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Citations de Kaede Kouchi (34)


Sei : Alors, comme ça, Shiharu et toi, vous vivez dans le même orphelinat...
Nao : T'es un adulte... Alors tâche de te tenir tranquille... Tu risques gros si tu touches à Shiharu !
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Sei : Aoi... Si tu veux le tube de colle, demande-le gentiment à ta soeur.
Aoi : !
Sei : Quant à toi, Akane... Sois gentille et laisse ton frère s'en servir un peu.
Akane : ...
Aoi : ... Prête-moi, 'te plaît !
Akane : ... D'accord...
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Shiharu : Où elle est, cette boutique ?
Nao : Ah... Il n'y a pas de boutique, j'ai menti.
Shiharu : Quoi ?! Mais... Pourquoi t'as fait ça ?!
Nao : Je sais pas... Comme ça...
Shiharu : Hein ?! Tu sais paaaas ?! Je retourne voir mes copines.
Nao : Eh, attends ! Pourquoi tu te casses ? *Non, ne me tourne pas le dos ! Je suis là, moi !* Ça t'embête tant que ça de passer du temps avec moi ?
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Sei : ... J'ai déjà pensé à les confier à un établissement... Seulement... Petit, j'ai manqué d'affection. La maison dans laquelle j'ai grandi n'était qu'un toit pour moi. J'avais rarement l'occasion d'aller chez les gens... Du coup je pensais que c'était pareil pour tout le monde. Puis, plus tard... En entendant des amis ou des collègues qui avaient récemment quitté le nid familial parler de la nostalgie de leur enfance ou de leur admiration et de leur gratitude pour les parent et tout ce qu'ils avaient fait pour eux... J'ai réalisé qu'un père et une mère pouvaient donner de l'amour à leurs enfants. Malgré tout, je ne parvenais pas à comprendre, ou à partager leur sentiments... Moi, quand je rentrais, je me sentais souvent seul...
Et c'est pour ça que je ferai tout mon possible pour que les jumeaux n'aient pas à souffrir de cette solitude quand ils seront grands.
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Akane et Aoi : Les pieds faire tchou tchou dans tunnel ! Shiharu a dit "c'est bien" ! Faire tunnel avec Shiharu ! Pis rent'er dans pantalon tout seul !
Sei : Ah oui, c'est génial ! *Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'ils racontent*
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- POISSONS ZÉANTS !
- Ce sont des dauphins !
- POISSONS ZÉANTS !!
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Nao : Ma façon d'exprimer mon inquiétude ? Comment ça ? Elle pense que je joue le rôle du grand frère protecteur... Alors qu'en réalité, je lui fais juste une crise de jalousie. (...) Quelle importance, de toute manière... Quoi qu'elle pense je ne renoncerai pas ! Je ne laisserai pas un inconnu ruiner huit ans d'efforts à essayer de me faire aimer d'elle.
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Nao : Dis... Si tu es triste de ne pas avoir de famille... Je veux bien t'accepter dans la mienne, moi !
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Les orphelins de la Maison aux Tournesols fêtent leur anniversaire afin de commémorer le début de leur nouvelle vie à l'orphelinat. Bien sûr, ils ont tous eu un parcours difficile et portent en eux de profondes blessures... Mais ici, ils peuvent enfin recevoir l'affection dont ils ont tant besoin.
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Sei : Quand je suis à la maison... Ou alors avec toi... Je me sens détendu et en accord avec moi-même. Et ça me fait beaucoup de bien.
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Takeru : Alors, raconte ! T'as passé une bonne Saint-Valentin ?
Sei : ... Oui, merci.
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Sei : C'est quoi, ce regard ? Tu (Aoi) comptes me dénoncer à Nakamura, c'est ça ?!
Shiharu : Hein ?! Mais... Qu'est-ce qui vous arrive ?!
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Nao : Et moi... Je ne te rends pas nerveuse ?
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Shiharu : Nao... Merci.
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Sur un plat d’argent à l’achat duquel trois générations ont contribué, le saumon arrive, glacé dans sa forme native. Habillé de noir, ganté de blanc, un homme le porte, tel un enfant de roi, et le présente à chacun dans le silence du dîner commençant. Il est bien séant de ne pas en parler.

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