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Critiques de Jérôme Peyrat (31)
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Jour blanc

Aleqa l’inuit trouve une oursonne en piteuse état lors d’un déplacement en motoneige. Elle recueille l’animal, la nourrit, la met à l’abri des prédateurs. Progressivement l’animal se requinque, joue avec un loup et Aleqa dévoile un joli ventre arrondi. À l’apogée de sa grossesse, Aleqa assiste aux retrouvailles entre la jeune oursonne et sa mère. Un bel album qui laisse la part belle à la technique du papier découpé (les différents aspects des papiers utilisés apparaissent et c’est très joli à regarder) et aux crayons. Une histoire qui parle de confiance, de lien mère/fille et de protection des animaux.

J’ai aimé l’histoire toute douce et le rendu des illustrations qui nous plonge dans l’ambiance des contrées glacées.

À partir de 5 ans.
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Jour blanc

Aleqa est une jeune inuite qui attend un enfant. Lors d’une virée sur la banquise, elle trouve une oursonne blessée et abandonnée. Elle va la ramener dans son village pour la nourrir malgré les avis contraires et lui permettre de reprendre des forces. Pourquoi agit-elle ainsi ? Sans doute que l’enfant qui bouge dans son ventre oriente son choix.

Bien sûr, malgré les dangers qui rôdent tout finira bien et la petite oursonne retrouvera sa mère et la vie sauvage.

L’oursonne n’a jamais de nom propre et Aleqa reste toujours à distance, sans doute pour montrer qu’elle ne peut être domestiquée et doit retourner à l’état sauvage. Dommage que cela ne soit pas dit clairement.

Une belle histoire sur la maternité, chez les animaux et chez les humains. Elle fera écho chez les plus petits qui craignent l’abandon de leur mère. Oui, c’est rassurant d’apprendre qu’une

maman sauve son petit et revient le chercher.

Les dessins sont somptueux, sobres mais colorés sur des déclinaisons de blancs car la neige et la glace sont omniprésentes.

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Jour blanc

Tout d’abord, on est charmé par le dessin coloré et simple, qui est déjà une belle illustration de l’histoire.

Puis vient l’histoire, simple aussi mais pleine de bienveillance. On s’inquiète comme Aleqa la jeune inuite pour la petite oursonne qu’elle a trouvée abandonnée sur la banquise. Son cœur de mère la pousse à la protéger des prédateurs.

On suit les progrès de la petite oursonne qui retrouve sa vitalité et sa joie de vivre tandis que le ventre d’Aleqa s’arrondit.

L’oursonne finira par retrouver sa mère. Elles s’enfonceront dans le grand blanc de la banquise.

Une histoire pleine de tendresse qui peut être racontée aux plus jeunes car elle parle du sentiment maternel et de l’attachement.

Je remercie Babelio Masse critique et les éditions Père Fouettard pour ce bel album.



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Jour blanc

Cet album grand format (qui se passe avant « Grand Blanc » des mêmes auteurs) raconte avec délicatesse le sauvetage d’une oursonne, la vie dans le Grand Nord, la tendresse d’une mère humaine et celle d’une Ourse blanche. Le procédé graphique mis en œuvre, qui mêle gouache, pastels, crayons de couleur est encore plus appréciable grâce aux collages qui donnent du relief et de la profondeur. Un grand Oui.

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Jour blanc

Lors d'une sortie en motoneige, Aleqa trouve une oursonne blessée. Elle va la recueillir, la soigner et découvrir ce qu'il lui est arrivé.



Écriture : C'est une belle plongée dans le monde inuit moderne (il n'y a pas de date précise mais on sent que c'est contemporain) et sa proximité avec l'Ours. Un côté réaliste qui n'empêche pas la fable de l'entente possible entre l'humain et les autres animaux.



Illustration : Les couleurs sont belles. Je ne sais pas quelle technique de dessin (crayons, numérique, peinture ?) mais on voit qu'il y a des collages qui donne une sorte de relief très réussi et très vivant.
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Jour blanc

Un très bel album en papier déchiré qui nous fait ressentir la dureté et le froid de cet environnement polaire, avec aussi des couleurs vives et douces qui accompagnent l’histoire. Aleqa retrouve pendant une sortie en motoneige une petite oursonne seule et blessée à l'œil. Aleqa est enceinte, elle a un petit ventre rond et tout de suite on ressent son envie de venir en aide et de ne pas laisser au prédateur cet animal en détresse. Elle va recueillir l’oursonne, la soigner, la nourrir et la protéger. C’est un animal sauvage, Aleqa garde un œil sur elle de loin, en laissant l’oursonne choisir un endroit près de sa maison.. Pendant ce temps de repos, le ventre d’Aleqa grossit, elle fait barrière aux prédateurs comme si cette oursonne était son futur enfant à naître! On sent la force de cet environnement polaire, dans les actes d’Aleqa, dans ce froid.. Un album dur et fort sur la force, le courage et la maternité.
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Jour blanc

Un album magnifique sur une oursonne polaire: perdue sans sa maman dans l'immensité polaire... Recueillie par une charmante inuit, qui la protège et la nourrit.



