Julio Ribera

axle munshine un haut fonctionnaire d'un monde parallèle au notre. et condamné à errer a travers les limbes a bord de son vaisseau d, argent.

son crime avoir rêvé, or sur sa planète les rêves sont interdits. avec son compagnon d, infortune musky ,un être masculin au début, qui après va devenir féminin. il font chercher ( chimeer ) la femme qui obsédé axle, et qu'il vois dans ses rêves. une bd dans la ligne de barbarella de foster. avec de l, érotisme,

du mystère. parut dans les années 70

dans le magazine circus , qui sera repris dans le magazine tintin a la fin de la parution de circus, mais sans le côté érotique. a la fin du 32 épisode les auteurs annonce un épisode qui doit clore la série et qui est toujours pas parut à se jours.

une bd plutôt innovante, pour les années 70 , mais qui a mon avis a plutôt mal vieilli.

mais certains épisodes sont quand même drôle, et plein de fraîcheur.

C’est une série de science fiction très seventies, entre sentiments peace and love et décors rococos. Une machination est montée contre Axle Munshine pour l’évincer du pouvoir, ça c’est plutôt classique, mais certains aspects, en particulier cette histoire de portes et de passage dans le monde des rêves laissent envisager une suite plutôt alléchante. Un premier tome prometteur, je pense qu’il me faudra lire la suite pour pouvoir mieux me rendre compte. Cependant, la colorisation de l’époque est franchement laide et agressive, j’espère que si un jour une nouvelle réédition est envisagée, cette série subira une recolorisation comme ça a été fait pour l”Les naufragés du temps”.

Il était une fois, l'Histoire de France. L'empire romain périclite et la Gaule se fait envahir par des hordes barbares venant de l'est. Ainsi arriveront les francs. Ainsi la Gaule deviendra France.

Voici une très ancienne série, datant tout de même de 1976, éditée par Larousse de manière mensuelle. Ce premier numéro va donc porter sur deux périodes : d'abord l'invasion des Huns avec son redoutable chef de guerre Attila et la chute de Rome. Puis sur le règne de Clovis qui petit à petit fera des francs une nation forte.

Nous n'avons pas d'histoire, mais l'Histoire avec un grand H racontée de manière un peu scolaire et condensée mais illustrée de cases où l'on trouve parfois quelques bulles. Je trouve le tout bien pensé et arrivant à garder une certaine dynamique. On nous apprend aussi bien les coutumes, le mode de vie que l'histoire des chefs et des guerres. Au final je connaissais assez peu ces périodes, j'ai été presque surprise d'en apprendre autant!

Il y a deux dessinateurs, un pour chaque période. Globalement cela fait assez vieillot, un peu démodé surtout au niveau de la couleur. Mais la première période illustrée par un certain Raymond Poïvet fait preuve d'un cruel manque de précision. Le fond est plutôt bon, on sent un bon coup de crayon, mais nous avons plutôt l'impression d'être face à une esquisse, à des croquis, que devant une bande dessinée terminée. Cela est flagrant sur les plans plus éloignés. la seconde partie illustrée par Julio Ribera fait plus aboutie.

Un bon ouvrage pour commencer à en apprendre plus sur cette période.

Le premier et le deuxième tome, c'est l'histoire d'un personnage qui tente de retrouver la femme de ses rêves (ce n'est pas une façon de parler, c'est vraiment la femme de son rêve). Et cela, dans un contexte de science-fiction et d'exploration de planète.



En tournant quelques pages de la bande dessinée, je m'attendais à lire un Philémon à la sauce Science-fiction. Je ne m'étais pas totalement trompé, mais avec moins d'originalité et une histoire d'amour ennuyante.



Le personnage principal est vachement ringard et son acolyte est insupportable (j’oserais dire «gossant»). L'accent aurait dû être mis sur la planète visitée, et non sur une histoire d'amour improbable et sur des personnages aux traits de caractère poussés dans les extrêmes. Ajoutons à cela, une dichotomie bien|mal qui manque de profondeur.



