En l'absence de circulation sur la route, pour ne rien dire de la voie ferrée (bien que la FINUF se vantât d'avoir rétabli l'activité ferroviaire entre Langogne et Villefort, mais il fallait patienter longtemps pour s'en apercevoir ) , on n'y entendait d'autre bruit que le murmure des eaux, ou celui du vent dans les sapins qui garnissaient, en hauteur, la rive opposée de l'Allier.