Un terrible prédateur veut s'en prendre à la petite oursonne sans force... Mais l'inuit veille et la défend de pied ferme!



Puis la petite oursonne reprend peu à peu des forces.

La grande ourse vient la retrouver et repart avec son bébé...

La maman humaine a aussi eu un bébé qu'elle tient dans ses bras à la fin du récit en images.

Un album rempli de tendresse sur le lien entre l'humaine et l'oursonne blanche. Superbe et attachant.



Challenge album jeunesse.

Challenge défi lecteur.
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Jour blanc

Le jour blanc, c'est celui où une petite oursonne blanche a vu sa mère se battre avec un grand ours blanc, lui intimant de fuir.

Blessée à l'œil, recroquevillée dans la neige, transie de froid, elle attend.

Le jour blanc, c'est celui où Aleqa l'a trouvée et l'a emmenée pour la soigner.



Chaque jour dans cette immensité blanche voit l'oursonne récupérer, se ragaillardir, reprendre des forces, grâce aux bons soins d’Aleqa qui sait garder ses distances.

Et chaque jour voit le ventre d'Aleqa s'arrondir.



Le jour blanc, c'est aussi celui du renouveau.

Quand la mère et la fille se trouvent et se retrouvent.



***



Malgré l’hostilité du froid, la rudesse des paysages glacés, malgré les dangers de cette nature sauvage et de l’ours blanc, cet album est empreint de douceur.

Symbole de pureté et de force, métaphore aussi, le blanc est partout présent.



Parce que l’animal, et en particulier un(e) ours(e) blanc(che), ne devrait pas être apprivoisé(e), domestiqué(e), parce sa présence ne doit être que temporaire, la petite oursonne n’a pas de nom.

Son caractère sauvage est préservé. Tous se tiennent en retrait, seule Aleqa s’avance, agit.



Ode à la maternité (animale, humaine), à l’entraide entre les espèces, cet album célèbre aussi le féminin et une sororité qui dépasserait les conditions. Le masculin (homme, ours blanc) est à peine visible, à peine mentionné et quand il l’est, il est crainte ou danger.



Incontestablement, le point fort de cet album est son graphisme.

On en prend plein les yeux, par son grand format et par ce blanc qui se décline en plusieurs nuances et textures, à commencer par le titre qui se découpe en creux dans la couverture, comme écrit dans la neige.

Jérôme Peyrat a entremêlé plusieurs techniques et matériaux pour nous immerger : différents papiers, effets de transparences, crayons de couleurs, découpes, collages et superpositions, pastel gras, et cadrages variés pour nous faire rester à la fois l’immensité de la banquise et l’intimité qui se déroule.

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Octave ne veut pas grandir

Octave a peur de quitter la poche de sa maman. Ses parents font tout le le faire sortir afin qu'il découvre la vraie vie.

Octave ne voit pas l'intérêt de sortir jusqu'à ce que l'on vienne lui expliquer l'intérêt du monde extérieur.
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Octave ne veut pas grandir

Octave est un petit kangourou qui a prit goût à la poche de maman-kangourou. Il ne la quitte plus, au grand désarroi de ses parents. Octave n’est plus un bébé, il doit sortir de la poche de sa maman ! Mais comment faire pour faire sortir Octave de cet endroit chaud, doux et protecteur ?…

Et oui, c’est dur de quitter la vie de bébé pour celle d’enfant ; c’est tellement rassurant d’être choyé par sa maman ; un livre qui permet de parler de cette période difficile avec ce sympathique kangourou.

c’est un peu dommage que le récit n’insiste pas plus sur l’intérêt d’Octave de quitter le nid douillet de sa maman pour la vie à l’extérieur mais l’histoire est plutôt réussie, les personnages attendrissants et les couleurs joyeuses ; une histoire donc très agréable à lire.
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Octave ne veut pas grandir

Octave est un petit kangourou qui depuis le jour de sa naissance, n'a jamais quitté la poche de sa mère."Ca sent bon, c'est chaud, c'est doux".

Octave grandit , grossit et sa maman se désespère. Mais Octave ne quitte pas sa place, malgré les conseils de sa mère et la grosse voix de son père.

L'autruche, le singe, le dingo, l'ornithorynque et le boa essaient de venir en aide à ces parents impuissants. Alors arrive le vieux porc-épic qui saura lui parler.



Un album pour aider les petits à grandir.
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