Le dessin fait pastel. Autrement dit, il est laid, et les couleurs également. Évidemment, il y a une volonté de faire comique. Prenons en exemple la mise en abyme dans le premier tome. Mais, le côté loufoque de l'histoire ne fait pas rire.



Bref, une bande dessinée où on peut passer notre chemin sans trop le regretter.

Dans son château de Transylvanie, Dracurella, fille adoptive de Dracula, ne rêve que de pouvoir vivre la vie d’une tranquille ménagère, entre époux, chien et équipement ménager du dernier cri. Boire du sang et se faire servir par les monstres du « peuple de la nuit » ? Très peu pour elle.

Un jour, tout bascule : sa belle-mère apprend que Dracurella est désormais plus belle qu’elle et demande au docteur Frankenstein d’envoyer sa créature la tuer. Ce sera pour la jeune femme l’occasion de fuir, non sans faire quelques rencontres sorties directement du folklore fantastique. Dans sa course, Dracurella rencontre un dragon qui tombe fou amoureux d’elle et notre héroïne, sensible aux doux yeux verts du reptile, accepte d’aller vivre dans sa grotte, réaménagée pour l’occasion en véritable petit nid douillet. Mais le monde d’où elle vient ne compte pas l’oublier si facilement…



Bande dessinée parodique vraiment drôle, les clins d’oeil aux contes et aux stars des créatures fantastiques arrivent en cascade, tellement que ce rythme nourrit le kitsch et l’absurde des situations où tout devient prétexte à en rajouter une couche.

Un album qui m’intriguait depuis longtemps par son titre et ses personnages aux costumes étranges sur la couverture. Comme j’en ai entendu plutôt de bonnes critiques, je me suis lancé dans la série. C’est une BD qui date quand même de 1975 et cela se ressent dans les dessins et un peu dans le ton général mais c’est quand même une bonne surprise. Axle Munshine et son compagnon Musky sont deux héros pas comme les autres et l’histoire de ce haut fonctionnaire déchu pour ses recherches sur les rêves est un vrai plaisir.

Je n'ai pas réussi à rentrer dans cette BD que j'ai trouvée terriblement vieillotte en tout points.

Les personnages sont ridicules ou insupportables, le dessin est kitsch (mention ++ pour certains costumes) et je n'ai pas trouvé l'histoire intéressante.

La mise en couleur est conforme à ce qui se faisait à l'époque : c'est criard et ça n'arrange pas les choses)

Je referme ce tome et je me garderai bien d'ouvrir le second.

Cet épisode d'histoire de France est centré essentiellement sur les Francs, avec, en protagoniste star, Clovis, représenté tel quel dans notre imaginaire collectif et ensuite Attila. Il s'agit d'un outil pédagogique efficace pour faire découvrir et aimer l'histoire, même aux enfants. J'ai découvert un extrait de cette BD en CE2 et c'était le fameux épisode du vase de Soissons. L'édition de cette BD est assez ancienne mais elle en vaut la peine! Tous les épisodes les plus importants de cette période sont présents, de l'invasion des Huns au baptême de Clovis. Vive l'histoire de France :)

Superbe collection illustrée de magnifiques dessins. Une série ancienne mais que l'on peut trouver en ebook. Idéal pour se rafraîchir la mémoire de manière ludique et attrayante.

Axle Munshine est un haut personnage de la Guilde. Il est Grand Conciliateur, et même si sa fonction n'est pas vraiment expliquée, on devine rien qu'au titre qu'il "touche un max". Il est de retour de mission avec un prince, enfant unique du dirigeant de la planète visitée.



On dit "enfant unique" car encore prépubère, Munschke n'a pas encore à choisir son sexe. Mais il est assez vif en paroles.



En revenant, Munshine met les pieds dans un complot visant à l'écarter du pouvoir. Et c'est d'autant plus facile qu'il contrevient allègrement aux lois. Par exemple, il explore ses rêves afin d'y rencontrer une jeune nymphe blonde. C'est la femme de ses rêves, au propre comme au figuré, car Munshine est persuadé qu'elle existe réellement quelque part.



