Kaori Ozaki

Au premier abord, on peut penser que ce n'est qu'une banale histoire d'amitié mais au contraire, c'est une série à ne pas mettre entre toutes les mains car les thèmes abordés sont difficiles. Le premier tome s'ouvre sur une tentative de suicide et l'on découvre ensuite la réalité des choses qui l'ont poussé vers un tel acte. 



Avec l'âge, l'amitié d'enfance entre les quatre protagonistes a bien évolué. Elle s'est même transformée en haine à coup de jalousie et de harcèlement. Tsugu, le personnage principal, découvre peu à peu ces revirements qu'elle ne ressent pas au départ, comme si les trois autres voulaient juste faire bonne figure. Elle finit par le comprendre, notamment quand c'est contre elle que la méchanceté est retournée. Au départ très naïve, elle change et on comprend peu à peu les blessures enfouies en elle et son attachement à sa guitare. 



Dans ces trois tomes qui composent la série complète, l'auteur nous plonge dans un flot d'émotions avec des hauts et des bas. Le scénario est bien ficelé. Les illustrations sont détaillées, elles accompagnent parfaitement le texte en les complétant. Les traits des personnages sont expressifs. C'est un ensemble réaliste et harmonieux. 



Un manga profond sur les difficultés de l'adolescence. 

Tsugu Mikura, grande amatrice de guitare électrique, retourne dans sa ville natale avec toute sa famille (hormis son père parti "dans les étoiles").

La jeune fille était très attachée à son père mais elle reste souriante.

Elle sait qu'elle va retrouver une amitié qu'elle a dû abandonner il y a 7 ans.

En effet, alors qu'ils étaient en primaire, Tsugu et ses amis, Sara, Yushin et Asari, s'étaient juré de se retrouver devant la statue du Golden Sheep.

Mais une amitié peut-elle endurer une telle absence ?



Golden Sheep de Kaori Ozaki est un manga attachant, sensible et drôle.



Derrière cette bonne humeur se cache une intrigue plus complexe qui n'hésite pas à démystifier les histoires d'amitié.

Avec un dessin classique mais efficace, Kaori Osaka offre une belle réflexion sur le passage de l'âge adolescent à l'âge adulte qui sera sans doute affiné sur les prochains volumes.



Une oeuvre qui aborde le harcèlement de façon moins brutale même si l'autrice n'hésite pas à être rude pour marquer les esprits.



Chronique complète sur :


Lien : https://www.mtebc.fr/golden-..

🎸 𝕌𝕟𝕖 𝕒𝕞𝕚𝕖 𝕢𝕦𝕚 𝕡𝕝𝕖𝕦𝕣𝕖. 𝕁'𝕒𝕚 𝕦𝕟𝕖 𝕒𝕞𝕚𝕖 𝕢𝕦𝕚... ℚ𝕦𝕚 𝕡𝕝𝕖𝕦𝕣𝕖 𝕡𝕠𝕦𝕣 𝕞𝕠𝕚 🎸



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Je ne saurais vous expliquer pourquoi j'ai été attirée par la couverture de cette nouvelle lecture. 





Dans ce premier tome, nous faisons la connaissance de Tsugu qui a déménagé de sa ville natale alors qu'elle n'était encore qu'en primaire. Cette dernière avait trois bons amis qu'elle a quittés à regret, mais avec qui elle espérait garder contact malgré la distance. Pour ce faire, ils ont décidé d'enterrer une capsule temporelle qu'ils n'ouvriront que dans sept ans et sept mois. Tsugu va revenir comme prévu après plus de six ans d'absence. Encore un déménagement... Elle pense reprendre sa vie là où elle l'a laissée. Mais elle va très vite se rendre compte que le temps peut être un ennemi et qu'il n'épargne pas les amitiés que l'on n'entretient pas. Ses amis ont changés... Ils ne sont plus du tout les mêmes. L'image qu'elle avait d'eux ne devient qu'un vague souvenir. L'amitié qu'elle éprouve pour eux est restée intacte, mais ce n'est pas du tout réciproque malheureusement. 





