Les bêlements, les cris de terreur de ses animaux lui parvinrent. Ils s'enfuyaient, ou cherchaient un refuge illusoire entre les murs de la maison. Il ressentit pour eux une tristesse comparable à la pitié qu'il éprouvait pour toute les créatures vivant sur cette planète, si merveilleuse et si maltraitée.
Il tomba à genoux quand les eaux firent irruption dans la vallée, dans un tumulte terrifiant qui interdisait d'entendre tout autre bruit.