arrête plus jusqu'à la fin de ce premier tome.

Bon j'avoue là j'ai une pensée pour "Deathnote". Mon tout premier manga ! Parce que les dessins m'y font penser, le sujet, aussi, les ambiguïtés et les questionnements rattachés à la mort sont à peu près du même acabit.



En bref, j'ai beaucoup aimé le scénario, les dessins sont pas mal, pas vraiment "beaux" mais vu le sujet, ça ne s'y prête pas. Les personnages sont bien reconnaissables, on ne peut pas les confondre, et leurs noms faciles à retenir (pas toujours évident pour moi dans les mangas, j'avoue) !



Je pense hélas plonger pour la suite incessamment, ralala, je suis indécrottable... *soupir*



Relu le 25/01/18 : je l'ai trouvé encore meilleur que la première fois que je l'ai lu. Et comme je compte lire la série dans la foulée, c'est parfait !

Gôta est lycéen. Il ne supporte pas les gens qui ne respectent pas les lois. Un jour qu’il est mal engagé et qu’un homme est en passe de le tuer, il prend étrangement le dessus. Il se trouve qu’il a été choisi par Viktor, qui vient de lui sauver la vie, moyennant services à rendre. Gôta n’a d’autre choix que d’accepter les missions qui vont lui être confiées. Car Viktor n’est pas un homme comme les autres : il peut jouer sur l’espérance de vie et est doté de pouvoirs…

Un premier tome parfois un peu confus : l’auteur ne prend pas spécialement le temps d’installer son scénario, ne perdant pas son temps en explications qui seraient pourtant salutaires (si on n’a pas lu la 4ème de couverture, on peut manquer d’informations.) On peut imaginer que les tomes suivants ( 4 au total) nous en apprendront plus sur les rois de la magouille qui œuvrent dans l’ombre et dont on ne connaît pas encore la véritable nature (démons ? surhommes ?)

Beyond Evil, une belle découverte. C'est grâce au magazine Animeland que j'ai eu envie de lire ce manga et je les remercie !

C'est l'histoire de Gôta, un lycéen avec un sens aiguë de la justice qui va rencontrer Viktor, un être charismatique, sombre, et aux pouvoirs surprenants. Viktor va lui proposer de devenir son assistant... Il est un des plus puissants démons qui passent des contrats avec des mortels pour échanger des années de vie contre de l'argent.

Gôta et Viktor sont des personnages attachants et plein de mystère ! L'histoire est bien rythmé et les dessins sont très bien.

L'histoire aborde les thèmes de la valeur de la vie, de l'argent et du capitalisme.

J'ai hâte de lire le tome 2 ;)

Une collection en 4 tomes.