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Tome 02 – 294 pages - Parution : 1982
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Cette fois-ci, s’en est trop ! On est là et paafff on reprends directement à la suite du tome 1. Et cette soirée, c’était la soirée de trop. La soirée qui a fait partir la famille Lutz. Mais pourquoi exactement ?
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Reprenons un petit peu. Vous vous souvenez, la maison hanté tout ca tout ca ? Tout ce que tout le monde raconte en fait ?
Bah vous reprenez l’idée de base, vous rajoutez des éléments un peu chelou vous en faites une bonne tambouille et paafff voilà un second opus !
Pas le même auteur, pas le même noms des enfants, mais une légère impression de lire du sensationnalisme. Ou de la recherche d’argent. Soyons clair, je pense qu’il y a effectivement des choses surnaturelles qui peuvent se passer. Mais lààà, j’ai … Comment dire ? J’ai eu l’impression pendant toute ma lecture d’avoir : $$$ en fond !
En gros, on passe d’une maison hantée par un cochon aux yeux rouges à des monstres dans une cave et un incendie ?
Et avec toooouuuttt ca, la famille Lutz laisse leurs enfants pour partir faire des tournées médiatiques. MAIS ATTENTION. Ce n’est pas pour l’argent ?
Si nous parlions d’ailleurs du prêtre cité dans le tome 1 et 2. Ce prêtre n’aurait parlé qu’une seule fois à la presse pour dire ‘oui oui c’est vrai tout ca’. Bien sûr, en visage caché. Alors, il ne voulait peut-être pas de médiatisation autour de lui mais.. A partir du moment où vous avez des cloches sur les mains qui pètent, qui saignent, blablabla. Me voilà septique.
Si le 1er tome m’avait fait frissonner, le second m’a exaspéré. Donnc ! Je vais essayer de black-out ce tome 2 et me focaliser sur le 1er et les frissons que j’en ai eu !
Pastiches littéraires
"L'hiver, la Glavoise est un torrent boueux dont les flots tumultueux charrient des arbres morts, des rochers noirs et des sangliers surgelés. Pourtant, sitôt passées les dernières neiges de mai, elle se métamorphose en une rivière paisible qu'on traverse à pied sec au lieudit du Gué-de-la-Corde. C'est là que le voyageur qui arrive à Courtonac par la route de Saint-Hilaire franchit la Glavoise, au Roc-de-la-Châtre. Un peu en aval, la route en pierre traverse le moulin abandonné du père Plasson. Devant le triste spectacle des ronces qui dévorent les meulines à foulon et les flaterets à courroie, on a bien du mal à croire que, jadis, les ânes, les boeufs et les femmes de Courtonac déchargeaient là leurs ballots de bressac frais pour qu'on les y moulût. Solide comme un linteau, son éternelle bamborgne à la bouche, le père Plasson transformait ici les précieuses gousses en une fécule à cataplasme, délicate comme de la peau d'oreille et fraîche comme un cul de pouliche." "Les engoulevents de la Grange-aux-Loups" est un pastiche des romans signés:
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