Déchu et devenu paria, Munshine n'a qu'une option: partir chercher cette femme.



C'est limpide au niveau du scénario. Linéaire et rondement mené. Il y a une charge poétique assez considérable, et parfois un peu mal gérée (dans les couleurs). Aux dessins, Ribera est capable du meilleur... mais on a droit à quelque chose qui s'apparente parfois au pire, et c'est principalement dû à la mise en couleur, lassante assez rapidement et souvent digne d'un j-kaléidoscope psychédélique. C'est dommage car le trait noir et blanc de Ribera est impeccable. Une BD qui a mal vieilli, sans doute. Mais qui était déjà décalée lors de sa parution.

Souvenirs de la guerre civile en Catalogne période difficile où la famine, les idées politiques et la misère se côtoyaient au quotidien...cette bande dessinée est émouvante !

Elle est le reflet de la dure réalité pendant cette période. Il me reste à découvrir les autres tomes même si c'est triste....

Les aventures interstellaires d'Axle Munshine et de Musky continuent...

Dans des mondes tous plus étranges les uns que les autres, à bord du Dauphin d'Argent, Axle part à la recherche de Chimeer, une femme qu'il aime, mais qui n'existe pas... alors que Musky, qui l'accompagne, enfant androgyne qui n'a pas encore décider si elle sera fille ou garçon, elle-lui est bien réelle.

Mais Axle n'en fait qu'à sa tête, et poursuit son inlassable quête, poursuivit par les gardes du cosmos.

C'est dans ce tome qu'on en apprendra plus sur Musky et ses origines...

C'est de la pure science-fiction, poétique et magnifiquement illustrée par Julio Ribera, et l'intrigue de base est étoffée d'histoires parallèles riches et foisonnantes de trouvailles.

Un grand classique du genre.

Le Vagabond des limbes, pour moi, c'est avant tout une rencontre. La rencontre avec Claire, qui est aujourd'hui ma femme, et qui possédait la collection complète. C'est ainsi que je découvris Godard et Ribeira. Godard, je savais qui c'était. Il participait au journal de Tintin. Mais je ne lisais pas le journal de Tintin. Et ce que je ne connaissais de lui ne m'intéressait pas. Bref, ce fut un petit choc (le grand choc ce fut Claire). Le dessin n'est pas extraordinaire, mais Ribeira est un bon professionnel. Godard, lui, est exceptionnel, et je trouve le scenario monstrueux (au bon sens du terme). Le seul problème c'est que l'on se retrouve confronté au syndrome "Lost" (en moins pire). Comme la série a cartonné, elle a été trop longtemps étirée et, en fin de compte, n'a pas vraiment de fin.

"On n'est jamais trahi que par les siens..." Le pauvre comte Dracula a eu une drôle d'idée de garder en vie cette petite fille au lieu de la saigner en guise de dessert... Bien sûr Dracurella, bébé, devait etre craquante, et maintenant c'est devenu une vraie beauté. Mais une beauté n'aspirant qu'à être gentille, ça fait désordre parmi les créatures de la nuit...

Alors Dracurella fuit, un peu pour sauver sa peau, beaucoup pour avoir un gentil appartement avec un électroménager dernier cri...

Ce qu'elle ne sait pas (mais découvre vite), c'est que quand on fuit, on devient un fugitif... Et un fugitif, ça se rattrape. La malheureuse se heurte à tout ce qu'elle voudrait éviter; il n'y a qu'un adorable dragon qui trouve grâce à ses yeux...

Du kitsch assumé, qui a d'ailleurs été repris dans une autre BD parodique: "Barbeuk & Biaphynn". Comme quoi les bonnes recettes sont éternelles.



C'est du moins l'avis du Président-Fondateur (et unique membre) de l'Office Gastronomique de Recyclage des Enfants (OGRE en abrégé).

Combien de parents dépassés se lamentent: "Mon gosse, j'en ferais un pâté en croûte !"

"Vous l'avez rêvé ? L'OGRE vous le permet !"