Jean-Christophe Réhel

La poésie de Jean-Christophe Réhel est une éruption de mots en ébullition, un magma d'images incongrues et de collisions d'idées. Je dois dire que je préfère habituellement les poèmes un peu plus préhensibles, dont le sens est moins volatile. Cependant, mes résistances mentales ont vite cédé. J'ai laissé ma raison derrière et je me suis laissé emporter par cette coulée poétique surprenante, fascinante, presque hypnotique.



Même si tout n'y est pas léger – il est notamment question de la maladie chronique de l'auteur –, le champ lexical estival et coloré évoque vaguement le soleil et les vacances. Ce recueil est comme un palmier qui aurait poussé entre les craques du trottoir!

Je n’ai pas de mot qui pourrait vraiment décrire mon émotion sur ce roman. Au début, j’ai vraiment eu du mal à comprendre la plume de RÉHEL sachant que ce fut le premier livre que je lisais de cet auteur. Au fur et à mesure que je tournais les pages, j’ai vraiment été captivé par les pensées du personnage principal et ainsi être transporté dans la vie quotidienne d’un homme avec de sérieux problème de santé (fibrose kystique).



J’ai passé de fou rire à imaginer ses pensées à des moments où je me sentais très inconfortable mais il y avait toujours une lueur d’espoir dans ses paroles. Je ne sais pas si je serais aussi capable et forte à être dans la situation auquel cet homme fit face au quotidien.



Merci à l’auteur de m’avoir fait ressentir un tourment d’émotion mais aussi me faire comprendre que la vie est vraiment imprévisible. Le personnage principale a vraiment des moments aussi inattendu d’un jour à l’autre et ça nous donne envie de faire parti de ses péripéties.



Bonne lecture ! 😊

C’est un livre qu’une gentille personne m’a passé avant d’avoir eu la chance de le lire elle-même et, ne connaissant pas l’auteur, je ne m’attendais à rien, mais La blague du siècle a fini par être un très bon moment de lecture. Chaque fois que je reprenais le roman, j’avais hâte de les retrouver, Louis, Guillaume et Sylvain. Je les ai aimés tout de suite, tous les trois, dès le début. Ils m’ont fait rire, m’ont fait sourire, et leurs malheurs m’ont touchée droit au cœur. L’histoire est intéressante, drôle et touchante. Les mots coulent bien, poétiques. Et le parler est proche voisin du mien. Que demander de mieux ?

Gros gros coup de coeur! La première de couverture me faisait peur et je n'étais pas portée à avoir envie de le lire (comme quoi il faut faire attention de ne pas se laisser influencer par les apparences. Et après lecture, cette couverture est plus que parfaite!). Heureusement, grâce aux avis dithyrambiques sur ce roman, j'ai craqué et j'ai TELLEMENT bien fait! C'est le genre de livre que je souhaiterais ne jamais avoir lu, pour avoir la chance de le lire pour la première fois.



C'est une histoire d'amour familial exceptionnelle : Louis, 35 ans, est proche aidant pour son père qui est affaibli par un cancer en phase terminale et son frère Guillaume, de 5 ans son cadet, qui est atteint de schizophrénie. Sa vie n'a rien de rose mais il réussit à survivre grâce aux humoristes qu'il va voir dans les bars ou qu'il écoute sur son cellulaire...et surtout pour son amour inconditionnel pour les siens.



Il est rare que je suis aussi émue d'un bout à l'autre d'une lecture, avec toute une gamme d'émotions mélangées. Je passais constamment du rire aux larmes, ou les deux ensemble. Louis est franchement drôle, même dans la tristesse et le découragement le plus profond. Il possède une résilience incroyable, il est toujours capable de dédramatiser toutes les situations malgré la détresse qui l'habite. Cet auteur a un talent fou pour faire ressortir la lumière de l'ombre. Louis me manque déjà, vous savez, comme quand on termine une lecture en ayant l'impression de quitter un bon ami. Chapeau!

Un texte âpre, vibrant, entre court roman et long poème, il tient son lecteur à hauteur de la souffrance exprimée dans un univers de l’écrit qui piège celui qui ne le possède pas. À lire pour apaiser des souffrances, à recommander aux adultes et éducateurs pour favoriser une juste compréhension du mal-être de certains jeunes.
Lien : https://www.ricochet-jeunes...