J'ai été tout de suite charmée par ce premier tome. J'aime beaucoup les sujets qui y sont abordés et notamment le temps qui passe et qui parfois détruit les relations humaines. Les gens évoluent, changent et empruntent des chemins différents. C'est la vie malheureusement, mais cela laisse parfois des blessures profondes qui mettent du temps à cicatriser. 





Voilà un aperçu de tout ce que l'on peut ressentir en lisant le premier tome de golden sheep. Dès les premières pages, on se fait happer par l'histoire et on est tenu en haleine tout au long de l'histoire. On se demande souvent ce qui a pu se passer pour que nos protagonistes se retrouvent dans une telle situation.





Vous l'aurez compris, j'ai passé un très bon moment avec cette lecture et c'est une très belle découverte pour moi.

Natsuru Nanao, jeune passionné de foot de 11 ans, vient d'être transféré dans une nouvelle école au début de l'année. Malheureusement pour lui, les filles l'ignorent depuis qu'il a refusé des chocolats lors du White Day. Mais sa vie va changer quand Rio Suzumura, la plus grande fille de sa classe, lui parle juste avant les vacances d'été. Ce que Natsuru ignore encore, c'est que Rio cache un lourd secret...



Mouais. J'ai pas trop trouvé un grand intérêt à l'histoire en fait. Je pense qu'elle est trop courte pour pouvoir accrocher et s'attacher aux personnages.

Je m'attendais tellement à avoir un coup de coeur, que je crois être un peu déçue. Voilà bien le risque d'avoir des attentes...



Sans passer par 4 chemins, il y a un événement dans cette histoire que je n'ai pas particulièrement trouvé crédible. Mais cela n'engage que moi, car je n'ai vu cet avis nulle part ailleurs.

De ce fait, cela a un peu entaché ma lecture. Pourtant, oui l'histoire est triste. Et pour reprendre une expression, une histoire douce amère... Traitant de sujets difficiles - que je ne citerais pas ici - mais tout de même rempli d'espoirs.

On ne peut que souhaiter le bonheur à ses personnages (c'est que j'ai fini par m'y attacher alors, non? ^^').



Gros point positif pour les dessins, délicats, que j'ai beaucoup apprécié. Un one-shot plutôt épais comparé à d'autres, qui pourra tout de même en ravir plus d'un!

Une histoire douce au cours d'un été fleuri. On y suit le récit de la rencontre entre Natsuru et Rio, deux écoliers de 11 ans, au début de l'été qui précède leur entrée au collège.

Enfance, relations amicales, secrets enfouis... Le livre est court mais intense et riche en émotions, emprunt de mélancolie et d'espoir !

Petit coup de coeur pour cette courte saga en 3 tomes. Une histoire très touchante qui traite de sujets difficiles et nous amène à réfléchir. Le genre de saga que j'aurais beaucoup aimé lire lors de mon adolescence.



Si vous avez apprécié le manga ''Orange'' d'Ichigo Takano, ou bien ''Blue spring ride'' de Io Sakisaka, vous devriez (je l'espère) apprécier Golden Sheep :)

(Avis sur la série complète, sans spoil) Tsugu, une adolescente pétillante passionnée de guitare électrique, revient dans sa ville natale sept ans après l’avoir quittée. Comme ils se l’étaient promis, la jeune fille retrouve ses trois amis d’enfance sous la statue du Golden sheep : la discrète Asari, Sora l’artiste introverti et Yûshin le leader charismatique. Mais les choses ont bien changé depuis le départ de Tsugu et les amitiés d’autrefois semblent n’être qu’un lointain souvenir…



Ça faisait un moment que je voulais lire ce manga et ça a été une très bonne découverte ! Golden sheep c’est un récit sur les tourments de l’adolescence et l’entrée dans la vie adulte. On découvre à travers les yeux de Tsugu un groupe brisé où l’amitié a laissé place à une jalousie destructrice, la cause à de nombreux non-dits.



