J'ai deux grands frères, Sim et César. Quand je suis née, ils ont dit : "Les filles sont des poisons, on l’appellera Toxinette."
"On n'aime pas l'eau ! Arrête ! Ça mouille !"
"Au secours ! Il ne faut pas laver mon chiffon !"
" Les poissons vont me rentrer dans les oreilles !"
Mais Maman dit qu'une douche n'a jamais tué personne
et que c'est comme ça et pas autrement.
“Il y a des jours, comme dit Papa, où la vie est une tartine de confiture tombée par terre du mauvais côté.” (p. 10)
Donne-moi la patte, Mariette...
Soupir, est-ce que tu dors ?...
Réveille-toi Soupir, je m'embête...
En luge, ça va plus vite. L'été aussi, on peut faire de la luge.
Et l'été, c'est comme l'hiver, on peut se casser la margoulette.
- As-tu peur, Soupir ?
- Et toi, Mariette ?
- Non, pas-pas du tout, et toi ?
- Non, moi-moi non plus. Nous cou-cou-rageux.
Tristan vole au-dessus de la fête, il est comme un géant et il est sûr d'une chose : Pivoine est bien une fée.
Alors tu viens Soupir ! Et quand tu bailles, mets ta patte devant ta bouche, je te l'ai déjà dit.
"Venez, venez, dit Maman, "quand il y en a pour neuf, il y en a pour dix-sept".