A présent les journées résonnent d’un silence à jamais grandissant. A présent les nuits sont plus longues que jamais. Parfois je suis saisie d’un désespoir si immense à la pensée d’avoir abandonnée Eli que j’arrive à peine à respirer. Et parfois, je rougis de honte de l’avoir aimé, de m’être tordue et tortillée contre lui. Et puis ça passe, et il me manque à nouveau.