Dès le début du premier tome, on apprend que le personnage de Sora projetait de se suicider avant être sauvé in extremis par Tsugu. On revient ensuite en arrière pour découvrir les circonstances qui l’ont amené dans cette situation… L’histoire est vraiment prenante et met en scène des personnages complexes qu’on attend de voir évoluer au fil des trois volumes.



Malheureusement la fin est un peu trop rapide à mon goût, j’ai trouvé le développement de certains personnages trop précipité… Mais ça n’enlève rien à la qualité de l’histoire dans sa globalité que j’ai trouvée vraiment touchante. Un excellent manga que je vous recommande !
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Manga tout doux, tout joli, qui se lit d'une traite, avec les beaux dessins de Kaori Ozaki. L'histoire est légère et mignonne, avec un soupçon de maturité qui sublime le tout. Petit coup de cœur que je conseille absolument!



Dans ce manga on retrouve deux autres histoires courtes toutes aussi jolies : Les hauts de Pluie et Lune et Jour de Neige.

Avec le T2 qui m'avait un chouïa déçue, j'appréhendais un peu la fin de cette série courte aux thématiques assez lourdes. Pourtant, j'ai passé un agréable moment de lecture avec des personnages auxquels je me suis plus attachée (en fin de compte, c'est le garçon brun (je suis désolée j'ai oublié leurs noms…) qui m'a le plus indifférée alors que c'était lui qui portait le plus de charge psychologique…). Je rejoins d'autres avis sur le fait que les discordes au sein du groupe d'amis (surtout vue la gravité du harcèlement qu'il y a eu entre les persos) ont été réglées un peu rapidement. N'empêche que j'ai trouvé crédibles les réflexions et les messages passés par la mangaka à propos de l'adolescence et du caractère horrible de certains ados. Un côté un peu cru pour contrebalancer la légèreté qui se dégage globalement des pages.

Côté personnages, je me suis pas mal attachée à l'héroïne, Tsugu, car j'apprécie sa simplicité et sa débrouillardise. La 2ème fille du groupe m'a bien plu aussi dans ce T3, car elle a une prise de recul assez significative sur sa vie et son comportement. Quant aux deux garçons, j'aurais aimé qu'on les aperçoive un peu plus. En fin de compte, il y a pas mal de manquements de leur côté.

Le dessin d'Ozaki me parle toujours autant. Il est assez simple, mais j'aime sa façon de créer des dynamiques, des ambiances. Ce T3 comporte plus d'une planche sympathique sur laquelle je me suis arrêtée quelques secondes pour simplement apprécier.


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On ne pouvait pas vraiment deviné ce rebondissement. Les deux adolescents ont un objectif et n'ont pas le temps de réfléchir à autre chose. Plus besoin de souffrir d'être maltraité au quotidien ou d'être isolé socialement, ici ils se sentent libre. On leur donne des ordres, ils réalisent des tâches et les choses de passent bien. De gens passent des commandes pour leur établissement et même une célébrité vient leur faire de la pub. Un véritable succès inattendue. Sora se voit bien rester là car il n'est le souffre douleur de personne. Sauf que ce denier débarque et vient encore le provoquer. Il l'accuse de tous les maux dont il est victime. On découvre que Yûshin est fragile et souffre d'une mauvaise estime de lui. Il se considère comme un déchet. Est-ce qu'un changement de décor pourrait tout changer pour lui aussi? Le mal-être reste quelque chose qui ronge de l'intérieur si l'on n'arrive pas à mettre des mots dessus. Kaori Ozaki met beaucoup de douceur pour parler de souffrance adolescente. Tout comme son graphisme si délicat et si précis. On a hâte de savoir ce qui va se passer dans le dernier tome qui va clôturer cette série. Est-ce que chacun trouvera quelque chose de rassurant pour avancer plus sereinement? L'avenir nous le dira. 
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Je suis assez frustrée en terminant cette série qui a un petit goût d'inachevé et de rapidité. C'est dommage parce qu'il s'agit d'un manga que j'ai réellement apprécié mais il me manque quelque chose pour être vraiment à fond dedans.



