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4.17/5 (sur 12 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Jacques Bonvin est spécialisé dans la recherche énergétique des lieux sacrés.

Dans "Église romane, lieu d'énergie", ses recherches portent essentiellement sur les liens existant entre l'énergétique et la symbolique.

Parmi toutes les motivations qui ont pu animer les anciens bâtisseurs, il nous invite à en contempler certaines, méconnues ou inconnues : édifier l'église en harmonie avec son lieu d'implantation, y inscrire la course du soleil, les cycles de la lune, afin qu'elle se mette au service le plus efficace de la vocation théologique et spirituelle du lieu.

Jacques Bonvin s'est également passionné pour les Vierges Noires., les Mégalithes et autres pierre levées...

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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Dans l'église romane, l'énergie descend des voutes, dans la cathédrale gothique, elle monte vers le ciel...() en réalité on peut dire, en nous plaçant sur le plan spirituel que ces deux styles, représentent les deux phases de la respiration de Dieu. Le roman, c'est l'inspiration et le gothique l'expiration.
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Par ailleurs, l'héritage celte a laissé derrière lui, l'empreinte d'une mythologie différente de celles des Grecs et des Romains. Pour eux, la représentation de la divinité sous une apparence humaine était hors de leur concept... Représenter la divinité était pour lui (l'homme celte), la preuve d'un esprit peu avancé en spiritualité et ne connaissant pas les réalités métaphysiques.
De plus, une grande partie des cultes à la Mère des Dieux, Dana, s'est trouvée transposée tout naturellement dans le culte de sainte Anne, la mère de la Mère de Dieu.
Le schéma est fort simple, beaucoup de statues disparurent païennes au V° siècle pour réapparaître chrétiennes vers le XI° siècle. Mais avec une différence fondamentale : l'apparition d'un courant structuré par les moines bénédictins qui vont précisément, on pourrait même dire scientifiquement, implanter sur le territoire un réseau de statues, qui devinrent les Vierges Noires.
Issues de la tradition celtique, continuatrices des enseignements atlantes, qui avaient en partie disparu et que les moines retrouvèrent au contact de l'Orient.
...
...les cultes à la Vierge Noire, (sont) la continuité des cultes romains aux Déesses-Mères, comme Cybèle, Isis, Diane, Hécate ou Latone. (selon Emile Saillens).
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Jacques Bonvin
Par ailleurs, l'héritage celte a laissé derrière lui, l'empreinte d'une mythologie différente de celles des Grecs et des Romains. Pour eux, la représentation de la divinité sous une apparence humaine était hors de leur concept... Représenter la divinité était pour lui (l'homme celte), la preuve d'un esprit peu avancé en spiritualité et ne connaissant pas les réalités métaphysiques.
De plus, une grande partie des cultes à la Mère des Dieux, Dana, s'est trouvée transposée tout naturellement dans le culte de sainte Anne, la mère de la Mère de Dieu.
Le schéma est fort simple, beaucoup de statues disparurent païennes au V° siècle pour réapparaître chrétiennes vers le XI° siècle. Mais avec une différence fondamentale : l'apparition d'un courant structuré par les moines bénédictins qui vont précisément, on pourrait même dire scientifiquement, implanter sur le territoire un réseau de statues, qui devinrent les Vierges Noires.
Issues de la tradition celtique, continuatrices des enseignements atlantes, qui avaient en partie disparu et que les moines retrouvèrent au contact de l'Orient.
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...les cultes à la Vierge Noire, (sont) la continuité des cultes romains aux Déesses-Mères, comme Cybèle, Isis, Diane, Hécate ou Latone. (selon Emile Saillens).
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Ext rait sdu chap itre III :LA MÊ ME RECHERCHE DE LA LuMIÈREL' ÉGL ISE RO MANE DE DANG EA u:Ixesiè cl eL'ég lise roma nedeDang ea uapend ant très long temps été rel ég ué eau ran gd'é gl ise mi neure, voireoub liée .Il afallu lares ta ur ation intelligente d'un abbé, amoureuxvi si onnair ede son église, pour quel'ondéco uv re là, unchef-d ’œu vre d'a rchitecture,par mi les plus pur sde l'ar troma n. Pour la découvrir,il faut par co urir les co teaux et les vallée sdu Pe rche, pour arr iver à30 km ausud de Chartres au vi llag ede Dan -ge au.L' égli se est basse ,imp osa nt eau premier abo rd avec son large ch evet roman pr olo ngé en ouve rture par troi sab -sidi oles aux fenê tr es étroite s. Si l'on exc ep teles représentations sculp tée sdu portail roman ausud, c'est l'a ustéritéqui rè gne en ma ître àDangea u. Au porta il occid ental ,une si mp le porte, encad rée d'un por tai làtriple rouleau ouv resur lane f. Pas dechapiteau,ni de décorat ionostentatoire.tout est ca nalisé par la simplici té du plan. Pousséela porte ,c'e st lerèg ne de l'épure àl'état bru t,des piliers mas sifs et de gr andes ar ca des ry thmen tle lieu et rien d' aut re, dépouil -lem en tetsimp licité règ nent en ce lieu qu en'aurait pas refus ésai nt Ber nar d, tant tout va àl'essenti el.La forc ede l'église de Dan geau ,c'e st la simplicitéde saréalisation,àpar tir d'un plan sim ple qui aparfaitementintégrétoute slestra ns formationsimp os ées par les modifications et restaurationssuccessives,sans que jamai sla forme initiale ne soitaltér ée.Le pri euré de Dangeau aét éfondé parle «Grand Monast ère »Majus Monast érium ,c'est -à-dire Marmout ier près de tours,dont l'im po rt an ce futco ns idéra ble auMoyen Âge .Fo ndé en 372 par saint Martin, sa réputationgrandit au poin td'êtr eun desmo na st ère sles pluspuiss ants de l'ou est dela France avant son abs orption par Clun yauxesiè cl e.C'e stver sles années 1050 qu eles moines du Gr and Monast ère entreprir ent un ecam pagne gigantesq ue de défrichementet deco nstr ucti on d'é glise set d'abbay es don tle pr ieuré fit partie.