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Citations de Jaci Burton (64)


" - Tu es sérieux ? Si tu commences à t'attaquer à chaque mec qui me regarde, le voyage risque d'être long. Laisse tomber, Diaz.
- Ce sont des connards qui n'ont pas le droit de te regarder comme ça.
- Peut-être, mais tous les mecs font pareil, non ?
- Pas tous.
- Sérieusement, fit-elle en haussant les sourcils. Tu n'as jamais maté le joli cul d'une fille ?"
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Chapitre 1 :
" - À ton tour, Patrick, lança Avery.
Il joua son coup et, lorsqu'il eut terminé, il attrapa une autre bière pour se repositionner contre le mur, tâchant de ne pas observer Stella de manière trop flagrante tout en la gardant à l'œil malgré tout.
La jeune femme, encore en grande discussion avec son amie, ne lui avait toujours pas glissé le moindre regard.
Il brûlait d'envie de lui parler. Il pouvait bien aller lui dire bonjour, ne serait-ce que par simple politesse, non ? Le contraire aurait été grossier, et il n'avait rien d'un rustre. Après tout, ils se connaissait bel et bien ; au pire, il prétexterait devoir se coucher de bonne heure... avec ou sans elle.
Il s'éloigna du mur et se dirigea vers les deux jeunes femmes."
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La couverture est sympa
C'est tout!
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Le réel aurait tout le temps de reprendre le dessus. Le moment présent, elle le dédiait sans réserve au désir, à la passion, au sexe débridé, au plaisir pur que lui procurait cet homme qui comptait de plus en plus pour elle.
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Personne ne tue sans raison. Même la folie a une cause. Une origine familiale, un choc psychologique...
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Ils n'étaient pas destinés à se revoir, à l'issue de cette semaine. Ils menaient des vies différentes, dans des mondes différents. Et puis, l'amour, il n'y croyait plus. Pour lui, ce n'était qu'un rêve improbable appartenant à un passé révolu. Les relations sexuelles lui suffisaient amplement.
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Tenir le coup et vivre sont deux choses différentes, tu sais. Tu possèdes une fougue, un goût naturel pour la vie et ses plaisirs que tu laisses inexploités, dans ce trou où tu habites.
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Enfin, un amant parfait pour le sexe. Rien d'autre. Et pour une semaine, pas plus. Elle devait bien garder à l'esprit que cela était temporaire et seulement sexuel. Quand ce séjour serait terminé, ils se sépareraient et retourneraient à leur vie respective. De tout cela, elle ne ramènerait au Kansas que des souvenirs.
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La nuit dernière, il avait failli se masturber tellement elle l'avait allumé.
Oui, elle l'avait rendu fou de désir plus vite et plus fort qu'aucune femme ne l'avait fait jusqu'à présent. Il n'avait cessé de gigoter dans son lit sans parvenir à dormir, obsédé par l'idée d'insinuer son sexe endolori entre ses cuisses si douces, prenant ce qu'elle lui offrait sans retenue. Il s'était fait violence pour ne pas se lever, défoncer sa porte et lui dire qu'il voulait la prendre. Tout de suite.
Mais, lui ayant demandé d'attendre le lendemain pour se satisfaire, et sachant quelle épreuve elle s'était infligée en acceptant, il s'en était gardé.
Ce genre de torture était une arme à double tranchant.
S'il n'était pas complètement idiot, il aurait tout simplement fait l'amour avec elle, hier soir, et ne serait pas là, ce matin, avec l'impression que son bas-ventre pesait une tonne.
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Elle n'était pas une femme aux mœurs dissolues, elle était seulement en manque. Ce soir, au cocktail de présentation, elle les passerait en revue et en choisirait un qui l'exciterait. Ce qui ne devrait pas être difficile, étant donné l'état de chaleur dans lequel elle se trouvait.
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Vivre des expériences sexuelles anonymes était une chose. Les vivre avec quelqu'un qui partageait votre suite pendant une semaine en était une autre. D'un autre côté, cette solution lui permettrait au moins de rester. Et puis, la brochure précisait bien que la plupart des activités ne se déroulaient pas dans les chambres privées. Alors...
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Changer de vêtements, s'exposer à une aventure sexuelle ne suffiraient pas à masquer son inexpérience totale en la matière.
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Loin d'être un sex-symbol, elle n'était pas le genre de fille que les hommes se bousculaient pour aborder. Ce séjour s'annonçait comme un vrai désastre. Que s'était-elle imaginé ? Qu'elle se métamorphoserait comme par magie à la minute où elle mettrait un pied sur l'île ?
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Les femmes étaient faites pour le sexe et le divertissement. Pas pour le long terme.
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Bon, c'était fini entre eux, de toute façon. Il s'était bien amusé avec elle, sur le plan sexuel, mais elle n'avait rien dans le crâne, et ce n'était pas désagréable d'avoir une conversation intelligente avec une femme, après l'amour.
Il lui faudrait quelqu'un capable de le satisfaire aussi bien physiquement qu'intellectuellement. Cela ne lui était pas arrivé depuis... Marie. Il pensait avoir trouvé en elle la femme idéale, et cela s'était terminé par un divorce douloureux.
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Chapitre 1 : De nos jours :
" - Je crève de soif et tu fais encore ton jolie cœur, se plaignit-il.
Pax se tourna vers lui et lui passa bouteille de bière.
- Je n'y peux rien si cette beauté a engagé la conversation avec moi.
L'air entendu, AJ prit sa bière et e tourna vers la serveuse, s'apprêtant à la baratiner sur le comptoir.
La fille qui draguait Pax n'était pas une inconnue.
C'était Teresa ! Teresa Oliviera. La femme pour qui, même s'il ne voulait pas se l'avouer, il était vraiment revenu."

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Elle commença à étaler sa sélection sur une table, puis s'arrêta et le regarda.
- Ne reste pas là comme ça, déshabille-toi.
- J'adore qu'une femme me dise des trucs obscènes.
Elle leva les yeux au ciel et retourna près du portant. Quand elle se retourna. Drew retirait le haut. Au moment où l'étoffe couvrit sa tête, son regard s'attarda peut-être un peu trop ses abdos …
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– Désolé, poupée, mais tu n’es pas l’homme de la situation.
– Et pourquoi ça ? répliqua-t-elle en croisant les bras.
– Eh ben, regarde-toi. Un tailleur-pantalon large et de couleur sombre, avec Dieu sait quel genre de corps en dessous, un chignon, sans une seule mèche rebelle. Ton visage est tellement tiré à quatre épingles qu’on dirait que tu as un balai coincé dans le derrière.
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Pour une meilleure efficacité, une équipe se doit d’être soudée. Un seul bouton dévissé suffit à faire dérailler la machine entière.
(p. 156)
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Elle tourna les talons et se dirigea vers sa voiture, consciente qu’il la regardait toujours. Il resta là, mains dans les poches, tandis qu’elle s’installait au volant et s’éloignait.
Quel con ! Elle était littéralement en feu après ce baiser, et elle allait devoir se faire plaisir toute seule en arrivant à la maison.
Plus jamais elle ne le laisserait l’embrasser
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