J’aime que l’on me parle de ça,
Je tombe sur le Pensionnat de Jérôme Kob,
Il me parle de ça.
Il me parle de ça, il me parle de sexe.
Il me parle de Camille, de ses envies câlines, coquines.
Il me parle de corps à corps sensuels, irrépressibles.
Oui j’ai pris plaisir à lire ce roman érotico
pornographique.
Oui le désir est aussi une histoire de savoir-faire, d’apprentissage.
Oui Camille, l’héroïne, parvient à m’envouter malgré son jeune âge.
Sans doute sa naïveté, proche de la mienne parfois, m’a séduit. Je devine toute son intimité avec gourmandise.
Oui certaines scènes m’ont émoustillés jusqu’à me chauffer l’esprit puis le corps.
C’est à ce point que je m’en souviens, là maintenant.
Oui l’odeur du péché traîne sur les pages
Mais elle n’empêche rien, elle ne retarde rien.
Oh oui il faut lire jusqu’au bout les envies sexuelles de Camille. Lisez ces coquineries, câlineries. Vous risquez juste d’être ému.
Oui cette chronique est courte, pauvre en vocabulaire.
J’ai la flemme, inutile d’en dire plus.
Non je ne pense pas lire cet auteur Esparbec ou Georges Pailler. Je ne m’en donnerai pas le temps, sorry.
Je signe trois étoiles pour encourager Jérôme Kob et le remercie d’écrire un nouveau roman du même style.
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Maintenant que je l'ai lu, je comprends un peu mieux pourquoi personne n'avait osé critiquer ce livre ... Les descriptions sont très osées et très détaillées, l'histoire n'est pas foncièrement passionnante mais se lit très facilement. L'initiation à la sexualité de ces jeunes me parait carrément exagérée et (suis je naïve ?) impossible.
Me reste une question ... L'auteur est-il réellement un homme ? Parce que ça expliquerait certains fantasmes que je trouve typiquement masculin.
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Le pensionnat / Jérôme Kob
Camille, la narratrice, a quinze ans et déjà très avide de découverte sensuelle. Le diable au corps, elle est prête à toutes les audaces pour connaître le plaisir ; elle est sanctionnée par ses parents qui la soupçonnent de se livrer à de petits délices entre copines. Elle est expédiée dans une pension réputée pour sa sévérité afin qu’elle retrouve le droit chemin. Mais bientôt le dortoir se révèle être un lieu de jeux voluptueux, de fantasmes assouvis et d’initiation érotique dès que les lumières sont éteintes.
Un texte court qui se lit d’une traite et remet à l’honneur la légende du pensionnat, lieu de toutes les « turpitudes » selon certains, d’initiation à la vie sexuelle pour d’autres.
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