J'ai beaucoup aimé l'histoire, les sujets traités et les personnages. Le lien qui les unis est fort, tout repose là dessus mais j'aurais aimé que l'histoire soit plus développée. Trois tomes c'est trop peu, les personnages évoluent alors trop rapidement. Nous n'avons pas vraiment le temps de suivre leur cheminement et c'est ce qui est dommage....



L'histoire courte que nous pouvons lire à la fin de ce tome est intéressante et intelligente mais j'aurais aimé qu'elle ne soit pas présente afin de laisser plus de place à l'histoire principale. Cela aurait peut-être permis un petit développement supplémentaire concernant les personnages.



Au final ça reste un bon manga que j'ai aimé découvrir et que je relirai certainement mais il me manquera toujours quelque chose pour être complètement satisfaite.

Une série vraiment très forte, juste et touchante où les sentiments explosent par moment.

L’édition est super agréable, j’adore le toucher de la jaquette, et moi qui ne suis pas fan du vert, c’est quand même super beau à regarder, et intrigant n’est-ce pas ? Nous retrouvons Sora et Tsugu en train de préparer des croquettes. Ils ont débarqué chez un vieil homme mais qui est-il ? En tout cas, il n’aime pas qu’on le traite de vieux, et il est plein de ressources. Tout est devenu tellement triste et explosif entre nos amis par moment, même si on sent qu’il reste quelque chose, que j’ai personnellement était contente de voir un peu ces deux là, ensemble, travaillaient, d’avoir ces moments plus calme et plein d’espoir. On va dire que les adultes les ayant à charge n’ont pas voulu forcer, certains n’ayant pas fait mieux, voire se rendant compte qu’ils ont apparemment besoin de se recentrer, et vu qu’ils ne sont pas laissés à la dérive et occupés, ça ira.

Ces simples moments et ces partages sont essentiels, surtout pour Sora qui vit une situation délicate et extrêmement difficile à l’école.



Asari se questionne quand même sur la disparition de Tsugu, ce qui fait plaisir.

Elle va même tenter de parler à Yushin.



Ce que Yushin a vécu l’a marqué, changé, il est difficile, il a une violence en lui qui est effrayante, avec un côté auto-destructeur, et en même temps j’ai envie d’espérer que ses amis, que ses relations qui datent pourront l’aider à retrouver le bon chemin. On pourra aussi voir qu’il a trouvé une voie possible, qui en plus doit lui permettre d’extérioriser ce qu’il a en lui.



Vivement le 3ème et dernier tome, c’est brut de décoffrage par moment !

Le graphisme est lui très agréable, avec des sentiments très bien capturés. Ce point là est toujours aussi vrai :).
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Tsugu revient dans la ville de son enfance avec sa mère, ses sœurs et sa nièce. Elle retrouve ses amis de primaire avec qui elle avait enterré une capsule contenant un voeu au pied de la statue du golden sheep. S'ils déterrent leur capsule au bout de 7 ans et 7 jours, leur vœu est censé se réaliser. Mais ses amis ont bien changé. Sora se fait harceler et déprime. Yûshi veut abandonner le lycée et renferme une rage qu'il a du mal à contenir. Sally, amoureuse transite de Yûshin, jalouse Tsugu qui attire l'attention de ce dernier notamment par sa maîtrise de la guitare électrique. Bref, les retrouvailles ne se passent pas comme prévu et chacun grandit dans la douleur.

Un manga à la fois grave par les thèmes abordés et léger grâce à la fraîcheur et à l'optimisme de Tsugu. Extrêmement émouvant. Une réflexion sur le passage à l'âge adulte et même sur ce qu'est être adulte. Ceux-ci sont d'ailleurs souvent absents, parfois immatures ou carrément détesté car leurs actes ont nui à leur enfant. Les personnages sont très bien cernés, attachants. Les dessins alternent gros plans, plongée, contre-plongée, contribuant à l'immersion dans l'histoire. J'ai vraiment hâte de lire la suite !