Rire aux éclats et avoir envie de fondre en larmes dans un même passage, tout au long d’un même livre. Peu d’auteurs peuvent générer cet effet.



Une plume singulière, une prose sans concession. Jean-Christophe Réhel a réussi à décrire un quotidien ordinaire en le rendant poétique.

Le roman raconte l'histoire d'un jeune homme qui souffre de fibrose kystique. Son quotidien difficile est dû non seulement à sa maladie, mais aussi à sa difficulté à joindre les deux bouts et à la solitude. Il adore la série Star Wars. Cette dernière suit en parallèle le personnage tout au long de notre lecture. La série devient la base de l'imaginaire de la vie idéale du personnage. -Tout serait donc mieux si je vivais sur Tatouine...-. L'humanité du roman est prenante. J'ai admiré l'imagination du personnage, j'ai été touché par sa solitude, j'ai découvert une vie rythmée et limitée par la maladie.

Quel magnifique roman! C’est véritablement un livre difficile à arrêter. Les personnages sont incroyables, nous nous y attachons beaucoup.

J’ai moins aimé que le tout se déroule dans le monde de l’humour : c’est difficile écrire de l’humour pour quelqu’un qui n’est pas humoriste et les passages où des humoristes sont sur scène sont moins crédibles.

Mais pour le reste, j’ai beaucoup aimé

Le nouveau roman de Jean-Christophe Réhel qui avait écrit Ce qu'on respire sur Tataouine. Un autre très bon roman de cet auteur. L'ambiance est lourde considérant la situation des personnages. On retrouve des thèmes similaires au premier. Les descriptions des personnages est réaliste tout comme les évènements. On a envie de secouer le personnage principale par moment, mais on comprend aussi ses hésitations. Je le recommande.

Ce n’est que vers ses dernières pages, alors que l’auteur met en œuvre une prose plus libre, que le sens de Taureau Taureau se révèle. Le talent littéraire de Jean-Christophe Réhel est éminent, mais ne semble pas atteindre son potentiel dans les formes succinctes.
Lien : https://www.lapresse.ca/arts..

C'est le quotidien d'une personne atteinte de la fibrose kystique. C'est aussi l'histoire d'un anti-héros. J'avais parfois de la difficulté à m'attacher au personnage principal tellement je ne le trouvais pas fiable à certains moments. Au final, j'ai développé de l'empathie pour lui, car il déballe petit peu par petit peu ses émotions et ses rêves.

Le récit est bien écrit, ça coule bien malgré la lourdeur du propos. Une belle lecture.

Poèmes au contenu sympathique mais inégal. Le thème, l'arrivée d'un adolescent e en secondaire 1, est plutôt original. On ressent les émotions du personnage, perdu autant physiquement que mentalement dans le nouvel édifice. Il trouve son passage difficile lui qui n'est ni doué, ni populaire.

Le nouveau roman de Jean-Christophe Réhel porte bien son nom : "La blague du siècle". De fait, on s’y amuse ferme et on en est bien surpris tant la trame du récit est sombre à souhait.
Lien : https://www.journaldequebec...

Lien : https://youtu.be/Wst3ERNxKWg

Excellent. Entre l'autobiographie et la fiction.

Poésie belle et sombre d'un ado qui se cherche, qui se sent martien, avec une courte et rapide fin lumineuse.

Avec beaucoup de doigté et d’authenticité, Jean-Christophe Réhel propose une suite d’incursions dans le quotidien un peu anxieux d’un élève de première secondaire qui découvre un nouveau monde et doit en apprendre les codes, les apprivoiser, les faire siens.
Lien : http://sophielit.ca/critique..

Une histoire crue sans faux fuyant. Un homme en état de survie que l'on accompagne dans ses pensées non sensurées . Un vie sans espoir remplis de solitude qui nous fait pleurer, compatir et sourire. Quel plaisir de faire ce voyage jusqu'au bout avec lui!

Dans son roman publié aux éditions Del Busso, Jean-Christophe Réhel décrit avec poésie et humour la vie d’un personnage aux prises avec la fibrose kystique. Le livre explore les thèmes de la solitude, la fatigue et la maladie.
Lien : https://www.journaldequebec...

Il y a dans cette langue à la fois familière et improbable qu’il invente toute la joie d’être en vie et toute la tristesse des deuils de chaque jour.
Lien : https://www.ledevoir.com/lir..