Àl'ép oqu e, le vill age s'ét ait re con st ru it sur un ancien castr um qui s'appe lai tDani olo ou Dangeolum,qui serait un eform econ trac -té ede Domnus Georgius ,le seign eur Georges ,saint Georges qui setrouve représentéterrass ant le drag on, sur le seul chapiteausolairedu port ai lsud.La pr emière égli se, co mme l'ont dém ontré les fouilles, ét ait carolingie nne. En 1064, lechevalier Herl ebau lt de Da ngea uest mis àma lda nsun tourno i. Il demande alor s, av ant de mourir àse faire moine et pour cela fai tdon aux religieux de Marmout ier d'un epart ie de ses bien setde lamoi ti édes dr oits qu'il dé tenait su rl'église de Dange au, afin que les moi ne sen possèdentalors l'ent ière propr iété. Son frère Eudes de Dan -ge au ap pr ouve la do nation et bless éàmor ten 1069, il prend égalementl'habi tmonast ique avant de mourir. Les moines du Grand Prieuré se re -tr ouven tal ors maîtres d'œuv re et ent re prennent la recons tr uction du prieur é.Si lanouve lle égl ise s'est app uyée sur le mur préromanoue st du chœur, il ne re ste aucune tra ce de la str uctur ecaroling ien ne origin elle, qui aétéinc orpor ée dans la nouvelle cons tru ction .Des fouilles ont per mis de faire apparaî tre les murs et piliers carolin giens (voir plan) mais ils ont été re -couve rts par la sui te .Néanmo ins letrav ail archéologiqueapermis de co ns ta ter que les bâtisseursont par faitementconse rvé et l'orientationetlastr uct ure origine lles de la premiè re ég lise dont le plan s'insc rit remarquableme nt dans le quadrilatèresolst icial du lieu (Fig. 1) .
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L'addition de tous ces faits laisse, de plus, apparaître une tradition commune quasi universelle dans le fond et très rapprochée dans la forme, quant à la représentation de la Déesse-Mère et de son symbolisme de déesse de la fécondité. La Vierge Marie devenant avec l'apogée du christianisme sa dernière représentation iconographique.
...
Les premiers croisés étaient surpris de trouver en Orient des cultes de la Vierge Marie. Il s'agissait le plus souvent de représentations de la déesse Isis et d'Horus...
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Sans eau, il n'y a pas d'église.
Toutes les églises, nous l'avons vu, sont construites par rapport aux réseaux géomagnétiques, mais aussi par rapport aux rivières souterraines qui apportent à l'église l'information de l'eau, source de vie, moyen de purification et centre de regénérescence.
Et ce besoin est le propre de tous les monuments qui ont été sacralisés par l'homme pour honorer sa divinité.
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L'église de par la volonté des bâtisseurs est bien cette étendue privilégiée : l'arche d'alliance par laquelle les hommes vont pouvoir passer du monde visible au monde invisible, car pour passer de la terre au ciel (cet au-delà intérieur) il faut un navire et l'église est cette nef renversée qui flotte sur les eaux du ciel, mais bien ancrée dans les eaux de la terre.
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Tout d'abord, dolmens, menhirs et autres pierres plantées, ne sont pas une spécialité celtique. Il en existe des dizaines de milliers dans le monde entier : de la Bretagne au Japon et de la Suède à l'Afrique, sans oublier les autres continents, l'Amérique, et la Chine.
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Chaque fois qu'il faut mesurer les énergies d'un lieu, sacré ou non, et quelque soit la table qu'il utilise, le géobiologue se trouve confronté à deux types d'énergies différentes: une énergie tellurique qui monte par attirance cosmique et qui est évolutive, et une énergie cosmique qui descend et qui est, elle, involutive. La première nous permet de nous libérer de notre carcan terrestre et nous élève physiquement et spirituellement, la seconde nous rattache de gré ou de force à la matière, imposant une ligne de force à notre incarnation. On pourrait dire, si on en faisait une lecture karmique, qu'elle nous impose notre part d'humanité à vivre.
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Les Menhirs font partie d'un mystère encore plus grand, dans la mesure où ils n'ont rien révélé sur le plan fouille archéologique. Ils sont bien souvent complémentaires du système dolménique. Des fouilles récentes près du dolmen de la Table des Marchands à Locmariaquer, ont permis de découvrir des fosses de calage qui démontrent qu'une demi douzaine de grands menhirs était dressée en ligne près du dolmen.
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