L'histoire est prévisible, en tout cas je n'ai pas été surprise, mais ce n'est pas grave parce qu'elle est très forte.

On découvre des personnages touchants et attachants, se sont des enfants qu'on aimerait aider et protéger. Ils partagent avec nous des moments de bonheur et de tristesse.

Une fois arrivée à la dernière page je n'étais pas frustrée bien au contraire, l'histoire est suffisamment développée et il y a une vraie fin.

Concernant l'édition c'est le même format que l'édition perfect de Fruits Basket, c'est-à-dire plus grand que le format habituelle des manga. C'est vraiment agréable, les dessins n'en sont que plus beaux.

Au final, le mangaka nous offre trois histoires très jolies. Néanmoins, j’aurais peut-être préféré avoir une seule longue histoire plus développée. Malgré tout, je ne regrette pas ma lecture. J’ai aimé Les hauts de pluie et de lune. Ma seule déception est certainement la durée de l’histoire qui, selon moi, aurait mérité peu plus de contenu. La deuxième histoire était très poétique. Bien qu’elle soit très courte, ce fut ma favorite. C’était très touchant. Pour ce qui est du dernier récit, j’ai apprécié, sans plus. Le questionnement sur l’existence des sirènes et des légendes qui les entourent… C’était intéressant. Les sirènes sont-elles réelles ? Cette question aura été au centre de l’histoire. Et rien que pour en avoir le cœur net, j’ai tourné les pages afin d’avoir ma réponse.



N'hésitez pas à lire ma critique complète ici.

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Un très beau et bon one-shot. On est happés dans l’histoire dès les premières pages et la mangaka nous entraîne dans les vacances d’été de deux enfants plein de charme.



Des thèmes difficiles sont abordés avec justesse et, malgré des histoires dures et tendues, ce manga est comme une bouffée d’air frais.



Les émotions sont là, le dessin est de qualité, le rythme bien mené. Un agréable moment de lecture que je conseille à tous!




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Un superbe manga ! L’histoire est à la fois très touchante et très prenante. Je recommande !

J'ai été assez surprise par ce manga, que je ne pensais pas être un recueil de plusieurs histoires (celle qui correspond au titre et à l'image sur la couverture sera la dernière que nous lirons), et j'ai été encore plus surprise par le contenu même des celles-ci.



Kaori Ozaki évoque, avec une justesse parfois assez crue et déroutante pour un manga pour ado (je pense ici à la première histoire dans laquelle l'héroïne, un peu paumée face à son avenir, souhaite s'émanciper et connaît ses premières expériences et déconvenues avec les hommes), l'adolescence et le passage à l'âge adulte. En y repensant, c'était déjà le cas dans son autre manga, que j'ai lu cet été et que j'ai préféré à celui-ci : Our summer holiday.



L'histoire principale, qui donne son titre au recueil, m'a bien plu, avec sa légende autour d'une sirène qui exaucerait les voeux...
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Mermaid prince de Kaori Ozaki a été une très bonne lecture. Ce manga est un oneshot qui regroupe trois histoires qui sont Les Haut de Pluie et Lune, Jour de neige et Mermaid Prince.



La première histoire parle de l'amitié de deux lycéenne Akari et Fumika qui va finir par s'estomper avec le temps. La mangaka à travers cette histoire aborde le fait qu'en grandissant un adolescent va changer pour s'adapter à la société et que d'autres se cherchent et pour cela se montrent insouciant.



La seconde histoire évoque la relation d'un père et de son fils à la bibliothèque. C'est une histoire avec un brin de fantastique où l'auteur nous laisse découvrir ce dont il est question.



La troisième, ma préférée, parle de Mugi qui a du mal à s’intégrer dans sa nouvelle ville et qui grâce à Matori va s'ouvrir aux autres.



Ce sont donc des histoires touchantes où j'ai apprécié comment l'auteur s'y prend pour aborder les thèmes évoqué. On retrouve une certaine poésie dans les récits.



Sinon les graphismes du manga sont magnifiques, surtout cette couverture, et avec des cases dynamiques. Une très belle découverte.